Hypnosis research : Stephen Brooks

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surderien

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La recherche en hypnose : Stephen brooks

:shock: Pour ceux qui maîtrisent l’anglais je vous transmets les coordonnées de Stephen Brooks dont j’ai découvert la « free université virtuelle internationale d’hypnose » sur internet : « british hypnosis research »

Lien invalide


Ce maître de l’hypnose thérapeutique interactive transmet gracieusement sa longue expérience sur ce site en associant des formations écrites et en vidéo très complètes, un forum interactif international de recherche en hypnose en anglais sous forme notamment de questions-réponses-evolutives, du chat et des formations conférences dans le monde dont une franco-anglaise sur Paris :

http://auriol.free.fr/parapsychologie/p ... toires.htm

Les vidéos où il s’entretient avec un « patient » en miroir avec un hypnothérapeute français traducteur, dans une formation interactive en public, montrent tout l’intérêt que peut représenter l’évolution par le système de l’hypnose

Notamment dans le cas de la prise en charge de maladies complexes et en prime avec des suggestions géniques…

Pour moi, il illustre tout le génie de l’hypnose…

:roll: Free in live…
 
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Je vois que l'accés est conditionné par l'achat de son DVD ce qui n'était pas le cas il y a encore trois mois...

:roll:

A suivre
 
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merci pour l'info, même au prix des DVD 35£ (vu la baisse du taux de la livre!) c'est quand même une bonne opération, je pense, pour découvrir sa pratique.
 
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coucou inspiral

Oui, j'ai beaucoup appris sur ce site en trois mois et j'ai surtout progressé en anglais 8) et en hypnose bilinguale :roll:

on y rencontre des français trés compétents en hypnose et surtout en anglais...

et aussi des hypnoéchangeurs du monde entier !

Mais les subtilités des jeux de mots de l'hypnose en francais sont déjà durs durs alors en langue de Seks-pire n'en parlons pas !

:roll:
 
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Inspiral

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Super! je vais m'inscrire.
Il y a des jeux de mots en anglais faciles: like "nose-knows" . Moi, ce que je regrette, c'est la syntaxe du français qui n'autorise pas les m^mes jeux qu'en anglais: un verbe dans une phrase peut devenir une commande directe.

Par exemple, Bandler à collé un interprete de japonais en transe au milieu d'un séminaire avec ça:

"don't go into trance now, ....and you can ....go into trance later"
c'est donc devenu une commande directe destinée au traducteur ("trance later" =translator) et qui à mis tous les japonais sans traducteur pendant un moment!

Je vais voir Bandler le mois prochain, de quoi apprécier les histoires à dormir debout!

Go into trance nooooww!
 
surderien

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transe translation traducteur en erreur d'interprétation ?

un interprete interprete toujours trop quand il se prête à toute traduction même s'il est prêt à transmettre rigoureusement les choses qu'il ne souhaite pas interprèter lui même en lui même et les retransmettre sans sa traduction il en est confus mais il s'y prête en mauvaise langue qu'il l'a traduit sans le savoir et en y croyant en toute bonne foi

toute traduction serait une trahison

alors n'oubliez pas ce que je viens de vous transemettre !


:roll:
 
Leo Lavoie

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J'ai suivi un des ces séminaires en audio.

Juste un problème avec ce type...Je ne conseillerais pas une personne qui a été abusée sexuellement par un oncle ou un autre adultes quand il était enfant d'aller le consulter. Pourquoi? Parce que dans ces interventions, il y a beaucoup trop les mêmes tonalités et les manières d'un adulte abuseur envers un enfant. L'expiration en parlant et en chuchotant je trouve ça très désagréable. En fait c'est que j'ai souvent eu en consultation des cas semblables.

Aussi je ne sais pas si c'est parce que le sujet du séminaire était l'induction indirecte mais ça aussi, à force d'être indirect dans tout, ça donne une impression de mensonge et ça donne un peu aussi le même type de langage qu'un vieux vicieux avec un enfant.

Quand on dit à une jeune fille qui nous consulte des trucs comme : "et peut-être il y a d'autres endroits de ton corps ou tu peux ressentir de la relaxation" avec une expiration pas naturelle comme ça, il y a de bonnes chances que l'on tombe sur une jeune fille qui a entendu ça dans un contexte d'abus sexuel.

Mais à part ça c'est un maître, oui...
 
Klok

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Pourquoi? Parce que dans ces interventions, il y a beaucoup trop les mêmes tonalités et les manières d'un adulte abuseur envers un enfant.
tu parles de la représentation (supposée) commune que l'on s'en fait ?

