Oser braver ses interdits pour enfin les explorer ?

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Oser braver pour explorer ses interdits = le processus mafieux de l'hypnose mafieuse ?

Avoir peur de ses paradoxes, mais aimer par dessus tout les explorer ?

Alors, Surderien va-t-il trop loin à dérailler, faire dérailler ? A décadrer, faire décadrer ? A déco...ner, faire déco...der. ? :roll:


En général les nouveaux articles des revues sont payants et les anciens en libre accès sur les archives :(

La revue JIM, Journal International de Médecine fait l'inverse ! :D

Les médecins reçoivent gratuitement les nouvelles fraîches mais doivent payer pour accéder aux anciens articles ! Le paradoxe de la médecine au top ? :shock:

Comment fonctionne JIM ? A nous pousser à faire le contraire du logique ? Perversément ? :twisted:

Si bien qu'un article en copy-right, je peux vous le coller-gauche d'une façon gauche et totalement inconsciente sachant que JIM ne me le reproche pas car il n'est pas là pour faire du fric mais pour qu'on fasse de la pub pour ses paradoxes ?

Alors je vous met le lien d'un article qui au jour d'aujourd'hui va le plus loin dans l'évolution humaine pour oser changer son mode de raisonnement le plus ancré ... (et ne plus assurer la survie de l'espèce sans le bidouillage et/ou le clonage ?)

Bref le mariage non hétéro...


lLa porte ouverte sur la normalisation de l'inceste et du mariage homopolygame ????

https://www.google.fr%2Furl%3Fsa%3Dt%26 ... nQ&lang=fr

Le paradoxe c'est que cet article n'est pas accessible sans braver l'interdit...

http://www.jim.fr/mon_compte/login.phtml

alors je vous le trans-met ci dessous temporairement pour quelques jours de sa gratuité sur le net médical :
En bravant l'interdit de vous permettre d'explorer cet interdit de vous le transmettre :p
Après, désolé, il se sera auto-détruit :cry:



PLAIDOYER POUR UN REGARD SUR L'HOMOPARENTALITE


Dr Marc Pilliot, pédiatre, Roubaix

Paris, le samedi 2 février 2013 – Le débat autour du projet de loi visant à autoriser le mariage et l’adoption aux couples de même sexe s’est ouvert cette semaine à l’Assemblée nationale et promet, si l’on en croit les premières discussions, d’être passionnel. Les réflexions du Docteur Marc Pilliot, pédiatre libéral à Roubaix et attaché au Pôle Mère Enfant du Centre hospitalier de Tourcoing visent à dépasser ce climat de polémique. Exerçant à proximité des Pays Bas et de la Belgique où la procréation médicalement assistée (PMA) est ouverte aux couples de femmes, le docteur Marc Pilliot a mis son expérience au service d’une réflexion nourrie sur l’évolution de la société, de la famille et au-delà sur la construction de l’enfant. Ce cheminement intellectuel le conduit à considérer que si le chemin de la parentalité sera sans doute ardu pour nombre de couples homosexuels et si l’idée d’un « droit à l’enfant » doit être contestée, la majorité des « troubles » que l’on pourrait rencontrer dans une famille composée de parents de même sexe sont identiques à ceux observables chez les parents hétérosexuels.

Depuis quelques décennies, nous assistons à des « métamorphoses de la parenté » selon le terme de l’anthropologue Maurice Cordelier, la plus récente étant l’arrivée d’un enfant dans les couples de même sexe. Depuis quelques années, c’est une réalité sociale et ces familles ressemblent beaucoup aux familles ordinaires. La situation est nouvelle et prête le flanc à tous les fantasmes et à tous les préjugés. Les un(e)s militent pour l’égalité des couples et au nom de l’amour ; les autres crient au scandale et prédisent les pires désordres psychiques pour ces enfants « victimes » d’une situation aberrante.

