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[QUOTE="Ivan Schmitt, post: 62945, member: 20208"] laurenzo : Bonjour Ivan, 2 choses: - L'interprétation me parle, dans le contexte c'était tout à fait ça. - Concernant le fait qu'une nuit sans rêve serait un signe de santé, ne peut-on pas également penser le contraire? Je m'explique: si une personne ne se souvient jamais d'aucun rêve, ne peut-on pas penser qu'elle est en quelque sorte coupée de son inconscient, ce qui ne serait pas signe de bonne santé. [color=#FF0000]Hum, c'est une bonne question. Si on approfondit votre idée, (ainsi que le point de vue plus tranché de Katia) effectivement, ça interpelle. Personnellement, j'accordais du crédit au point de vue des gestalt thérapeutes, à ce sujet, parce que, si tout se passe bien, l'inconscient reste inconscient et il pourra pleinement infléchir le conscient à l'état de veille. Mais effectivement, il faudrait peut-être relativiser ce point de vue. De plus en plus, je pense d'ailleurs que c'est la communication entre conscient et inconscient qui est importante... beaucoup plus que les contenus de l'un ou de l'autre (bien qu'ils communiquent évidemment des contenus) : en d'autres termes, la transduction conscient/inconscient (cf Rossi). La vraie question est, d'un point de vue pratique, la suivante : doit-on recommander aux gens d'essayer de se souvenir de leurs rêves ? Je crois que c'est sur ce point que j'ai le plus de difficultés. Forcément, en faisant ce travail, on perturbe la qualité du sommeil et ça ne me semble pas approprié, pas aidant. Maintenant, l'idée qui consiste à dire qu'un manque de rêve est le signe d'une dissociation trop importante entre conscient et inconscient, j'ai envie de dire... .... euh.... bon... en tout cas, c'est joli sur le papier. Je crois qu'en fait, la meilleure réponse tient plutôt d'une explication de type "polarité". Il y a des gens polarisés plutôt vers la conscience (le contrôle, la raison etc... ) et de fait, ils semblent plutôt dissociés. D'autres, plutôt polarisés vers l'inconscient (l'intuition, la spontanéité etc...), et de fait, ils semblent plutôt associés. Ces derniers, feront plus de rêves.... et cette explication contredirait encore une fois l'hypothèse des gestalt-thérapeutes. Cependant, si je me réfère à ma propre pratique et mes propres idées, j'aurais envie de trancher en disant : il est anormal de ne jamais se souvenir de ses rêves, tout comme il est anormal de trop s'en souvenir. Cela mérite surement encore quelques réflexion pour étayer cette idée, mais en réfléchissant tout haut, je ne suis pas loin de penser que dorénavant je conseillerais à ceux qui rêvent de trop, de rêver moins.... et à ceux qui ne rêvent pas assez, de rêver plus. Il est curieux, d'ailleurs, de remarquer à quel point ce petit dicton peut même s'appliquer aux rêves qu'on peut avoir à l'état d'éveil... [/color] Ca me fait penser à une civilisation qui plaçait le rêve au centre de tout. Si une personne rêvait qu'elle en frappait une autre, elle devait aller s'excuser auprès d'elle le lendemain. Tous les matins, la population partageait ses rêves. Cette civilisation ne semblait pas connaître de troubles psy, de stress. Rêve ou réalité? [color=#FF0000]Je pense aussi qu'un mode de vie bouddhiste, par exemple, est moins générateur de stress. (j'aurais aussi pu citer les hippies) Cependant, dans la poursuite de ce que je disais ci-dessus, surement rêvent-ils plus souvent que les occidentaux. Pour autant, je pense depuis longtemps qu'une application stricte de la philosophie bouddhiste est autant source d'erreur qu'une application stricte de la vision occidentale des choses. Trop conscient... ou pas assez. Trop inconscient ou pas assez. Trop équilibré, même... ou pas assez. Au final, ne faut-il pas souligner que l'inconscient autant que la conscience ont besoin d'être développés, de mûrir et de grandir ? Oublions l'un ou l'autre, et je croit que cela posera des problèmes, intérieurs ou extérieurs à soi, selon le cas. [/color] [/QUOTE]
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