Quand on dit à une jeune fille qui nous consulte des trucs comme : "et peut-être il y a d'autres endroits de ton corps ou tu peux ressentir de la relaxation" avec une expiration pas naturelle comme ça
Tu as eu des cas ?
J'imagine que l'ancrage peut rester présent pour qu'elle se protège mais suppose t on alors qu'elle a perdu sa capacité de penser/raisonner et qu'elle n'est pas capable de remettre les choses à leur place ?
(c'est un thérapeute, pour le moment je n'ai pas assez d'informations pour déterminer s'il me veut du mal, je sais que ma peur est décuplée par un ancrage puissant)

- c'est une vraie question -

auquel cas qu'est ce qui te permet de déterminer qu'elle n'a pas cette capacité ?
te semble t il bon qu'elle la récupère ?
 
Leo Lavoie

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Ta question me semble importante mais je ne la comprends pas vraiment. Tu peux élaborer ?
 
Klok

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Je pense au modèle de l'AT notamment
(mais on peut raisonner aisément sans)

La nana qui réagit mal à une voix basse et l'associe aux violences de son enfances est clairement bloquée dans l'enfant : ni adulte ni parent
Ce qui, pour les non ATistes, revient à que de perdre sa capacité de penser (raisonner logiquement et de manière distancée) et la capacité de se rassurer elle même.

La voix/mots réactivent (à mon sens corrigez moi si je me trompe) l'ancrage très puissant qui a été fait avec violence sexuelles (par exemple)

Hors, dans les faits, récupérons notre capacité à penser, c'est un hypnotiseur que l'on est venu voir pour un but précis. Il est fréquent en hypnose qu'on parle à voix basse.
Les mots peuvent être pris dans d'autres sens mais je n'ai pas assez d'informations pour déterminer si je suis en danger ou pas
(à moins d'en avoir recueilli d'autres mais c'est une autre histoire)

d'où ma question :

Qu'est ce qui te permet de déterminer que la nana n'a pas ces capacités ?


Ensuite lorsque tu mets un bémol à certaines inductions de l'hypnotiseur (que je ne connais pas au demeurant) et plus particulièrement celle qui est cité tu nous dis que cela fait appel à des représentations malsaines que tu penses être partagés par plusieurs personnes, notamment la demoiselle dont nous parlions précédemment.

d'où ma question :

"Tu parles de la représentation supposée que l'on s'en fait ?"

supposée parce qu'il n'y a aucun moyen de savoir vraiment si elle est partagés ou non (si tout le monde a fait cette association/ancrage entre les deux)

c'est très subjectif non ?
(mais je suis complètement ok pour le prendre en compte ou minimiser l'impact de ce phénomène lorsque l'on est hypnotiseur ^^ on a )
 
Leo Lavoie

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Ah mais c'est que les questions sont bonnes.

D'abord moi, je dirais à la "nana" (ça vous dérange pas que l'on dise "la femme"? :wink: ) ...La femme en question donc ( mais ce pourrait être aussi un homme mais c'est bien plus souvent des femmes), on peut lui dire de ne pas hésiter d'exprimer tout inconfort que le ton de la voix pourrait évoquer.

Et l'on parle ici en particulier avec Brooks, d'inductions indirectes... Les choses indirectes (et j'ai bien suivi son séminaire) ressemblent aux innuendos des abuseurs, comme je l'ai décrit plus haut. L'abuseur ne dira pas "tu voudrais bien me "su..."" Il dira des choses tout à fait indirecte pour "séduire" ou inciter l'enfant à faire des choses sexuelles.

Les gens qui ont été abusés sexuellement sont facilement déclenchés par des situations, des intonations de voix et, encore plus dans un cabinet bien fermé et parfois bien capitonné et insonorisé.

Alors voilà... oui c'est bien les inductions indirectes et tout le tra la la mais il faut faire attention à ça, c'est tout. Et il ne faut pas attendre que la personne soit très profondément mal à l'aise. Il faut lui donner la chance d'exprimer son inconfort, qui peut être assez intense, et il faut alors s'ajuster en conséquence, quitte à la référer à une femme hypnothérapeute si la personne fut abusée par un homme.
 
Klok

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je titille un peu hein ;)

tu dis
L'abuseur ne dira pas "tu voudrais bien me "su..."" Il dira des choses tout à fait indirecte pour "séduire" ou inciter l'enfant à faire des choses sexuelles.
ce qui me dérange est la généralisation que tu en fais
as tu des preuves concrètes qui démontrent que qqun de plus de 18 ans ne peut utiliser que ce protocole ci lorsqu'il veut avoir des relations sexuelles avec un mineur non pubère qui ne l'a pas souhaité en premier lieu ?
J'ai du mal avec ta définition d'abuseur qui m'évoque plus quelque chose d'émotionnel que de rationnel.