La société a trop tendance à oublier que le nouveau-né, l’enfant, l’être humain en général, ont une extraordinaire capacité d’adaptation. Il y a 35 ans environ, le premier bébé né par Fécondation in Vitro était appelé « bébé éprouvette », comme si cet embryon-là était un produit manufacturé. Et pourtant, 30 ans plus tard, ce bébé est devenu une femme adulte capable d’être heureuse, de procréer et d’avoir un enfant tout à fait « naturellement ». Surprise des médias ! Surprise de la société à ce moment là ! Par crainte de l’emballement technologique, par peur des changements sociétaux rapides, la société ne voit plus que les enfants sont toujours des êtres humains, quel que soit leur mode de fabrication et quel que soit le milieu dans lequel ils arrivent. Non, ce ne sont pas des mutants bizarres et dangereux ! Ce ne sont pas des êtres « déshumanisés » ! Il y a toujours une naissance, une rencontre, un regard, une communication avec des adultes, un accompagnement par des parents ou par ceux et celles qui entourent et éduquent l’enfant.
Comment prendre de la distance pour ne pas être victimes de nos peurs et de nos fantasmes ? Plusieurs notions sont à rappeler pour nous éclairer :

1. En premier lieu, qu’est-ce que le mariage dans notre culture occidentale ?


A vrai dire, sa signification a totalement changée depuis le début du dernier millénaire. Jusqu’au 10ème siècle, le mariage était un contrat privé et laïque entre les nobles pour des raisons politiques, économiques et socioculturelles : créer des alliances, regrouper des terres, éviter des rivalités entre familles, garder la même race et la même religion. C’était une façon de structurer du social grâce à un « mariage arrangé ». C’est à partir du 12ème siècle que l’Eglise a proposé le mariage pour lutter contre l’inceste et, de cette façon, fabriquer aussi du social. C’est seulement au 16ème siècle, lors du Concile de Trente, que l’Eglise a confirmé le mariage comme un sacrement accordé sur le perron de l’église, lorsque la femme était enceinte. Et c’est au 17ème siècle que les mariés ont été enfin autorisés à entrer devant l’autel. L’Eglise a donc bien vécu une mutation progressive sur le sujet et cela continuera sans doute. Il est utile de regarder les réactions actuelles des catholiques sous cette lumière-là. Cette évolution du mariage  à travers les siècles a conduit à penser que, d’une part, le sexe faisait  du  « sacré »  puisqu’il  générait  la  Vie,  il  créait  des  âmes  et,  d’autre  part,  le  mariage faisait du « social » : il ne faut pas épouser n’importe qui !

Mais les mœurs ont continué d’évoluer. Certes, en Inde, en Asie, au Moyen Orient, les mariages sont toujours arrangés et les enfants généralement n’ont pas le choix. Mais dans notre culture occidentale, l’amour courtois du Moyen Age et la révolution sentimentale du 18ème siècle ont placé progressivement le sentiment amoureux au sein de la cellule familiale. Le mariage est devenu un « mariage d’amour » permettant la personnalisation des femmes, l’individualité, la liberté de s’épanouir en fonction de ses sentiments. Le mariage a changé de sens : il est devenu la reconnaissance sociale d’un amour. Mais l’amour est individuel, incontrôlable et, de ce fait, il nous rend vulnérables. Par ailleurs, est-ce un amour véritable ou bien seulement un mime d’amour, une affirmation d’amour ? C’est cette confusion qui conduit à des divorces si fréquents. C’est l’avenir qui validera cet amour et cela est vrai pour tous les couples, homosexués aussi bien que hétérosexués.
Ainsi le « mariage d’amour » ne crée pas du social comme autrefois et rend même notre société vulnérable. Mais, restons logiques : je doute fort que notre société veuille revenir en arrière, vers les mariages forcés ; acceptons les mariages d’amour, même si cela rend la société plus vulnérable (comme le fait aussi la démocratie).
En fait, c’est le prix à payer pour le développement et l’épanouissement de l’individu.


