Accompagner la thérapie

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phileme_h

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Bonjour,

Je suis en hypnothérapie depuis début juillet. J'en suis à ma sixieme séance. J'avais beaucoup changé, beaucoup de points positifs, mais j'avais du mal à me reconnaître, et sans doute que j'ai eu du mal à accepter ce si grand changement.

J'ai été confronté au regard de mes amis, je ne supportais plus leurs "jérémiades" ( alors que j'étais comme ça un mois avant). J'avais besoin de parler de choses légères , pour me protéger, et d'être moi même.
Au début pas de soucis. Et puis je me suis rendue compte que j'étais très seule. Je ne parlais plus de choses personnelles, mes amis ont arrêté de m'appeler.
Je ne savais plus qui j'étais, et je n'avais pas l'impulsion de faire basculer ma vie.... peur de me retrouver seule.... alors que peut être ca n'aurait pas été si terrible. il aurait juste fallu que je fasse le nécessaire pour rencontrer des personnes qui me correspondent plus. Ou de changer ma relation avec mes amis, s'ils le voulaient bien.

Donc je n'ai pas accompagné la thérapie, je me suis forcée à faire des choses qui ne me plaisaient pas forcément, en me disant que c'était bien normal d'écouter les problèmes des autres.

Je n'ai pas réagit assez vite....

Et tout s'en va, j'ai l'impression de sombrer, je me retrouve à nouveau limitée, les choses ne sont plus aussi claires...
Je suis angoissée, e crois que j'ai cassé les effets de la thérapie.

J'espère que nous pourrons, avec ma thérapeute, faire quelquechose .

Mais bon.... c'est difficile de changer si vite, .... l'adaptation à une nouvelle vie ne peut pas se faire aussi vite...

Je sombre à nouveau dans la dépression :-(.
Un témoignage? un ou des conseils? Une parole rassurante?

Merci ! J'en ai besoin
 
surderien

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Toujours savoir trouver le plaisir de chercher…
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Donc je n'ai pas accompagné la thérapie, je me suis forcée à faire des choses qui ne me plaisaient pas forcément, en me disant que c'était bien normal d'écouter les problèmes des autres.


Et si vous vous forciez à faire des choses : des choses qui vous plaisent,

quelles seront elles ?

8)
 
Ivan Schmitt

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;-)
La solitude...

On se sent bien mais seul. Construction d'une tour d'ivoire...

Puis, retour en arrière.

Essayez encore... c'est juste un peu plus compliqué que ce qu'on a voulu vous faire croire. Etre fort, c'est savoir composer avec les autres... même si c'est avec leurs faiblesses. C'est être avec eux, comme eux, même si l'on se sent différent. Parfois aussi, les cours d'affirmation de soi, sont une bonne manière d'apprendre à vivre seul : mais ce n'est pas ce que vous voulez ; ce n'est pas ce dont vous avez besoin... Il va falloir trouver une solution, entre vous et les autres.... pour bien vivre.

Sartre disait : l'enfer c'est les autres. Et j'ajoute : le bonheur aussi.
 
phileme_h

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Pour Surderien,
Je ne sais pas, surement j'aurais perdu tous mes amis. Et je ne crois pas que ca aurait été une bonne chose.
Je m'apercois que je dois composer, et c'est très difficile. Est ce que les symptomes de la névrose hystérique peuvent être diminués par l'hypnose?

C'est très dur aujourd'hui. J'ai du mal quand je suis seule. Plus qu'avant, enfin je crois. Mais effectivement, on ne m'a pas prévenue que ca serait si dur. Peut être que ca n'était pas prévu.

Pour Ivan 67, j'essaie, mais maintenant c'est quand je suis seule que c'est dur. Je ne sais plus trop ou j'en suis. si je dois continuer, ou prendre des anxiolytiques. Ce que je ne voulais plus.

en tous cas merci de vos réponses.
 
Ivan Schmitt

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C'est dur quand vous êtes seule, c'est dur d'être accompagné...

