Comment éviter un super- émetteur de négativité ?

Il doit être vraiment pénible ce collègue car le sujet apparaît deux fois sur deux posts différents.

Une des possibilités, c'est de la jouer encore plus négatif que lui
lui renvoyer son propre miroir.
En lui envoyant du positif, il trouvera toujours à redire,
alors aller dans une hypra-négativité, pire que la sienne

 

Je m'amuserai à jouer le catastrophisme

 

Tu fais comment ?

 

Je vais dans son sens en y allant plus fort que lui, tout en gardant à l'esprit que c'est un jeu (je me détache en fait) par une sorte de "parodie"

 

Une solution serait d'envoyer de l'amour à cette personne ou essayer d'identifier le besoin qu'elle a à agir de la sorte pour faciliter la relation...

 

Oui, bien sûr, Dide. Je penche plutôt pour envoyer de l'amour, la deuxième solution moins, car cette personne se trouvera vraisemblablement légitime à agir ainsi. C'est sa manière d'être et pour elle, ce n'est peut-être pas vraiment un problème.

 

Bonjour à tous, pourquoi ne pas lui signifier simplement que c'est pénible pour toi ? peut-être que cette personne ne s'en rend pas compte....Tu peux lui signifier que tu n'as rien contre lui mais que son comportement a un impact sur toi, s'il n'en fait pas exprès cela peut être une prise de conscience pour lui et si il s'avère que son comportement négatif est un message à ton égard : aller au fond des choses, que se passe t'il, pourquoi, etc...

 

Ha tiens,
Ca a un coté presque marrant, mon coté sarcastique . (désolé)
La fuite est toujours possible.
Il faut juste renoncer a sa zone de confort.
lui laisser en quelque sorte le terrain, c'est pas facile à encaisser il vous domine.
Mais...
vous avez des croyances sur l'existence de l'au delà, alors consolez vous librement en renforçant vos croyances.
Persuadez-vous qu'il l'emporteras pas au paradis.
Discutez en, comme colombo avec votre femme, changer d'air, comme en PNL prenez cela comme une ++opportunité++
Persuadez vous de cela .
Subissez, et cacher vos objectifs, postuler...et quand tout est en place, pas de regrets, envoyez votre dem.
Et c'est là que vous allez vous apercevoir de combien vous êtres précieux et et à quel point on chercheras a vous convaincre de rester .
Trouvez votre liberté, détachez vous de l'acquis.
Oui, vous aller comprendre ce que vivent vos patients dans cette déchéance sociale depuis deux décennie et à quel point l'empathie que vous leur prodiguer est inutile .
Vous le savez bien puisque vous avez passé des heures avec eux a les balader et a les faire lâcher prise...
Vous avez toute les clefs.
Ne pouvons pas imaginer qu'il puisse arriver que ce soit votre tour ?

Cela m'attriste, c'est pas quelque chose de très sympa à vivre.

Vous et moi savons que c'est pas la réalité.

Je vous souhaite Liberté, Egalité et, FRATERNITE
Vous avez toute mon empathie, bises .

 

jeangeneve,
Etant ultra spécialisé dans la négativité de haut niveau, n'as tu pas un antidote ultra puissant et compréhensible à proposer à la discutions ?

 

Si ce pervers narcissique (d'après ta description Surderien) se heurte à l'indifférence, si sa culpabilisation n'a aucun effet, ses manipulations non plus, il risque de se sentir très mal à l'aise, et jeter son dévolu sur une autre personne qu'il peut mieux manipuler.
Si ça ne lui rapporte rien, en terme d'égo, qu'en plus tu le parodies avec détachement, que tu fais ce qui te chante sans l'écouter, va t'il persévérer ??? Il peut te virer, certes, mais alors ouf débarrassé.

J'ai vu un pervers narcissique renoncer. Il a renoncé face à un autre pervers narcissique. Il y a peut être un enseignement à tirer de cela.

 

bonjour, je soigne en magnétisme à distance, sur photo. Quand quelqu'un est négatif à ce point et me demande mon aide, je me concentre et avant toute chose je me fais une carapace. Ensuite, j'envoie mentalement de la lumière, souvent ça suffit et je peux travailler mais certaines fois, rien n'y fait, le négatif est trop important et là, ben ce n'est même pas la peine d'essayer, rien ne se fera. Il faut aussi savoir dire non, aider c'est une chose, se faire vampiriser ou pire, c'est autre chose. Il faut savoir accepter qu'on ne peut pas toujours aider, c'est aussi une histoire d'égo. Si on insiste en se disant : je veux l'aider, c'est l'égo qui parle.

 

Bienvenue au club.