2.  Le sens de la « filiation »


Qui dit mariage, dit aussi famille, voire filiation parfois. Là aussi, levons les quiproquos. Dans l’histoire humaine, nombreux sont les enfants qui ont été élevés par un père et une mère qui n’étaient pas les géniteurs de l’enfant, voire seulement par des femmes car le père était parti ou mort, à la guerre ou ailleurs. Il faut distinguer, d’une part, la « procréation » qui est une histoire de gamètes mâles et femelles et, d’autre part, la « filiation » qui est une construction sociale et psychique venant confirmer un choix de vie, un choix d’amour. En cas d’adoption ou de Procréation Médicale Assistée (PMA), l’usage des prénoms vient même parfois construire cette filiation en nommant les enfants avec des prénoms issus de l’histoire familiale des adoptants. Les couples de même sexe qui désirent un enfant ont le même discours que les couples hétérosexuels : cet enfant est le fruit de leur histoire d’amour et cela est, en soi, déjà structurant. Qu’y a-t-il de choquant ? Rien de plus banal en quelque sorte !

3.   Le processus d’identification sexuelle

Si la filiation est une fabrication sociale pour donner du sens et des repères, doit-elle toujours être hétérosexuelle, fabriquée par un père et une mère ? Que fait-on avec la complexité de chaque famille ? Il n’y a pas de famille « normale » ; il n’y a que des familles qui se débattent dans leurs histoires, leurs secrets, leurs peurs, leurs fantasmes, leurs joies aussi. Il y a des familles qui se défont et d’autres qui se recomposent. L’identification est un processus très compliqué. Le milieu social dans lequel évolue l’enfant doit le conduire petit à petit à comprendre l’interdit de l’inceste et à se séparer progressivement de l’amour de ses parents pour construire son autonomie psychique, amoureuse et sociale. Cette maturation passe par des jeux d’identification, puis des refus et des oppositions. Elle n’est pas forcément garantie par un couple de parents hétérosexuels car il s’agit d’une maturation très complexe qui se développe à travers des influences multiples, dépassant largement le cadre familial proprement dit. Les choix amoureux évoluent en fonction des rencontres, l’identité sexuelle est un cheminement subtil, souple et ouvert, qui se fait dans la famille et hors de la famille. L’identification ne se fait pas sur un mode figé et en bloc. Les traits « masculins » et « féminins » se manifestent aussi bien chez les hommes que chez les femmes et se trouvent facilement dans le cercle sociétal de la famille

« Etre effrayé n’est pas penser »

Ainsi, l’enfant aura toujours la possibilité de se construire « normalement », de façon ouverte et variée, à condition qu’il ne soit pas stigmatisé par la société, à condition qu’il ne soit pas considéré « pas comme les autres ». La non-reconnaissance de l’amour qui lie le couple, la discrimination de ces couples et de leur filiation, c’est cela qui est le plus délétère et le plus destructeur pour le devenir des enfants, comme l’était autrefois le rejet des « bâtards » ou celui des enfants de parents divorcés. Il y a trop d’intolérance et trop d’amalgames dans notre société. Rappelons-nous, comme le disait un penseur, que « être effrayé n’est pas penser ».

Certains couples ont un désir d’enfants. Qu’ils soient homosexués ou hétérosexués, ils font le pari risqué d’avoir des enfants dans un monde difficile. Les couples homosexués ont l’habitude des difficultés : leur cheminement vers l’intérieur d’eux-mêmes a souvent été ardu et malaisé et ils ont appris à gérer les différences. Leur désir d’enfant n’est pas anodin ou futile. En coulisse, il y a toujours de l’amour et un désir de donner… comme cela arrive aussi chez les couples hétérosexués. C’est de cet amour dont a besoin l’enfant dès le départ, c’est cet amour qui l’humanise et lui donne confiance en lui pour acquérir progressivement son autonomie. Certes, il peut y avoir un désir d’enfant comme une idée fixe, comme une obsession ; il peut y avoir un amour possessif et étouffant, au point d’empêcher l’enfant de s’épanouir ; certes, il peut y avoir des séparations douloureuses et des mères qui se retrouvent seules. Tout cela se voit aussi chez les couples hétérosexuels.

Le désir d’enfant comme une obsession touche aussi les hétérosexuels !

Par ailleurs, dans notre société, pour certains adultes, l’enfant est devenu un support identitaire essentiel, comme s’il s’agissait d’un « droit à l’enfant ». Évitons, là aussi, les confusions : c’est à l’enfant à avoir le droit d’avoir des adultes aimants autour de lui ; quant à l’adulte il a le droit de ressentir un « désir » d’enfant, mais cela ne suffit pas pour devenir parent. Une mère peut vouloir un enfant à tout prix, y compris en passant par les galères de l’adoption ou de la PMA, et sans le savoir, ne pas désirer être mère. Dans ce cas, la surmédicalisation autour de l’enfantement risque de freiner et de perturber son évolution vers une prise de conscience sur elle-même. Toute cette problématique se voit aussi chez les hétérosexuels.