Il y a aussi une autre manière de voir les choses : choisir de se sentir bien avec soi-même à certains moments ; choisir de se sentir bien avec d'autres personnes, à certains autres moments.

Bref, dans le sens que proposait Surderien : qu'est-ce qui vous ferait plaisir ? Il ne s'agit pas de s'isoler des autres, ni d'être tout le temps avec eux. Ni d'être tout le temps plus fort qu'eux, ou tout le temps moins fort.
Il s'agit d'être capable de tout cela en différents moments, avec souplesse....
Et pour y arriver, commencez donc par écouter ce qui vous fait encore du bien... la solution est toujours par là !
 
Leo Lavoie

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Ivan.67 à dit:
C'est dur quand vous êtes seule, c'est dur d'être accompagné...

Il y a aussi une autre manière de voir les choses : choisir de se sentir bien avec soi-même à certains moments ; choisir de se sentir bien avec d'autres personnes, à certains autres moments.

Bref, dans le sens que proposait Surderien : qu'est-ce qui vous ferait plaisir ? Il ne s'agit pas de s'isoler des autres, ni d'être tout le temps avec eux. Ni d'être tout le temps plus fort qu'eux, ou tout le temps moins fort.
Il s'agit d'être capable de tout cela en différents moments, avec souplesse....
Et pour y arriver, commencez donc par écouter ce qui vous fait encore du bien... la solution est toujours par là !

Oui, en effet, mais votre post m'interpelle et me turlupine. Oui, il est possible que vous ayez des difficultés d'adaptation mais au point que vous en soyiez dépressif? Je me demande si, en thérapie, vous avez été assez en profondeur. Par exemple vous dites que les jérémiades de vos connaissances vous affectent, que vous voulez vous protéger. Vous sentez vous si fragile? Et depuis vos changements ou c'est avant cela?

Ne devriez vous pas simplement et sans détresse vouloir faire un tri chez vos connaissances. Des jérémiades sans cesse, c'est gonflant à la fin.

Comment votre thérapeute procède t'elle en résumé?
 
Ivan Schmitt

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Leo Lavoie à dit:
Ivan.67 à dit:
C'est dur quand vous êtes seule, c'est dur d'être accompagné...

Il y a aussi une autre manière de voir les choses : choisir de se sentir bien avec soi-même à certains moments ; choisir de se sentir bien avec d'autres personnes, à certains autres moments.

Bref, dans le sens que proposait Surderien : qu'est-ce qui vous ferait plaisir ? Il ne s'agit pas de s'isoler des autres, ni d'être tout le temps avec eux. Ni d'être tout le temps plus fort qu'eux, ou tout le temps moins fort.
Il s'agit d'être capable de tout cela en différents moments, avec souplesse....
Et pour y arriver, commencez donc par écouter ce qui vous fait encore du bien... la solution est toujours par là !

Oui, en effet, mais votre post m'interpelle et me turlupine. Oui, il est possible que vous ayez des difficultés d'adaptation mais au point que vous en soyiez dépressif? Je me demande si, en thérapie, vous avez été assez en profondeur. Par exemple vous dites que les jérémiades de vos connaissances vous affectent, que vous voulez vous protéger. Vous sentez vous si fragile? Et depuis vos changements ou c'est avant cela?

Ne devriez vous pas simplement et sans détresse vouloir faire un tri chez vos connaissances. Des jérémiades sans cesse, c'est gonflant à la fin.

