katia (zoulouk)
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katia (zoulouk) à dit:J'ai suivi tes conseils Corfinas, et je dirais pas vraiment que "ça calme", plutot ça ouvre les yeux....
katia (zoulouk) à dit:J'ai suivi tes conseils Corfinas, et je dirais pas vraiment que "ça calme", plutot ça ouvre les yeux....
Métaphore à dit:J'ai bien compris, mais pensez vous être libérée définitivement de cette ressource manquante, (même si je n'aime pas associer ressource à manque... :roll: )
Il y a déjà prise de conscience....
Car au final c'est le but pour ne plus retomber dans ce piège relationnel...
Ca c'est le but.....
:arrow: ça me permet de m'extirper de la situation....
et l'autre aussi par la même occasion....
Vous pensez que l'autre aussi est libéré de son manque de ressource ?
selenite à dit:Fort intéressant ce qui est écrit et que dire de plus....
Le pain-papillon est une créature aux ailes de pain beurré et à tête de sucre .
Alice demande "de quelle façon cette créature étrange se nourrit-elle ? Il lui est répondu "de thé léger au lait" (et donc si elle se nourrit, elle se disout et si elle ne se nourrit pas, elle meurt....) -Alice au pays des merveilles - Lewis Caroll .
Mais qui introduit le double bind ? Pour qui ? et pour-quoi (coi) ?
Est-ce endogène ou exogène ? Est-un jeu entre les instances du moi de la personne ou un jeu relationnel ? Peut être que la personne se piège ainsi dans un scénario ?
Pour sortir du "cadre", la question serait peut être de demander si l'Autre de la relation désire cette relation ou cette thérapie (et ce qu'il en attend ) ?
"Que désirer-vous vraiment, et ce, même si vous ne le savez pas ?" (quand bien même vous resterez toujour le (la) seul(e) à pouvoir répondre).