Enfin, il reste le choix difficile de l’adoption ou de la PMA pour les couples homosexués. Un entretien avec un psychologue est généralement proposé, comme pour les couples hétérosexuels. Dans le cadre d’un couple de femmes, la PMA existe déjà très clairement, malgré l’interdiction française : en 2007, près de 40 % des enfants vivant avec des parents homosexués avaient été conçus par PMA dans des pays limitrophes. Les études à l’étranger sont concordantes et plutôt rassurantes. Cela est assez logique : le fœtus va se développer dans l’utérus de sa future mère, entourée de sa compagne ; à la naissance, le bébé ne sera pas surpris par les odeurs et les voix qu’il aura déjà perçues pendant la vie fœtale ; cette continuité sensorielle favorisera l’attachement comme cela se passe aussi chez les couples hétérosexuels. Dans ce cadre, l’adoption de l’enfant par la compagne de la mère est un geste d’humanité envers ces deux femmes et envers cet enfant : c’est comme une « reconnaissance » d’un enfant qui a été désiré à deux… comme dans le cas des couples hétérosexués. Par contre, l’adoption par un couple de femmes risque d’être bien plus délicate s’il s’agit d’un enfant ayant déjà une histoire ailleurs, voire dans un pays lointain. Dans ce cas-là, on retrouvera plus facilement un télescopage entre les histoires difficiles et les souffrances de chacun, l’enfant imaginaire des parents adoptants et l’enfant réel qui a déjà une histoire ailleurs, le sentiment chez l’enfant adopté d’un abandon initial parfois très difficile à gérer à l’adolescence. Mais tout cela n’est pas nouveau : cela existe aussi chez les couples hétérosexuels adoptants.
Des difficultés plus importantes pour les homosexuels masculins
Dans tout cet imbroglio de définitions familiales bouleversées, tout est bien plus difficile pour les couples d’hommes. Quel qu’il soit, l’homme a besoin de déposer un gamète dans le corps d’une femme pour être père. Pour l’hétérosexuel, l’évolution vers une société machiste lui aura permis de maîtriser, de dominer, voire de cloitrer cette femme (et son ventre ?) afin d’être sûr que ce nouveau-né est bien le sien. Pour l’homosexuel, tous les concepts explosent : à une époque de libéralisation de la femme, la « location d’un ventre » est choquante et il est sans doute utile que ce soit interdit en France pour éviter des dérives malsaines de marchandisation. Il reste alors l’adoption avec toutes les difficultés citées plus haut, probablement amplifiées par la situation inhabituelle. C’est sans doute là où il est encore plus nécessaire de travailler sur soi pour ne pas confondre « le désir d’un droit » à un enfant avec « le désir d’aimer et de donner » à un enfant. A ce niveau, il faut savoir accepter que tout être humain peut se réaliser et se construire en « donnant » dans un autre domaine.

Au bout de ces réflexions, quel que soit l’angle abordé, on voit bien que tout ce qui est craint chez les couples homosexués existe déjà chez les couples hétérosexués. Alors, plutôt que d’être effrayé devant cette évolution des mœurs, plutôt que d’avoir une méfiance malsaine, voire une sollicitude « pathologisante », faisons en sorte de soutenir au mieux ces familles pour que leurs enfants se développent aussi harmonieusement que possible…comme pour toutes les autres familles. La perfection n’existe pas chez l’humain. Les parents se doivent seulement d’être « suffisamment bons » pour l’enfant. Faisons en sorte que notre société soit également « suffisamment bonne » pour tous les enfants, y compris pour ceux qui vivent dans une situation inhabituelle. Je crains que tous les discours intolérants actuels soient plus pour protéger des convictions personnelles que pour protéger et aider l’enfant. 