Cependant il est possible que ce que tu décrives soit la façon la plus retrouvée/classique/fréquente de vivre un abus sexuel. Mais alors on parle de la subjectivité de l'enfant abusé, non de l'abuseur.
appelons un chat, un chat et soyons précis :)

Ce qui m'amène à te demander :
pour toi, c'est quoi un abuseur ?

Les gens qui ont été abusés sexuellement sont facilement déclenchés par des situations, des intonations de voix et, encore plus dans un cabinet bien fermé et parfois bien capitonné et insonorisé.
C'est ce que j'entendais par ancrage on est d'accord ^^

oui c'est bien les inductions indirectes et tout le tra la la mais il faut faire attention à ça, c'est tout. Et il ne faut pas attendre que la personne soit très profondément mal à l'aise. Il faut lui donner la chance d'exprimer son inconfort, qui peut être assez intense, et il faut alors s'ajuster en conséquence, quitte à la référer à une femme hypnothérapeute si la personne fut abusée par un homme.
La chose centrale en thérapie étant le rapport qui nous permet de ressentir en temps réel ce que l'autre ressent, à priori le malaise se détecte dès son apparition et on peut en parler.
Mais dans le cas d'un malaise du patient le rapport en prend un sérieux coup, tout dépend comment il est géré :
si l'hypnotiseur en récupère un de très bonne qualité (voire sur plusieurs séances) la femme va (je l'espère pour elle sinon elle perd son temps et son argent) se confier et on pourra prendre en compte les abus sexuels dans la thérapie
ou bien l'hypnotiseur est proprement incompétent et ne repère pas les premiers signes de "mal à l'aise" et va au mieux perdre une cliente au pire faire encore plus de dégâts qu'il n'y en avait déjà...
On parle bien d'hypnose et non d'autres méthodes de thérapies (bien que ça ne soit pas étanche dans l'absolu), sinon ce que j'ai écrit n'est plus valable (à supposer qu'il le soit dans ce cas :p) en tant que tel.

l'abus sexuel joue un rôle dans ce pourquoi elle viendra en thérapie (ou pas mais ça m'étonnerait, supposons que ça soit le cas ici) que ça soit ou non conscient. Ne pas profiter du malaise créé (s'il se crée) pour le traiter et l'envoyer chez une femme thérapeute relève à mon sens soit de l'incompétence soit d'un thérapeute qui ne veut pas soigner ses patientes...
je dis cela sans agressivité et "incompétence" n'est pas au sens absolu mais bien relatif (si la femme commence une crise incontrôlable par l'homme il arrive à son plafond de compétence, comme il peut l'atteindre par le seul malaise de la femme également, dans ce cas il est en effet bon de le reconnaître et de rediriger la patiente)

bon en effet tout ceci est dans le cadre particulier d'une relation en tete à tete

j'ai du mal à voir comment Brooks peut gérer ce genre de cas problématiques en groupe (avec des inconnus) ou via VHS...
cela me laisse songeuse quant à l'importance du marketing dans son travail... la qualité, à la vue de ce dont nous discutons Léo, me semble en pâtir...
Qu'en penses tu ?


Klok.
PS: ne pas hésiter à me reprendre si j'ai mal compris qqch :) :) :)
I'm open!
 
Leo Lavoie

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Bon ben d'abord, un abuseur sexuel c'est quelqu'un qui abuse d'une situation quelconque pour obtenir des échanges sexuels qui seraient non consentants n'eut été de cette situation.

Dans le cas qui nous préocuppe ici il s'agit d'un adulte qui abuse sexuellement d'un enfant. Toute personne pré-pubère est un enfant. Et toute personne prépubère ne peut consentir à l'échange sexuel. Les consentemens obtenus quand ils sont obtenus n'en sont pas. Tout simplement parce qu'un enfant est un enfant.

L'échange de "touche pipi" entre enfants n'a rien à voir, bien sûr

Et, oui, ce que je décris est une situation "classique" mais il y en a de toutes les sortes.

Et, moi aussi, j'en viens malgré moi à me poser des questions sur la qualité du travail de Brooks. Dans le séminaire, il semble que la jeune fille prise pour faire une démonstration fut prise au hasard mais je n'en sais rien. Mais je vous le dis. Je connais perso quelques femmes qui, comme tant d'autres ont subi des attouchements d'adultes, et qui ne supporteraient pas cette façon qu'il a de parler.

Je la décris un peu encore... Il s'agit toujours de façons de parler indirectes (nécessairement puisque que c'est ça la technique).