Comment votre thérapeute procède t'elle en résumé?
Je crois que cela arrive, parfois (ou même fréquemment) , Léo, quand on tente de remettre sur pied une personne... et quand, par dessus le marché : ça marche. Pour donner une image, c'est un peu comme apprendre à quelqu'un à recontracter tout ses muscles. L'individu, qui aura appris ça pourra marcher, bouger, se sentir mieux... mais il manquera quelque chose : la souplesse. Sans cette dernière, il risque de se fatiguer bien vite, et pourra même régresser pour revenir à son état initial....
PS : je suis d'accord pour le tri. Ou encore : être plus ou moins proche de certaines personnes, de certaines solitudes....
 
phileme_h

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bonsoir,

Effectivement, Ivan67 , je pense que ca correspond à ce qui s'est passé. Je pense que ca a marché, mais que je ne savais pas comment le gérer.
J'ai peu d'être abandonnée. Alors voir mes amis me tourner le dos, me retrouver seule, ca n'est pas passé, et je n'arrivais pas à faire de compromis. J'ai presque 40 ans, je suis seule, je ne connais que quelques personnes.
On a essayé lors de la dernière séance, d'ajouter de la souplesse à tout ca, et ca a marché trois semaines, et puis , je crois que j'ai été rattrapée par mes soucis. J'ai comme trébuché.
Mon inconscient a fait le choix de reprendre les habitudes... contractures musculaires ( angoisses de la solitude), pourquoi vivre, plus de projet...bref...

Passer d'un état presque d'euphorie, à ce que je viens de décrire, c'est comme une chute. Ca a été un peu mieux aujourd'hui.

Avec ma thérapeute, qui n'est pas psychiatre, ni psychologue, on discute, pour refaire le point, sur comment j'ai évolué, et puis elle me propose de faire une séance en m'expliquant en gros le but. Et jusqu'à maintenant, j'ai été d'accord, ca me semblait plutot sain.
 
phileme_h

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Leo:

Je ne sais pas ce que veut dire aller assez en profondeur.
Je trouve toujours qu'on ne parle pas assez. Ou peut être que les séances sont trop éloignées ( environ 1 mois).
enfin... C'est assez confus. Je crois que ca a tellement bien marché que je me suis sentie très loin de mes amis d'un seul coup.
 
valikor

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je crois plutot que toutes les choses anciennes dont vous deviez prendre de la distance faisaient et font encore trop partie de vous (en ressenti) ce qui a tendance à provoquer des rechutes...
 
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phileme_h à dit:
Leo:

Je ne sais pas ce que veut dire aller assez en profondeur.
Je trouve toujours qu'on ne parle pas assez. Ou peut être que les séances sont trop éloignées ( environ 1 mois).
enfin... C'est assez confus. Je crois que ca a tellement bien marché que je me suis sentie très loin de mes amis d'un seul coup.

Il y a plusieurs raisons à votre ressenti, certaines ont été évoquées, par contre il est vrai qu'un intervalle d'un mois entre chaque séance est un peu trop long.

Vous dites : :arrow: Je trouve toujours qu'on ne parle pas assez.
Vous pensez que vous n'avez pas votre temps de parole ? éprouvez vous le besoin de vous exprimer davantage en séance ?
 
Leo Lavoie

Leo Lavoie

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phileme_h à dit:
Leo:

Je ne sais pas ce que veut dire aller assez en profondeur.
Je trouve toujours qu'on ne parle pas assez. Ou peut être que les séances sont trop éloignées ( environ 1 mois).
enfin... C'est assez confus. Je crois que ca a tellement bien marché que je me suis sentie très loin de mes amis d'un seul coup.

"En profondeur" dépend des gens mais, en général, il s'agit d'aller le plus possible vers le fait de retrouver son estime de soi et son amour de soi d'une façon ou d'une autre. Par exemple, l'hypnose peut vous aider à modifier un comportement que vous n'aimez pas avoir, mais pour que tout ces changements soient en phase avec votre for intérieur, il faut travailler en profondeur. Par exemple, ne plus voir quelqu'un que l'on voyait parce que, maintenant, on se respecte et que cette personne n'est pas respectueuse avec nous.