Dr Marc Pilliot

Références :

Doumont Dominique et Renard Florence : Parentalité : nouveau concept, nouveaux enjeux – Rapport de l’Unité RESO, Éducation pour la santé, Faculté de Médecine – UCL – Belgique – 2004
Godelier Maurice :     Les Métamorphoses de la parenté, Paris, Odile Jacob, 2005
Descamps Philippe :   Les  enfants  de  la  bioéthique, Versailles, Colloque des 25 ans de la Maternologie du 05 novembre 2012 : Petite enfance et fondements familiaux
Cyrulnik Boris : Amour et Mariage, France Info – Nov. 2012
Les enfants de parents homosexuels, France Info – Déc. 2012
Prokhoris Sabine : Faut-il avoir peur de l’homoparentalité ? – La Naissance, Paris, Albin Michel, 2010
Winter Jean-Pierre : L’homoparentalité et l’enfant symboliquement modifié ? - La Naissance, Paris, Albin Michel, 2010
Jouannet Pierre : Interview à la commission des lois de l’Assemblée Nationale, le 13 décembre 2012
Cette tribune a été envoyée à plusieurs autres médias.
Le titre et certains intertitres sont de la rédaction du JIM.  
 
Prudence

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Merci Surderin.

Comme livre sur le sujet il y a aussi "Deux papas, deux mamans, qu'en penser?" (même si je n'aime pas le titre) d'Antier et Gross.
 
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J'en pense pas grand chose, car ça ne me concerne pas, mais est ce grave de ne pas savoir un avis sur tous les sujets?
 
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thérapie29 à dit:
J'en pense pas grand chose, car ça ne me concerne pas, mais est ce grave de ne pas savoir un avis sur tous les sujets?

non, ce n'est pas grave car l'essentiel c'est simplement de participer

car même si c'est pour dire qu'on n'a rien à dire : çà permet bien de montrer qu'on est bien dans l'hypnose de son vide intérieur !

:p
 
thérapie29

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Humour, bien sur... Bon, je voulais dire que je trouve qu'il n'y a pas de raison d'avoir un avis sur une petite partie de la population sans en être concerné, contrairement à ce qui se passe actuellement.
 
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surderien à dit:
thérapie29 à dit:
J'en pense pas grand chose, car ça ne me concerne pas, mais est ce grave de ne pas savoir un avis sur tous les sujets?

non, ce n'est pas grave car l'essentiel c'est simplement de participer

car même si c'est pour dire qu'on n'a rien à dire : çà permet bien de montrer qu'on est bien dans l'hypnose de son vide intérieur !

:p


Oui faut participer, car depuis quelques temps ce forum est déserté.
On a mis à la porte ceux qui le faisaient tourner.
Maintenant ils ne sonrt plus que deux pour le porter à bout de bras.
Quand ce n'est pas l'un qui poste cest l'autre et tant pis pour le sujet, ca devient du n'importe quoi.
:lol:
 
surderien

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pourquoi ce forum est déserté ?

ou pourquoi il semble peu fréquenté alors que les fréquentations sont de plus en plus fréquentes par des"visiteurs" non inscrits et sans avis exprimés grammaticalement écrits ?

Parce que l'hypnose est finalement bien plus virtuelle à vivre sur d'autres forum que de perdre son temps à se narcissiser hypnocritement sur celui-ci ???

Simplement ce que surderien et d'autres hypnobranchés un peu plus que d'autres continuent d'exprimer grammatiquement ce que bien d'autres ne font que faire en virtuel sur d'autres sites qu'ici ?

Merci de m'avoir donné cette belle occasion de m'exprimer pour ne rien dire de vraiment non hypnotique...

que tout deviendrait trop beau quand on serait bien trop hypnogentil...

:p
 
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mindy

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Je trouve que depuis que les 2-3 participants qui étaient en permanence dans les conflits ont quitté le forum il y a plus de participation et surtout celle-ci est largement plus sereine, aucun accrochage, aucun sujet pourri par des petites querelles, ça va dans le bon sens ! :)
 
surderien

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Peut-être que finalement leur débordement de contre hypnose conflictuelle manquerait peut-être à certains ?

Mais qu'ils n'oseraient même plus l'exprimer ?

:wink:
 
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