Je vous posterais un truc bientot et tenterais de répondre à la question de dide70

 

La fuite dans une relation conflictuelle n'est je pense pas la meilleurs solution, ok on se libère de l'affrontement mais elle laissera en finale un sentiment d'échec, le sentiment de ne pas avoir affronté la situation.
En même temps, il est indiqué pour un rabat-joie de le fuir...
Tu es médecin, à ta place je lui glisserait discrètement un somnifère dans le café pour deux raisons :
- le temps qui dors tu es tranquille ;
- s'il se fait prendre à dormir, il sera viré donc tu seras définitivement tranquille, et vu qu'il sera préoccuper à retrouver du boulot il ne pensera plus à faire chier son monde...

 

Bonsoir, la meilleure solution c'est l'ignorance. S'il n'y a pas de combattants, il n'y a pas de combats !

 

Montrer un autre chemin ?

Parce que dans le fond c'est une minorité qui dirige une majorité
Une minorité qui dicte sa "rentabilité"
Qui dirige, qui adhère, qui subit, qui se révolte, qui propose autre chose ?
Quelle est notre place dans cet ensemble et responsabilité en tant qu'atome de tout ce système ?

 

Il me revient facilement une situation vécue pendant une dizaine d'années dans le cadre de mes activités:

Un responsable hiérarchique pervers ayant obtenu son poste par copinage, incapable d'assumer ses responsabilités, incompétent dans les domaines qu'il devrait maîtriser, s'estimant être "la science", faisant "chialer" au sens propre des cadres responsables de son équipe pendant des réunions, empêchant toute demande de mutation en "assassinant" le candidat au départ qui n'en pouvait plus, transférant l'entière responsabilité de gros incidents coûteux sur les membres de son équipe alors que le problème provenait d'un fournisseur, convoquait dans son bureau sans donner le sujet et faisait poiroter: scénario type d'une technique de garde à vue, etc..

Que faire? J'ai décidé de l'ignorer, de lui faire passer un minimum d'informations, puisqu'elles auraient conduit à une perte de temps, de décider sans son approbation, même raison, mais aussi de faire une communication large horizontale et verticale à chaque fois qu'il y avait moyen de valoriser le positif et de lui glisser une peau de banane sans en avoir l'air quand c'était possible. Par exemple, faire remonter un problème pour lequel j'avais la réponse mais dont j'étais sur qu'il ne l'avait pas: d'ou branle bas de combat, coups de téléphones à n'en plus finir avec convocation d'un maximum de personnes dans son bureau, aucun résultat bien sûr. Quand la "manipulation" a bien fait son effet, désamorçage en apportant la solution.

Résultat: un minimum de problème et avec du recul, c'était la bonne attitude puisque j'étais respecté n'entrant pas dans son jeu mais j'avais aussi un comportement pervers manipulateur de temps en temps. Ce n'est donc pas facile de supporter un pervers quand on ne peut rien faire d'autre que de le supporter et le côtoyer.

Une fois m'en être débarrassé involontairement puisque "aspiré" dans une autre unité, J'ai trouvé le moyen de le prendre rétrospectivement en défaut et d'essayer de lui faire prendre à sa charge des coûts résultants de ses erreurs passées: déconfit et petite jouissance personnelle comme quoi le pardon est souvent théorique même avec la meilleure volonté.

Anecdote qui m'a laissé pantois:

Un jour que l'on s'est croisé par hasard, sa seule parole a été de me faire remarquer, que sur un sujet important, j'avais eu raison à l'époque, le compliment a été spontané sans même que j'évoque le sujet. Pourquoi ce mea culpa?

C'est du vécu.

Comment peut se glisser la sagesse dans ce type de situation?

J'ai décidé de minimiser les risques d'affrontement direct en prenant l'entière charge des responsabilités, y compris une partie des siennes et il a bien compris qu'il ne fallait pas venir me "chatouiller". Il n'empêche que, face à cette situation anormale, j'avais besoin de temps à autre d'agir pour le mettre en porte à faux.

J'ai aussi décidé qu'il ne m'atteindrait pas psychiquement, c'était un challenge, je l'ai réussi.

La vie est malheureusement un combat permanent.

 

Pourquoi tu dis jeangeneve que c'est inutile l'empathie, là tu m'intrigues ??
Même face à un " P.N " il est important d'avoir en fond de soi de l'empathie pour soutenir l'intention d'améliorer la relation ne serait-ce que pour tenir un minimum de communication constructive .

 

Nossolar

Encore eut-il fallu que cette personne, donc mon supérieur hiérarchique, comprenne mes études (la performance provenait de l'invention de nouvelles solutions par rapport à la concurrence). J'ai tenté plusieurs fois mais il s'en désintéressait, totalement incapable. Dans son délire, il se permettait quelquefois de dire qu'il était détenteur de la connaissance, léger sourire...Il ne fallait surtout pas lui demander quoi que ce soit, Bref, un sacré profil, bien content de ne plus l'avoir dans mon entourage.