Sur le plan médico-légal, il me parait difficile d'utiliser l'hypnose pour obtenir des "preuves"
le processus de mémorisation étant trés variable et instable du fait de la plasticité cérébrale, et il est aussi facile d'influencer et de persuader avec des éléments lors de d'induction en déclenchant des fausses reconnaissances
Il faudrait obtenir des informations sous hypnose ( par exemple l'identité du violeur) et les prouver alors par des preuves réelles (notamment ADN...)
la police a parfois recours à des médium mais elle recoupe alors avec des éléments formels de preuve ( il me semble me souvenir qu' en Grande Bretagne, des bijoux d'une victime avaient été effectivement retrouvés au domicile de la personne suspectée !)
A suivre dans le futur ?
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