vindikato
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...je suis tombée dedans, une fin d'aprèm ensoleillé, me détendant de plus en plus,
comme un appel, une intuition, sans même me savoir pencher de ce côté ci et,
regardant comme j'aime à le faire depuis la tendre enfance les images qui défilent,
ces stepes, ces forets, ches chateaux, ces couleurs ce blanc ce bain qui n'est déjà plus image
et dans lequel se confondent mes sens puis l'espace me situant jusqu'alors,
j'ai redécouvert ce petit rien_de_fou, rien de si magique mais un état dans lequel je me trouve enfin apte à dialoguer avec l'indicible,
à me laisser porter mais aujourd'hui à m'emmener plus loin,
à tenir ne serait ce qu'un temps cette épine qui brille,
à comprendre un temps ce petit rien qui me gachait la vue
et de saisir que derière il n'y avait rien non plus.
Sinon le vide, sinon des préjugés, sinon des volontés que je ne pouvais plus voir, pire, qui me furent horreur.
Depuis je me pose dès que j'en ai l'occasion pour me respecter et discuter peu à peu avec cet inconscient qu'il faut le dire j'ai bien trop fantasmé et qui n'était pas si loin. Mais je suis débutante et, tombée un peu par hazard par ici, je me suis dis pourquoi pas, allons posé une tente, un matelas, une lucarne par ici. J'habite en ville, j'ai peur du bruit, des foules, des coeurs fermés, des sourirs trompeurs, des pleurs refoulés, des violences invisibles et des sourires normés. J'ai bientôt l'âge de ne plus avoir peur, de moi surtout à qui j'aime sourire tant que possible.
comme un appel, une intuition, sans même me savoir pencher de ce côté ci et,
regardant comme j'aime à le faire depuis la tendre enfance les images qui défilent,
ces stepes, ces forets, ches chateaux, ces couleurs ce blanc ce bain qui n'est déjà plus image
et dans lequel se confondent mes sens puis l'espace me situant jusqu'alors,
j'ai redécouvert ce petit rien_de_fou, rien de si magique mais un état dans lequel je me trouve enfin apte à dialoguer avec l'indicible,
à me laisser porter mais aujourd'hui à m'emmener plus loin,
à tenir ne serait ce qu'un temps cette épine qui brille,
à comprendre un temps ce petit rien qui me gachait la vue
et de saisir que derière il n'y avait rien non plus.
Sinon le vide, sinon des préjugés, sinon des volontés que je ne pouvais plus voir, pire, qui me furent horreur.
Depuis je me pose dès que j'en ai l'occasion pour me respecter et discuter peu à peu avec cet inconscient qu'il faut le dire j'ai bien trop fantasmé et qui n'était pas si loin. Mais je suis débutante et, tombée un peu par hazard par ici, je me suis dis pourquoi pas, allons posé une tente, un matelas, une lucarne par ici. J'habite en ville, j'ai peur du bruit, des foules, des coeurs fermés, des sourirs trompeurs, des pleurs refoulés, des violences invisibles et des sourires normés. J'ai bientôt l'âge de ne plus avoir peur, de moi surtout à qui j'aime sourire tant que possible.
