Nouvelle et son mal être

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goupyrimel

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Bonjour,

Je me suis inscrite pour m'informer sur l'hypnose ericksonnienne.
Je suis sous anti-dépresseur pour la troisième fois de ma vie (j'ai 41 ans) en 3 ans. J'ai essayé des choses (yoga, sophrologie, suivi par un psychiatre) et cela ne m'empêche pas de recommencer mes angoisses.
Je suis suivi par une psychologue en ce moment et cela ne donne pas beaucoup de résultats. Je voudrait essayer l'hypnose éricksonniennne.
Quelqu'un peut'il me donner des infos et me dire si cela a été efficace.
J'habite dans le 01, quelqu'un aurait'il une adresse à me donner de quelqu'un de bien qui pourrait m'aider sans me ruiner.
Merci pour vos réponses.
Bonne année à tous.
 
L

laurenzo

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valikor à dit:
votre logique fautive et votre mauvaise foi me conduit à lacher prise.

je n'ai jamais dit qu'on pouvait déceler un déni de grossesse mais que de telles femmes pouvaient présenter certains symptômes...

Euh non vous n'avez pas dit qu'elles pouvaient présenter certains symptômes mais qu'elles en présentaient de manière certaine. :?

Bref comme souvent Valikor, dès que l'on vous pose 2-3 questions, votre discours est rempli de contradictions, vous nous sortez de grandes théories qui sortent de nulle part et qui aboutissent... nulle part, dur dur. :oops:
 
L

laurenzo

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katia (zoulouk) à dit:
Mais rien Laurenzo.....

Vous seriez vraiment mal barré en substance....

Crois pas que ce serait possible....

Vous le souhaite pas .... parce qu'avec un tel

changement seriez perdu....

Pas trop d'un coup, faut faire dans la mesure quand

même....

Donc vous vous appliquez à être agressive toute la journée, à monter de grandes stratégies pour que je change, à inventer des réponses pour nous expliquer que votre agressivité n'est jamais de votre faute et ce bien évidemment... sans raison, juste pour le fun. :D
Qui oserait douter que vous ne dites pas la vérité Katia? :wink:
 
katia (zoulouk)

katia (zoulouk)

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Je peux bien m'amuser à etre actrice, non ?

Je peux changer mon humeur....

Est ce que je suis mon humeur ?

Est ce que je m'identifie à elle pour me laisser submerger ?

Est ce que je choisis de me laisser submerger ?


C'est un bad feeling, je vais changer.....
 
M

Métaphore

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laurenzo à dit:
Je vous parlais dans un autre post d'un thérapeute, formateur dans une association bien connue que j'avais pu voir en thérapie. En 20 secondes je peux vous assurer que mon esprit critique était très loin tant ses suggestions étaient brillantes, les stratégies fines et originales. Je pouvais réfléchir à une suggestion, le temps que je comprenne la stratégie, 10 autres suggestions avaient été faites.

Et alors pourquoi cela n'a pas donné les suites que vous attendiez ? pourtant c'était bien parti ?
 
M

Métaphore

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Mon formateur disait que les échecs de l'hypnothérapie liés au patient étaient :

1) Echecs pendant l'induction

- Manque de motivation pour s'améliorer
- Peur de soumission : adopter une attitude passive

- Résistance à l'induction :
Patients confondant hypnotisabilité et naïveté
Patients qui défient le thérapeute

Expliquer au patient que c'est lui seul qui peut s'hypnotiser


2) Echecs de l'hypnothérapie

- Patients qui cherchent une disparition miraculeuse du symptôme
Le symptôme agissant comme une défense.
- Seuil bas de tolérance à la frustration
- Causes organiques du symptôme
- Buts thérapeutiques non définis

Déterminer les buts thérapeutiques à atteindre : approche symptomatique pour ceux qui ont une motivation faible, un temps insuffisant.


 
valikor

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laurenzo à dit:
valikor à dit:
votre logique fautive et votre mauvaise foi me conduit à lacher prise.

je n'ai jamais dit qu'on pouvait déceler un déni de grossesse mais que de telles femmes pouvaient présenter certains symptômes...

Euh non vous n'avez pas dit qu'elles pouvaient présenter certains symptômes mais qu'elles en présentaient de manière certaine. :?

