surderien
Toujours savoir trouver le plaisir de chercher…
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tu parles de la représentation (supposée) commune que l'on s'en fait ?Pourquoi? Parce que dans ces interventions, il y a beaucoup trop les mêmes tonalités et les manières d'un adulte abuseur envers un enfant.
Tu as eu des cas ?Quand on dit à une jeune fille qui nous consulte des trucs comme : "et peut-être il y a d'autres endroits de ton corps ou tu peux ressentir de la relaxation" avec une expiration pas naturelle comme ça
ce qui me dérange est la généralisation que tu en faisL'abuseur ne dira pas "tu voudrais bien me "su..."" Il dira des choses tout à fait indirecte pour "séduire" ou inciter l'enfant à faire des choses sexuelles.
C'est ce que j'entendais par ancrage on est d'accord ^^Les gens qui ont été abusés sexuellement sont facilement déclenchés par des situations, des intonations de voix et, encore plus dans un cabinet bien fermé et parfois bien capitonné et insonorisé.
La chose centrale en thérapie étant le rapport qui nous permet de ressentir en temps réel ce que l'autre ressent, à priori le malaise se détecte dès son apparition et on peut en parler.oui c'est bien les inductions indirectes et tout le tra la la mais il faut faire attention à ça, c'est tout. Et il ne faut pas attendre que la personne soit très profondément mal à l'aise. Il faut lui donner la chance d'exprimer son inconfort, qui peut être assez intense, et il faut alors s'ajuster en conséquence, quitte à la référer à une femme hypnothérapeute si la personne fut abusée par un homme.
valikor à dit:ou faire directement de l'emdr en visuel pour l'aider à se débarrasser de tout cela, comme cela elle garde le contrôle. ca m'est arrivé une fois...