Et ce chiffre est en constante évolution ! C'est ce que révèle une récente étude collectant les données de plus de trente articles portant sur la dépression entre 2010 et 2018.
Il convient de distinguer la dépression «essentielle » et la dépression « réactionnelle »
Dans la première, le fonctionnement métabolique du cerveau est à rajuster avec des traitements psycho-régulateurs.
Dans la seconde, ce sont les éléments de l’environnement qui sont à corriger et aider la personne à prendre conscience des correctifs de fonctionnement qu’elle peut apporter dans la systémique du système.
Les troubles psychosociaux, actuels burn out, bore out, brown out, se rapportent à ce second cadre. Ce n’est pas la personne qui est « malade » mais les conditions extérieures qui rendent malade.
La canicule déprime et affaiblit mais cela permet aussi d’économiser son énergie en ne chauffant pas, soi-même. Vivre en mode canicule.
La sensation dépressive, si on en est conscient, est une alarme, un signal, qui incite à travailler sur la (les) cause(s) et corriger.
Vu ainsi, à partir de son ressenti négatif, on peut dégager du positif, et réajuster sa pression en fonction des besoins de l’instant.
La dépression essentielle aurait ainsi une cause physiologique et/ou une façon de fonctionner en mode dépressif ?
La dépression réactionnelle me semble plus courante. Justement c est l impossibilité de sortir de la situation qui va créer la dépression. Et il va falloir en sortir quand même. Le coût de la sortie de la dépression peut être estimé supérieur à la souffrance qu elle engendre.
Et là que fait-on ?