Bref comme souvent Valikor, dès que l'on vous pose 2-3 questions, votre discours est rempli de contradictions, vous nous sortez de grandes théories qui sortent de nulle part et qui aboutissent... nulle part, dur dur. :oops:

donc je vous dis A implique probablement B ou C et vous me répondez, que je dis que B implique A????

relisez ce que j'ai écris.
 
valikor

valikor

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Métaphore à dit:
Mon formateur disait que les échecs de l'hypnothérapie liés au patient étaient :

1) Echecs pendant l'induction

- Manque de motivation pour s'améliorer
- Peur de soumission : adopter une attitude passive

- Résistance à l'induction :
Patients confondant hypnotisabilité et naïveté
Patients qui défient le thérapeute

Expliquer au patient que c'est lui seul qui peut s'hypnotiser


2) Echecs de l'hypnothérapie

- Patients qui cherchent une disparition miraculeuse du symptôme
Le symptôme agissant comme une défense.
- Seuil bas de tolérance à la frustration
- Causes organiques du symptôme
- Buts thérapeutiques non définis

Déterminer les buts thérapeutiques à atteindre : approche symptomatique pour ceux qui ont une motivation faible, un temps insuffisant.



liste non limitative à laquelle vous pouvez rajouter :

le probleme fait partie de l'identité de la personne et/ou son passé aussi...de façon fortement ressentie.
 
valikor

valikor

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Métaphore à dit:
Valikor, je ne parle pas des problème du patient, mais de l'échec à l'hypnothérapie.

mais j'avais bien compris et j'avais bien lu.

l'impression fortement ressenti que le problème (=anxiété, par exemple) fait partie de la personne constitue ET un problème ET un facteur de résistance voire carrément un facteur de rechute (à 8/10, c'est sûr qu'il y a rechute).

c'est comme si la personne disait : par définition, je suis anxieux. c'est donc lié au patient aussi...
 
M

Métaphore

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Ben non je ne vois pas le rapport, cela fait partie du trouble de la personne que ce soit l'anxiété ou n'importe quoi d'autre, ou cela rentre dans une des catégorie déjà énoncée. (Le symptôme agissant comme une défense).
 
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laurenzo

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Métaphore à dit:
laurenzo à dit:
Je vous parlais dans un autre post d'un thérapeute, formateur dans une association bien connue que j'avais pu voir en thérapie. En 20 secondes je peux vous assurer que mon esprit critique était très loin tant ses suggestions étaient brillantes, les stratégies fines et originales. Je pouvais réfléchir à une suggestion, le temps que je comprenne la stratégie, 10 autres suggestions avaient été faites.

Et alors pourquoi cela n'a pas donné les suites que vous attendiez ? pourtant c'était bien parti ?

Malheureusement non ça n'a pas donné de résultats, ce thérapeute ne comprenant pas plus que moi pourquoi la thérapie ne faisait pas effet.

Il y avait la motivation pour aller mieux, la mise en transe était très rapide et la transe profonde, la confiance dans le thérapeute y était également. Très frustrant comme vous pouvez l'imaginer de sentir que tous les ingrédients sont réunis et que pour autant les résultats ne suivent pas.
 
L

laurenzo

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valikor à dit:
donc je vous dis A implique probablement B ou C et vous me répondez, que je dis que B implique A????

relisez ce que j'ai écris.

C'est un dialogue de sourds là. :?

Pour résumer, vous affirmez qu'une femme qui a fait un déni de grossesse aura eu d'autres symptômes bien identifiables avant le déni, vous nous en faites même une petite liste. De mon côté je pense que l'on ne peut pas affirmer cela et que cela se base, une fois encore, sur des croyances non documentées.

Tout cela pour en revenir à la question d'origine: si une personne ne présente pas de symptômes visibles et qu'elle vous dit que ça va bien, selon vous sans contestation possible, la personne n'a pas de problème.
Pour autant vous reconnaissez que c'est une accumulation d'évènements qui mènent une personne à développer un trouble en t, les 1ers évènements pouvant prendre place en t-1.
De mon côté je considère que l'évènement en t pourra être un déclencheur et que les réels problèmes pourront (je ne dis pas seront mais pourront) prendre en place en t-1 au moment où rien n'est visible.
 
valikor

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laurenzo à dit:
valikor à dit:
donc je vous dis A implique probablement B ou C et vous me répondez, que je dis que B implique A????

relisez ce que j'ai écris.

