bon voilà une vidéo d'extraits de la conférence du plus célèbre hypno de suisse.
donc pas d'induction... enfin presque attention à la métaphore de l' abeille et la guêpe.
Et aussi, une idée qui m’est chère : l’aventure. L’aventure serait donc une manière d’accepter la prise de risque ? C’est intéressant, parce que j’avais mieux vu l’autre aspect : une manière de prendre du plaisir lorsque la vie devient ennuyeuse. C’est ce qui explique que les psychopathes (qui sabotent leurs vies en se faisant autant de mal à eux-mêmes qu’aux autres) ne s’en sortent jamais : ils s’amusent bien, finalement, par rapport à la vie routinière de celui qui réussit et qui déprime… Entre le besoin d’aventure et le besoin sécurité, et même si aucun extrême n’est mauvais en soi, il y a surement une multitude d’intermédiaires possibles….
la question de l'aventure est pour moi réglée.
pour le ballon, l'aventure a coté dans les 28 millions...
il vaut mieux être hypno médiatique, célèbre, charismatique et cher pour... l'aventure.
la question de l'aventure est pour moi réglée.
pour le ballon, l'aventure a coté dans les 28 millions...
il vaut mieux être hypno médiatique, célèbre, charismatique et cher pour... l'aventure.
merci pour cet éclairage, je connaissais pas l'entourloupette métaphorique du sac de Hotei .
décidément chaque religion à ses paradoxes, les pros du rien et du lâchez prise, dispose du sac de Hotei, un sac d'ou on peu sortir traitements anti-hiv et appartement pour caser les familles à la rue.
là aussi il y a quelques millions sous sa soutane ... :shock:
et puis en effet le lâcher prise c'est plus facile quand on a rien... à lâcher.
reste plus qu'a vendre son âme contre du pain..
toutefois je confirme l'aventure est dans la rue...
j' en ai u un aperçu intéressant ce week end.
un truc que le christ n'aurais pas renié...
un employé des bas fond qui prête sa vue à un enseignant, contre ses jambes.
cela n a pus se faire que par ce que l'enseignant n'a pus voir, le dénuement de l'employé.
l'érudit à confié à l'employé que dans l'arabe littéraire l'ethymologie du mot musulman viens du mot soumis ...
l'érudit à sortit 100 euros de son sac de Hotei, pour que l'employé puisse finir le mois...
(ma première consultation rémunérée et pourtant complètement sous-marine )
En quelque sorte, oui. Je trouve même cette formulation plutôt intéressante : « ils n’ont ni besoin de réussir, ni besoin de déprimer ».Plus exactement ils ont surement peur de réussir et ils ne se laissent pas le temps de déprimer. Ils profitent du jour présent, et puise dans leur vie d’aventure (plus ou moins miséreuse) le plaisir d’avoir un quotidien toujours différent : ils voyagent fréquemment, change de partenaire etc… Ils font de l’instabilité un mode de vie, un peu comme un enfant à qui l’on a cassé son jouet : si je ne m’attache pas, je ne souffre pas. Si je m'attache, je m'attends à ce que cela ne dure pas.
Alors, ils n’en ont pas vraiment conscience, mais c’est justement ce mode de vie qui, en les protégeant de la souffrance entretien également leur souffrance.
Ils ont souvent leur propre sac de Hotei, d'ailleurs. La seule chose qu'il ne contient pas, c'est la clef du changement.