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[QUOTE="castorix, post: 41104, member: 109"] [color=#000080]Bonjour Paulélie, Je vous propose de continuer la discussion sur un point : ce qu'il est possible de faire / ce qu'il est nécessaire de faire (au sens : incontournable) pour une personne ayant des difficultés dans lesquelles le T voit un lien avec des [i][b]empreintes [/b][/i]nettes [/color] [color=#000080] Alors la proposition se résume ainsi :[i][b] il n'est pas toujours obligatoire de retourner à l'évènement initial, pour y travailler[/b][/i]. Au moins : il n'est [i][b]parfois[/b][/i] pas nécessaire du tout d'y aller voir pour qu'un changement s'amorce. Même si ce n'est pas fréquent. Ensuite : dans un certain nombre de cas, un recadrage peut être réalisé, sans avoir pour cela à retourner [b]dans le vécu émotionnel[/b] de ce souvenir traumatique. Ceci me semble important car : (1) c'est le support de l'affirmation selon laquelle [i][b]la catharsis n'est pas la seule voie de la "guérison" des conséquences d'un évènement traumatique[/b][/i] (2) la verbalisation n'est parfois pas possible pour le sujet, et l'on peut tout de même travailler (3) le retour (en séance de thérapie) vers l'évènement traumatique est parfois refusé par le sujet, et il faut bien disposer de pistes pour faire qqe chose d'utile tout de même (enfin je le pense !) ; ce qui ne conduira pas nécessairement, une fois encore, vers ce que l'on a considéré comme LE grand traumatisme de la personne : on peut dans ce cas travailler sur une autre partie du [i]matériel psychique[/i], se situant dans la même problématique mais pas "au coeur du cyclone". Ceci dit, je ne peux pas affirmer que cela suffit toujours, et que l'on peut se passer de la voie que vous promouvez (ou d'une autre, comme celle que nous a présenté Valikor, assez systématiquement dirigée vers une sorte de "nettoyage" du passé : donc plus anterograde que rétrograde, en quelque sorte). J'avance en me basant sur mon expérience, qu'une démarche de thérapie cognitive préalable peut être réalisée. Je m'explique : Lorsque le sujet a la conviction que son présent est bloqué par un problème rencontré dans le passé, il est gêné par cette [i]croyance limitante[/i] et cela verrouille des possibilités thérapeutiques. Dans ce cas il peut être efficient de travailler d'abord sur cette croyance dysfonctionnelle. C'est là ce qui m'a poussé parfois à m'exprimer de manière peu favorable envers certaines pistes de [i]thérapie psychodynamique[/i], dont j'affirmais qu'elles enferment (enfin, si le thérapeute les appliquait étroitement, ce qui est donc probablement une projection de ma part !) le sujet dans une contrainte psychique avec une sorte de double lien : " venez me voir pour aller mieux, vous qui avez certainement tant souffert, et je vous aiderai à aller mieux, pour cela nous devrons retourner vers ce qui vous a fait souffrir et vous devrez le redécouvrir même si vous n'êtes pas encore conscient de ce dont vous avez souffert !" (pour ne plus souffrir il vous faudra souffrir, et cela peut durer très longtemps, d'autant que vous gagnerez peut-être la guérison... par surcroît *) En conclusion : vos propositions Paulélie, n'excluent pas d'autres pistes. Je pense même qu'elles sont souvent utiles à employer, notamment dans nombre de cas où la personnne n'est pas franchement "mûre pour cette thérapie" que vous mentionnez (ou une autre équivalente).[/color] (*) Référence à une célèbre citation de Jacques Lacan, 1955, parlant du psychanalyste : « Car, s’il admet [b]la guérison comme bénéfice de surcroît de son traitement[/b], il en sépare si radicalement de son action l’instance qu’au seul fait qu’une initiative y prenne son motif, il réagit en son for intérieur par l’inquiétude, au for du groupe par la question préalable : savoir si l’on est encore là dans la psychanalyse. » Cette citation est souvent reprise pour reprocher à la psychanalyse de ne pas avoir pour But principal la guérison, mais de l'accepter (!) simplement comme un effet collatéral de la Cure... Pour être très honnête on peut se contenter de comprendre que les grandes voix de la psychanalyse sont modestement conscientes que l'on ne guérit pas tout le monde des symptomes mis en avant lorsque la personne vient demander de l'aide. [/QUOTE]
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