C'est un dialogue de sourds là. :?

Pour résumer, vous affirmez qu'une femme qui a fait un déni de grossesse aura eu d'autres symptômes bien identifiables avant le déni, vous nous en faites même une petite liste. De mon côté je pense que l'on ne peut pas affirmer cela et que cela se base, une fois encore, sur des croyances non documentées.

Tout cela pour en revenir à la question d'origine: si une personne ne présente pas de symptômes visibles et qu'elle vous dit que ça va bien, selon vous sans contestation possible, la personne n'a pas de problème.
Pour autant vous reconnaissez que c'est une accumulation d'évènements qui mènent une personne à développer un trouble en t, les 1ers évènements pouvant prendre place en t-1.
De mon côté je considère que l'évènement en t pourra être un déclencheur et que les réels problèmes pourront (je ne dis pas seront mais pourront) prendre en place en t-1 au moment où rien n'est visible.

non j'ai affirmé que ce type de personne pouvait aussi présenter avant d'autres symptômes tels que manque de confiance en soi, surpoids, je n'ai jamais dit que toutes les personnes manquant de conafiance en soi et en surpoids allait faire un déni de grossesse...

par ailleurs que mettez vous derrière "problème"? juste un mauvais souvenir?

pour moi un ensemble de mauvais souvenirs devient un réel problème qu'à partir du moment ou la personne commence à ressentir une atteinte, un symptôme se développant généralement plus tard que l'atteinte ressentie vis à vis de son bien être et/ou de sa confiance en soi.

avant l'apparition d'une atteinte ou d'1 symptôme, une personne aura peut etre qq mauvais souvenirs, pour vous ca sera un problème, pour moi, pas un réel problème car pour l'instant, s'il n'y a pas d'atteinte et pas de symptômes, alors la personne ne fera rien pour nettoyer cela et elle sera suffisamment proche d'être complètement bien et heureuse pour que cela ne fasse qu'une différence infinitésimale.

vous connaissez le concept mathématique de la limite? on s'en approche et on l'atteint qu'à l'infini.

il est possible que vous soyez trop perfectionniste et vous ne vous satisfaites pas de ce vous réussissez donc à atteindre.

j'ai pas besoin et personne n'a besoin d'être à la limite (ie : tous les ressentis à 0), mais d'être suffisamment près pour que cela ne fasse aucune différence perceptible dans le ressenti.
 
M

Métaphore

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laurenzo à dit:
Métaphore à dit:
laurenzo à dit:
Je vous parlais dans un autre post d'un thérapeute, formateur dans une association bien connue que j'avais pu voir en thérapie. En 20 secondes je peux vous assurer que mon esprit critique était très loin tant ses suggestions étaient brillantes, les stratégies fines et originales. Je pouvais réfléchir à une suggestion, le temps que je comprenne la stratégie, 10 autres suggestions avaient été faites.

Et alors pourquoi cela n'a pas donné les suites que vous attendiez ? pourtant c'était bien parti ?

Malheureusement non ça n'a pas donné de résultats, ce thérapeute ne comprenant pas plus que moi pourquoi la thérapie ne faisait pas effet.

Il y avait la motivation pour aller mieux, la mise en transe était très rapide et la transe profonde, la confiance dans le thérapeute y était également. Très frustrant comme vous pouvez l'imaginer de sentir que tous les ingrédients sont réunis et que pour autant les résultats ne suivent pas.

Et que pensez vous des possibilités d'échecs à l'hypnothérapie énoncés plus haut ?
 
M

Métaphore

Invité
Je partage tout à fait ce que dit Valikor au sujet de la tolérance des souvenirs...néanmoins il ne faut pas attendre forcément qu'un symptôme apparaisse, il y a déjà le ressenti et le mal être intérieur mais pas forcément une apparition d'un symptôme mais en général il ne tarde pas quand le sujet arrive à un seuil critique c'est ce qui permet de prendre conscience parfois de l'urgence de notre état.

