Hypnar
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- Lyon
Bonjour,
je ne suis pas encore, pour l'heure, hypnothérapeute. Je suis en formation et je lis énormément.
Comment ai-je découvert l'hypnothérapie ? Par hasard. Plus jeune, je pensais que l'hypnose était un mensonge, une arnaque faite pour profiter de la crédulité de spectateurs lors de spectacles simulés. Car, justement, je pensais que ça ne servait que pour les spectacles.
Bien plus tard, un ami s'est mis au mentalisme et à l'hypnose dite "de rue". Il m'a expliqué qu'il pouvait aussi soigner des gens par l'hypnose et c'est ainsi que j'ai découvert l'hypnothérapie.
Quant à acquérir un goût plus prononcé pour cette discipline, plusieurs facteurs ont joué. Ma meilleure amie souffrait d'une anorexie mentale depuis son plus jeune âge et aucune thérapie psychique n'avait eu l'effet escompté, elle était en grande souffrance et je lui ai conseillé d'aller voir un hypnothérapeute, elle ignorait totalement cette discipline. Dans le même temps, tandis que j'étais commercial et qu'utiliser mon langage pour "vendre" me déplaisait, j'oeuvrais bénévolement dans une association pour personnes en difficulté. Si elles ne pouvaient pas bénéficier de soins, par raison économique, l’hypnothérapie pourrait pourtant en aider plusieurs. Mon projet, à très long terme, est de devenir hypnothérapeute, d'ouvrir un cabinet mais aussi de tenir soit un centre accessible à tous sans distinction de revenus (à l'image de ce qui se fait en psychologie) ou bien de mettre en place une tarification en fonction de la situation économique de chacun (de l'euro symbolique à une tarification standard).
Je me suis inscrit afin de parfaire ma formation, enrichir mes connaissances et faire des rencontres car, en hypnose thérapeutique, il me semble primordial de ne pas se limiter à une vision ou un angle mais d'avoir un esprit ouvert en permanence à l'interlocuteur, à d'autres pratiques et à l'inattendu.
je ne suis pas encore, pour l'heure, hypnothérapeute. Je suis en formation et je lis énormément.
Comment ai-je découvert l'hypnothérapie ? Par hasard. Plus jeune, je pensais que l'hypnose était un mensonge, une arnaque faite pour profiter de la crédulité de spectateurs lors de spectacles simulés. Car, justement, je pensais que ça ne servait que pour les spectacles.
Bien plus tard, un ami s'est mis au mentalisme et à l'hypnose dite "de rue". Il m'a expliqué qu'il pouvait aussi soigner des gens par l'hypnose et c'est ainsi que j'ai découvert l'hypnothérapie.
Quant à acquérir un goût plus prononcé pour cette discipline, plusieurs facteurs ont joué. Ma meilleure amie souffrait d'une anorexie mentale depuis son plus jeune âge et aucune thérapie psychique n'avait eu l'effet escompté, elle était en grande souffrance et je lui ai conseillé d'aller voir un hypnothérapeute, elle ignorait totalement cette discipline. Dans le même temps, tandis que j'étais commercial et qu'utiliser mon langage pour "vendre" me déplaisait, j'oeuvrais bénévolement dans une association pour personnes en difficulté. Si elles ne pouvaient pas bénéficier de soins, par raison économique, l’hypnothérapie pourrait pourtant en aider plusieurs. Mon projet, à très long terme, est de devenir hypnothérapeute, d'ouvrir un cabinet mais aussi de tenir soit un centre accessible à tous sans distinction de revenus (à l'image de ce qui se fait en psychologie) ou bien de mettre en place une tarification en fonction de la situation économique de chacun (de l'euro symbolique à une tarification standard).
Je me suis inscrit afin de parfaire ma formation, enrichir mes connaissances et faire des rencontres car, en hypnose thérapeutique, il me semble primordial de ne pas se limiter à une vision ou un angle mais d'avoir un esprit ouvert en permanence à l'interlocuteur, à d'autres pratiques et à l'inattendu.
