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[QUOTE="hibou13, post: 83790, member: 23709"] J'écoutais en début d’après midi à la radio un gynéco obstétricien qui comparait la pratique médicale majoritaire ainsi : Imaginons une personne qui traverserait un passage clouté en regardant que d'un coté, elle à donc de forte chance de ce faire écraser. Et tout en exposant que dans ses études il n'y avait aucune place (ou si peu) pour les aspects psychologiques (et idem pour la sexologie), que lui et ses confrères recevant des femmes dans la douleur (face au désir d'enfant notamment et en cas de complication) leur seule réponse était purement physique (chimique, chirurgical ou génétique). Ils ne soutenaient donc que la moitié de la personne, n’envisageaient que la moitié de la personne etc... Que l'étude soit ou non fidèle n'est pas le problème, du moins elle pose une vraie question. Et au regard de la mentalité américaine et plus largement anglo-saxonne (plus pragmatique) par rapport a celle de la France, ce résultat n'est pas étonnant. Il n'est pas étonnant non plus qu'un médecin ce retranche derrière la "précaution" et la peur du risque. C'est l'attitude classique de la médecine face à un débat éthique qu'ils considère comme les seuls à pouvoir juger. Alors usant de "l'autorité" que confère le statut, usant de la réalité de leurs actions véritablement utiles et indispensables, "ils bottent en touche" (c'est pour votre bien, ont vous protège et le ban est fermé). Au delà de la question d'éthique, pour moi le véritable frein réside en la difficulté (pour les médecins) à gérer les conséquences de la vérité aux patients. Comment l'aborder, comment accompagner, soutenir, motiver et positiver? Il faut certainement admettre qu'en certain cas le "non-dit" est préférable, (bien que ça soit discutable puisque reposant sur un avis médical rarement compétant en matière de psychologie (sauf en milieu de travail en équipe) ). Mais ces cas ne peuvent servir de règles absolu pour tous les autres. Il n'y à pas de preuve que le silence soit favorable aux patients, il n'y à que des cas et c'est simplement admis. Il n'y à pas de preuve que la vérité soit favorable au patient, c'est une question d'éthique, par contre il serait intéressant que l'étude ce prolonge sur l’intérêt positif que l'on peu en tirer et de quel façon. Que font avec cette transparence les médecins étranger? Nous entendons souvent parler de la lenteur de diagnostique dans certaine maladie en France (pour notre bien et pour vous éviter tout un tas de truc mortel...), des gens partant à l'étranger obtenir un traitement, un suivie.... Nous voyons souvent venir de l'étranger les avancés importantes en matière de psychothérapie, de psychologie. Nous savons encore l'influence des Freudiens "à la lettre", celle de la culture judéo_chrètienne dans notre rapport à la maladie, au corps et à la mort... Nous pouvons donc légitimement nous poser la question. En grand garçon, sans se faire clouer ne bec par une fin de non recevoir médical et surtout, surtout sans que cela soit prétexte non plus à une agression envers le corps médical. Ni à la définition d'un autre dogme. [/QUOTE]
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