Toutefois cela peut prendre des années, puisque la psychosomatique indique bien somatiser pour un mal qu'on refoule.
 
L

laurenzo

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valikor à dit:
non j'ai affirmé que ce type de personne pouvait aussi présenter avant d'autres symptômes tels que manque de confiance en soi, surpoids,

Non vous avez affirmé que ce type de personne présenterait de manière certaine d'autres symptômes avant le déni (souvenez vous, vous étiez prêt à le parier...). Encore une fois sur quoi repose cette affirmation?

valikor à dit:
pour moi un ensemble de mauvais souvenirs devient un réel problème qu'à partir du moment ou la personne commence à ressentir une atteinte, un symptôme se développant généralement plus tard que l'atteinte ressentie vis à vis de son bien être et/ou de sa confiance en soi.

Donc si à 6 ans une personne a été humiliée et que ça a affecté sa confiance, que le schéma s'est reproduit à 9 ans, qu'elle a eu quelques réflexions vexantes au collège mais qu'au lycée elle était globalement appréciée et se considérait bien dans sa peau, pour vous elle n'a aucun problème.
Et si un jour elle commence à faire de grosses crises d'angoisse après qu'un petit ami lui ait fait une remarque désobligeante, vous considèrerez donc que c'est ce déclencheur qui marque le début de son mal être.

Pourtant en thérapie elle vous dire que l'évènement à ses 6 ans est ressenti à 8/10 en terme de douleur, celui à ses 9 ans à 7/10, que sa période collège est à 8/10 mais qu'elle avait mis ça dans un coin de sa tête au lycée, qu'elle ne voulait pas y penser.

Elle allait si bien que ça avant que son petit ami lui lance une critique qui a réveillé ses nombreuses douleurs du passé? Avant de faire des crises d'angoisse elle était une personne parfaitement stable et bien dans sa peau?
 
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laurenzo

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Métaphore à dit:
Mon formateur disait que les échecs de l'hypnothérapie liés au patient étaient :

1) Echecs pendant l'induction

- Manque de motivation pour s'améliorer
- Peur de soumission : adopter une attitude passive

- Résistance à l'induction :
Patients confondant hypnotisabilité et naïveté
Patients qui défient le thérapeute

Expliquer au patient que c'est lui seul qui peut s'hypnotiser


2) Echecs de l'hypnothérapie

- Patients qui cherchent une disparition miraculeuse du symptôme
Le symptôme agissant comme une défense.
- Seuil bas de tolérance à la frustration
- Causes organiques du symptôme
- Buts thérapeutiques non définis

Déterminer les buts thérapeutiques à atteindre : approche symptomatique pour ceux qui ont une motivation faible, un temps insuffisant.



Je rentrais en transe avec tous les thérapeutes donc la 1ère partie a priori pas de problème.
Pour la 2ème partie, plusieurs thérapeutes m'ont affirmé que la cause devait sans doute être organique ne voyant pas de problème autre.
 
surderien

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laurenzo à dit:
Métaphore à dit:
Mon formateur disait que les échecs de l'hypnothérapie liés au patient étaient :

1) Echecs pendant l'induction

- Manque de motivation pour s'améliorer
- Peur de soumission : adopter une attitude passive

- Résistance à l'induction :
Patients confondant hypnotisabilité et naïveté
Patients qui défient le thérapeute

Expliquer au patient que c'est lui seul qui peut s'hypnotiser


2) Echecs de l'hypnothérapie

- Patients qui cherchent une disparition miraculeuse du symptôme
Le symptôme agissant comme une défense.
- Seuil bas de tolérance à la frustration
- Causes organiques du symptôme
- Buts thérapeutiques non définis

Déterminer les buts thérapeutiques à atteindre : approche symptomatique pour ceux qui ont une motivation faible, un temps insuffisant.



Je rentrais en transe avec tous les thérapeutes donc la 1ère partie a priori pas de problème.
Pour la 2ème partie, plusieurs thérapeutes m'ont affirmé que la cause devait sans doute être organique ne voyant pas de problème autre.


