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Phobie : double dissociation et après
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[QUOTE="castorix, post: 51876, member: 109"] [color=#000080]Oui, pourquoi ? (Je n'ai pas l'impression que Cookax ait besoin de se justifier en effet :wink: ) Par exemple, pour avoir les opinions des autres posteurs. Déjà. Ensuite je peux en donner une, d'opinion : - l'idée qu'il y a [i]une cause[/i] au problème, peut être "exploitée" par le T. en effet, c'est souvent assimilable à l'attitude consistant à "rouler avec la résistance" - en revanche je crois gênant que le T. croie lui-même qu'il y a [i]une cause[/i]. Puisque souvent cela le conduit à chercher [i]une solution[/i] dans le même ordre d'idées ; c'est ce que l'on appellera trouver un changement de 1er ordre (et, peut-on appeler cela un résultat satisfaisant que faire un peu moins de la même chose, en lui attribuant la même valeur cependant ?). Exemple (désolé Triggermind mais difficile d'être concis pour un cas authentique) : - une jeune fille a une phobie des araignées. Comme elle est étudiante en psycho elle y a déjà réfléchi (ben oui) et elle s'est rappelé que chez son oncle une fois elle a été effrayée par une araignée sur la baignoire tout près de son visage... oui mais l'oncle c'est aussi un souvenir d'attouchements à caractère sexuel subis dans l'enfance... - il se trouve que lorsqu'elle évoque cela elle se ferme et me prévient qu'il n'est « pas question de toucher à ma phobie ! » d'ailleurs la fin de l'entretien est glacée, perte de l'ambiance confiante habituelle... - bon dans ce genre de cas je me bornerai à dire que le T. qui n'a comme seul outil que de chercher, trouver, puis travailler La Cause, serait gêné (je sais personne ici n'a dit cela :roll: ) - j'ajoute que (c'est toujours le même cas) la jeune personne souffre d'autres difficultés, lorsqu'elle fait des courses elle est très mal à l'aise... sentiment d'être observée jugée critiquée... à la limite d'entendre des voix hostiles... d'ailleurs cela fait 2 ans et 1/2 qu'elle ne fait plus les courses, ou alors rarement, très vite, et parce qu'elle accompagne quelqu'un ! (et ce depuis qu'elle est étudiante, a quitté ses parents) pour compléter l'idée, elle exclut formellement de repasser en pensée une scène de supermarché, elle dit « c'est trop loin je m'en rappelle plus et ça me fait trop peur je veux pas y penser...» (dans un 1er temps. parce que lors d'une séance ultérieure et avec son accord, nous avons travaillé une expérience récente avec les mouvements oculaires) - comme dernière piste des causes disponibles dans le même panier, on trouvait encore le conflit conjugal entre les parents (ça pesait sur elle : les enjeux affectifs étant déchirants) et je m'arrête là simplement pour ne pas plomber l'ambiance avec le récit d'incidents qui rendraient, de plus, la situation identifiable. - alors voilà La Cause c'est parfois évident et si pratique en effet (et je ne le renie pas si le changement est au bout du 1er coup de fusil de la thérapie !) Mais, peut-être que d'enseigner qu'[i]il y a une cause et que si on la trouve alors on s'en sert pour traiter[/i], c'est au passage affirmer qu'il y a une cause aux problèmes... et donc valider toutes les idées que le P. se fait (le plus souvent) sur ces difficultés... et donc cela rend moins aisé l'orientation de l'attention du patient vers la rencontre possible d'un événement qui puisse être un Signe de changement... ... et là (désolé mais je rends aux auteurs ce que je leur emprunte) je viens de mentionner des principes chers à Steve de Shazer ou Bill O'Hanlon (entre autres) selon lesquels le T. cherche à [b][i]favoriser un changement même minimal [/i][/b](d'autant plus aisé à obtenir qu'il est peu ambitieux), et [i]pas dans le champ des pensées angoissées du P.[/i] de préférence. Patient auquel on propose (voir la "question magique" d'Insoo Kim berg) de centrer ses capacités d'observation sur l'attente d'un événement mineur, que l'on aura pris soin de [i]faire choisir par lui [/i]parmi les choses les plus simples, qui peuvent survenir [i]le jour prochain[/i], et chose qui pourrait lui permettre de savoir que « le problème a disparu ». Bon, Leo je ne donne pas le titre des livres :wink: mais je crois que citer des sources qui m'ont tant apporté c'est plus honnête que de faire comme si c'était un truc inventé par moi, et (on ne sait jamais) ça permet de faire connaître des ouvrages et auteurs de base que toutes les formations solides en thérapies brèves doivent aborder.[/color] [/QUOTE]
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