Si je vous aidais, par l'hypnose à faire en sorte que vous ne voyiez plus cette personne parce qu'elle n'est pas gentille, on travaille à l'envers; on travaille en surface aussi... Parce que qu'elle soit gentille ou non, on s'en fout. La prémisse est de se respecter soi-même alors la conclusion sera qu'on ne cherchera plus à la voir. Mais c'est une décision avec laquelle on se sent en phase et serein. Ce n'est pas ce que vous présentez ici. Vous présentez quelque chose de vraiment perturbant au point de "retomber" dans le mal être...

Je comprends que l'adaptation au changements profonds peut être déstabilisant mais que ça vous mette dans un tel état, alors je doute du déroulement de votre thérapie. Mais peut-être qu'avec le peu que j'en sais, je me gourre totalement.
 
I

Intemporelle

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phileme_h à dit:
bonsoir,

Effectivement, Ivan67 , je pense que ca correspond à ce qui s'est passé. Je pense que ca a marché, mais que je ne savais pas comment le gérer.
J'ai peu d'être abandonnée. Alors voir mes amis me tourner le dos, me retrouver seule, ca n'est pas passé, et je n'arrivais pas à faire de compromis. J'ai presque 40 ans, je suis seule, je ne connais que quelques personnes.
On a essayé lors de la dernière séance, d'ajouter de la souplesse à tout ca, et ca a marché trois semaines, et puis , je crois que j'ai été rattrapée par mes soucis. J'ai comme trébuché.
Mon inconscient a fait le choix de reprendre les habitudes... contractures musculaires ( angoisses de la solitude), pourquoi vivre, plus de projet...bref...

Vous savez il est parfois difficile de laisser tomber les vieilles habitudes (ou schémas erronés) car le changement déstabilise et nous fait peur, mais il est serait dommage de vous arrêter maintenant, vous êtes dans la phase transformation, et votre déprime n'est peut être que passagère, néanmoins comme le dit Léo, le travail thérapeutique n'est peut être pas à la hauteur de vos angoisses, mais là sur un forum impossible de le dire..

Passer d'un état presque d'euphorie, à ce que je viens de décrire, c'est comme une chute. Ca a été un peu mieux aujourd'hui.

Avec ma thérapeute, qui n'est pas psychiatre, ni psychologue, on discute, pour refaire le point, sur comment j'ai évolué, et puis elle me propose de faire une séance en m'expliquant en gros le but. Et jusqu'à maintenant, j'ai été d'accord, ca me semblait plutot sain.

Si vous avez la possibilité de rapprocher les séances, je pense déjà que cela aurait un impact intéressant.

Votre thérapeute vous propose t-elle des suggestions (enregistrées) hypnotiques de bien être à écouter quotidiennement ?
 
Ivan Schmitt

Ivan Schmitt

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phileme_h à dit:
bonsoir,

On a essayé lors de la dernière séance, d'ajouter de la souplesse à tout ca, et ca a marché trois semaines, et puis , je crois que j'ai été rattrapée par mes soucis. J'ai comme trébuché.
Mon inconscient a fait le choix de reprendre les habitudes... contractures musculaires ( angoisses de la solitude), pourquoi vivre, plus de projet...bref...

Passer d'un état presque d'euphorie, à ce que je viens de décrire, c'est comme une chute. Ca a été un peu mieux aujourd'hui.
Peut-être faut-il des suggestions plus générales, ou encore, plus généralement précises, concernant la souplesse. J'ai presque envie de dire que c'est peut-être aussi une des limites du traitement hypnotique. Quelle que soit la méthode d'ailleurs, il y a toujours une part d'apprentissage, de formation et c'est peut-être cet aspect qui vous manque. Voyez-vous, lorsque vous avez confiance en vous mais que les autres vous semblent loin de vous, c'est toujours difficile de le gérer. A de tels moments, les stratégies mentales à mettre en œuvre sont particulièrement fines, ou subtiles. Votre objectif, finalement, est d'être capable de jouer sur les deux attitudes confiance en soi (parler) / timidité (écouter). C'est un dilemme, mais entre ces deux extrêmes il y a une infinité de solutions... Et toutes les solutions sont utiles à un moment, ou un autre.
Quand on ne trouve pas de solution réellement adaptée, on revient sur ses vieux schémas...
 