En hypnose pour moi on n'est pas là pour faire de l'analyse et de la contre analyse du thérapeute et de la thérapie !

ou on a confiance dans l'hypnothérapeute qu'on a en face de soi, ou on l'a pas

partant de là ...ou on change d'hypnothérapeute...ou on évite l'hypnose...


8)
 
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laurenzo

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surderien à dit:
En hypnose pour moi on n'est pas là pour faire de l'analyse et de la contre analyse du thérapeute et de la thérapie !

ou on a confiance dans l'hypnothérapeute qu'on a en face de soi, ou on l'a pas

partant de là ...ou on change d'hypnothérapeute...ou on évite l'hypnose...


8)

Et est-il concevable pour vous que l'on ait confiance dans l'hypnothérapeute, que l'on soit persuadé que l'hypnose est une bonne méthode, que l'on ait une grosse motivation et que malgré tout les résultats ne soient pas au rendez-vous?
 
Petite fleur

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Je rentrais en transe avec tous les thérapeutes donc la 1ère partie a priori pas de problème.
Pour la 2ème partie, plusieurs thérapeutes m'ont affirmé que la cause devait sans doute être organique ne voyant pas de problème autre.

Lorenzo, et si le problème si situait à un niveau plus profond ?
 
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Petite fleur à dit:
Je rentrais en transe avec tous les thérapeutes donc la 1ère partie a priori pas de problème.
Pour la 2ème partie, plusieurs thérapeutes m'ont affirmé que la cause devait sans doute être organique ne voyant pas de problème autre.

Lorenzo, et si le problème si situait à un niveau plus profond ?

C'est à dire?
 
Petite fleur

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laurenzo à dit:
Petite fleur à dit:
Un truc provenant de l'inconscient familial ou générationnel par exemple...

Comment fait-on pour le savoir? Et pour en guérir?

Je ne fais qu'émettre une hypothèse lorenzo.
Je pense à un truc qui ne vous appartient pas en propre (ca exclut donc les traumatismes) mais que vous vous êtes approprié quand vous étiez bébé ou enfant.
Ca pourrait être une projection provenant de votre mère par exemple...
Et là, les exemples ne manquent pas... Grosesse non désiré, ou issu d'un viol, fort désir de la mère d'avoir une fille, une grande déception etc...

Croyez-vous cela possible ?
 
L

laurenzo

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Petite fleur à dit:
laurenzo à dit:
Petite fleur à dit:
Un truc provenant de l'inconscient familial ou générationnel par exemple...

Comment fait-on pour le savoir? Et pour en guérir?

Je ne fais qu'émettre une hypothèse lorenzo.
Je pense à un truc qui ne vous appartient pas en propre (ca exclut donc les traumatismes) mais que vous vous êtes approprié quand vous étiez bébé ou enfant.
Ca pourrait être une projection provenant de votre mère par exemple...
Et là, les exemples ne manquent pas... Grosesse non désiré, ou issu d'un viol, fort désir de la mère d'avoir une fille, une grande déception etc...

Croyez-vous cela possible ?

Je ne crois pas non. Quand bien même cela serait possible qu'y aurait-il à faire?
 
valikor

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laurenzo à dit:
valikor à dit:
non j'ai affirmé que ce type de personne pouvait aussi présenter avant d'autres symptômes tels que manque de confiance en soi, surpoids,

Non vous avez affirmé que ce type de personne présenterait de manière certaine d'autres symptômes avant le déni (souvenez vous, vous étiez prêt à le parier...). Encore une fois sur quoi repose cette affirmation?
oui et je le maintins, mais ce que vous ne comprenez visiblement pas, c'est que des personnes différentes avec des problématiques différentes peuvent présenter des symptômes très similaires....il est donc impossible à partir d'un simple manque de confiance en soi de prévoir quoique ce soit des réactions de la personne. par contre vous pouvez dire, la personne a un vécu qui la dérange. C'est tout.

il y a une hiérarchie au niveau des symptômes.

plus vous accumulez, plus vos symptômes sont graves et importants et avec des répercussions fortes.

c'est comme une descente infernale... en escaliers... de plus en plus glissants... plus vous descendez, plus c'est facile de descendre en glissant et plus cela se verra que vous allez mal.

le déni c'est un truc qu'on peut faire quand on est déjà assez bas dans l'escalier... avant, au niveau des premières marches, je ne pense pas que cela soit possible.

laurenzo à dit:
valikor à dit:
pour moi un ensemble de mauvais souvenirs devient un réel problème qu'à partir du moment ou la personne commence à ressentir une atteinte, un symptôme se développant généralement plus tard que l'atteinte ressentie vis à vis de son bien être et/ou de sa confiance en soi.