Et, en plus il le fait, en inspirant et expirant au même rythme que la personne et ça s'entend dans ces phrases indirectes... Comme "et peut-être que tu ressens d'autres parties de ton corps qui se détendent?"

Ma foi! Je n'ai jamais été abusé de cette façon mais j'en ai froid dans le dos! :lol:
 
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ospath

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Léo, je pense que tu peux avoir raison, c'est ton intuition, fruit de ton expérience ;) ; ce qui pourrait-être intéressant, pour revenir au sujet, ce serait d'en faire part à Stephen Brooks et de lui demander ce qu'il en pense, puisque qu'il à l'air avide de partager son savoir ... Cela dit, je pense qu'un praticien expérimenté est capable de ressentir dès son apparition un malaise éventuel, et d'adapter son comportement en fonction ; Bandler et Grinder nous disent qu'il n'y a pas de résistance du patient, mais que c'est à nous de sans cesse nous adapter. Très pertinent, cependant, je n'hésiterais pas à la diriger vers une hypnothérapeute, après m'être et lui avoir demandé si cela l'aiderait. On dispose de toutes sortes d'outils pour éviter que la patiente soit amenée à vivre de mauvaises expérience ; par exemple, si cette patiente vient consulter justement pour ce problème d'abus sexuel, on peut utiliser, dès son arrivée dans le cabinet, une interruption de pattern, pour induire une transe légère et placer un fusible qui lui éviterait de vivre des expériences désagréables pendant la séance. Autre exemple, si l'on ressent un malaise chez une patiente dont on n'est pas informée qu'elle a subi des abus sexuelles, avec l'expérience, on peut très vite identifier le "déclencheur" auquel ce malaise est associé (notre voie ou les suggestions indirectes comme vous les mentionniez, Léo) et les désancrer. Quand au fait de refléter la respiration de la patiente, ce peut-être un outil très efficace, et il existe plusieurs manière de refléter une respiration, par exemple, par des mouvements de la main. Donc d'accords avec vous en rajoutant quelques petits trucs ;)
 
katia (zoulouk)

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Une copine est allée consulter un hypnothérapeute, un homme. Elle me disait qu'elle était très anxieuse, car elle avait peur de se faire abuser par le th et qu'ainsi elle n'arrivait pas à entrer en transe, ni à bénéficier de sa thérapie.

Elle n'osait pas lui dire, de peur de vexer ce thérapeute et elle a abandonné.
Et justement le fait de détendre certaines parties de son corps, la ramenaient à des souvenirs d'agression.

Je lui ai conseillé d'aller voir un thérapeute de sexe féminin, pour éviter ce problème.
 
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ospath

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En tout cas, il est tout à fait utile de savoir que l'on peut, sans le vouloir, provoquer ce genre de réactions, c'est toujours bon à intégrer dans sa pratique, comme j'aime à le dire, la meilleure arme contre l'ignorance, reste sans détours le savoir, donc merci à Léo qui a abordé cet aspect et à Katia qui nous en a donné un exemple concret ; je ne laisse pas le moindre doute sur le fait que tous ceux qui auront pris en compte ces avertissements, en verront leur approche de l'hypnothérapie optimisée.
 
Leo Lavoie

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Ah ben Katia. Je te remercie de si bien illustrer mon propos par un exemple si concret.

Oui, en effet, ton conseil d'aller voir une femme plutôt qu'un homme était tout à fait approprié et pertinent. Je crois bien que dans bien des cas, il n'y aura pas d'autres solutions, surtout pour les débuts de thérapie.

Et pour Mr Ospath... ben... y'a pas d'quoi. :D
 
valikor

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ou faire directement de l'emdr en visuel pour l'aider à se débarrasser de tout cela, comme cela elle garde le contrôle. ca m'est arrivé une fois...
 
katia (zoulouk)

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Cette peur a été en fait supérieure à tout ce que le th a pu lui proposer.
En psychothérapie simple, sans contact, avec une voix normale du th, pas de problème particulier.
Le th a un moment donné durant la séance d'hypnose, a du lui prendre la main ou le poignet , et là panique!
 
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ospath

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valikor à dit:
ou faire directement de l'emdr en visuel pour l'aider à se débarrasser de tout cela, comme cela elle garde le contrôle. ca m'est arrivé une fois...

oui, EMDR avec un autre thérapeute pour traiter ça avant de revenir à l'hypnose peut-être ?
 
surderien

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En reprenant cette discussion, je vois qu'elle reprend une question de fond: peut-on se laisser abuser sous hypnose ?

Si l'hypno est un thérapeute bien formé en psycho (donc en sexologie) et conscient de sa fonction, il est armé pour ne pas en abuser et pour ne pas se laisser abuser par des patients pervers.
 
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