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Intemporelle

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Ivan.67 à dit:
phileme_h à dit:
bonsoir,

On a essayé lors de la dernière séance, d'ajouter de la souplesse à tout ca, et ca a marché trois semaines, et puis , je crois que j'ai été rattrapée par mes soucis. J'ai comme trébuché.
Mon inconscient a fait le choix de reprendre les habitudes... contractures musculaires ( angoisses de la solitude), pourquoi vivre, plus de projet...bref...

Passer d'un état presque d'euphorie, à ce que je viens de décrire, c'est comme une chute. Ca a été un peu mieux aujourd'hui.
Peut-être faut-il des suggestions plus générales, ou encore, plus généralement précises, concernant la souplesse. J'ai presque envie de dire que c'est peut-être aussi une des limites du traitement hypnotique. Quelle que soit la méthode d'ailleurs, il y a toujours une part d'apprentissage, de formation et c'est peut-être cet aspect qui vous manque. Voyez-vous, lorsque vous avez confiance en vous mais que les autres vous semblent loin de vous, c'est toujours difficile de le gérer. A de tels moments, les stratégies mentales à mettre en œuvre sont particulièrement fines, ou subtiles. Votre objectif, finalement, est d'être capable de jouer sur les deux attitudes confiance en soi (parler) / timidité (écouter).

C'est un dilemme, mais entre ces deux extrêmes il y a une infinité de solutions... Et toutes les solutions sont utiles à un moment, ou un autre.

Quand on ne trouve pas de solution réellement adaptée, on revient sur ses vieux schémas...

Complètement d'accord... :D

Sauf que l'infinité de solutions est un apprentissage, quand le sujet est stabilisé dans ses émotions , sinon il aura recours à son conditionnement habituel.
 
phileme_h

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Votre objectif, finalement, est d'être capable de jouer sur les deux attitudes confiance en soi (parler) / timidité (écouter). C'est un dilemme, mais entre ces deux extrêmes il y a une infinité de solutions... Et toutes les solutions sont utiles à un moment, ou un autre.
Quand on ne trouve pas de solution réellement adaptée, on revient sur ses vieux schémas...
Effectivement, ... aujourd'hui je me sens quelqu'un d'autre, mais la dernière fois, j'ai encore eu cette rechute... je suis tombée de moins haut cette fois.

Mais c'est exactement ca; je manque de souplesse. Je penche plutot vers le coté confiance en moi. ( Peut être un peu trop mais bon, la perfection n'existe pas).
Pour l'écoute... moi qui était dépendante affective il y a peu....-> je t'écoute pour que tu m'écoutes ensuite. Et tout ce qui allait avec.... aujourd'hui je n'ai plus envie d'écouter, je l'ai trop fait.
J'aimerais, mais je suis impatiente, je n'ai plus envie d'aider.

Quand je tente d'aider quelqu'un, c'est difficile, je ne sais plus m'y prendre. Ca ne passe pas forcément bien.
J'ai du mal à passer ce moment.
Merci de m'aider à mettre des mots sur cet état que j'avais du mal à identifier.
 
phileme_h

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Je ne sais pas si ma thérapie est adaptée ou non... Je n'ai pas de référence. Ce qui est sur, c'est que ce manque de souplesse, dont j'ai parlé avec ma thérapeute est toujours présent.C'est ce qui me manque aujourd'hui.

Sinon je sais que je vais beaucoup mieux.

J'ai des projets que je n'aurais jamais osé avoir avant.
J'ose parler en public, même si je ne m'exprime pas suffisamment bien.
J'ose proposer mes idées. Parler à ma hiérarchie sans être stressée.
Et ca parce qu'on a mis le doigt sur des croyances.

Je suis moi, sans me soucier de ce que pensent les autres. Je dis ce que je pense.
A suivre donc
 
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