Donc si à 6 ans une personne a été humiliée et que ça a affecté sa confiance, que le schéma s'est reproduit à 9 ans, qu'elle a eu quelques réflexions vexantes au collège mais qu'au lycée elle était globalement appréciée et se considérait bien dans sa peau, pour vous elle n'a aucun problème.

non à 6 ans, la question de confiance en soi n'a pratiquement pas de sens...

plus tard, elle dira je me sens pas mal, mais en public ca va pas.
elle ne peut pas se sentir bien dans sa peau et dire tout va bien en ayant vécu tout cela.

Et si un jour elle commence à faire de grosses crises d'angoisse après qu'un petit ami lui ait fait une remarque désobligeante, vous considèrerez donc que c'est ce déclencheur qui marque le début de son mal être.
encore une fois non, elle n'aura pas suffisamment accumulé pour faire des angoisses. Elle fera des montées de stress. nuance.

il aurait fallu l'équivalent cumulé de 6 souvenirs à 10 pour faire des angoisses (environ, basé sur observations, dépendant de la personnalité de la personne et de sa capacité à s'angoisser).

Pourtant en thérapie elle vous dire que l'évènement à ses 6 ans est ressenti à 8/10 en terme de douleur, celui à ses 9 ans à 7/10, que sa période collège est à 8/10 mais qu'elle avait mis ça dans un coin de sa tête au lycée, qu'elle ne voulait pas y penser.

Elle allait si bien que ça avant que son petit ami lui lance une critique qui a réveillé ses nombreuses douleurs du passé? Avant de faire des crises d'angoisse elle était une personne parfaitement stable et bien dans sa peau?

elle aurait commencé à avoir un blocage ds certaines situations, dés le premier évènement au niveau social.
des problèmes scolaires au collège
et aurait commencé à dire "ca va bof" et non pas "ca va bien".

le regard et jugement d'autrui aurait été douloureux.
 
valikor

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laurenzo à dit:
surderien à dit:
En hypnose pour moi on n'est pas là pour faire de l'analyse et de la contre analyse du thérapeute et de la thérapie !

ou on a confiance dans l'hypnothérapeute qu'on a en face de soi, ou on l'a pas

partant de là ...ou on change d'hypnothérapeute...ou on évite l'hypnose...


8)

Et est-il concevable pour vous que l'on ait confiance dans l'hypnothérapeute, que l'on soit persuadé que l'hypnose est une bonne méthode, que l'on ait une grosse motivation et que malgré tout les résultats ne soient pas au rendez-vous?

oui, si le problème fait partie de votre identité, vous pouvez faire du surplace.
 
valikor

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laurenzo à dit:
Petite fleur à dit:
Un truc provenant de l'inconscient familial ou générationnel par exemple...

Comment fait-on pour le savoir? Et pour en guérir?

on se concentre sur ses parents ou les grdds parents dont on nous a parle et on évalue le ressenti que l'on a en se concentrant sur eux.
 
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laurenzo à dit:
Petite fleur à dit:
Un truc provenant de l'inconscient familial ou générationnel par exemple...

Comment fait-on pour le savoir? Et pour en guérir?

Je ne fais qu'émettre une hypothèse lorenzo.
Je pense à un truc qui ne vous appartient pas en propre (ca exclut donc les traumatismes) mais que vous vous êtes approprié quand vous étiez bébé ou enfant.
Ca pourrait être une projection provenant de votre mère par exemple...
Et là, les exemples ne manquent pas... Grosesse non désiré, ou issu d'un viol, fort désir de la mère d'avoir une fille, une grande déception etc...

Croyez-vous cela possible ?

Je ne crois pas non. Quand bien même cela serait possible qu'y aurait-il à faire?

on évacue les souffrances du parents que l'on ressent encore.
 
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