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[QUOTE="castorix, post: 62972, member: 109"] [color=#000080]Bonsoir, Deux ou trois remarques à partager... Il est établi que [b]chacun rêve[/b] ; [b]plusieurs fois chaque nuit [/b](4 ou 5 fois p. ex.) :shock: simplement nous ne nous en rappelons pas toujours. On se rappelle d'un rêve surtout si le conscient a été surpris, et donc a mémorisé, ces pensées qu'il était étonné (ou inquiet, ou ravi) d'apercevoir au moment où la conscience critique se reforme. D'ailleurs nous sommes habitués à "sentir" un rêve disparaître de notre conscience, au moment où (c'est ma façon de le dire) se reforme la conscience critique qui ne peut "retenir" en même temps qu'un certain nombre de dimensions de la conscience de soi. (*) [b]Les somnifères[/b] ne respectent pas la structure du sommeil naturel, et notamment pour ce qui concerne la quantité et l'apparence en EEG du sommeil paradoxal (où se situe la production des rêves). Donc, il ne serait pas défendable d'argumenter [b]pour[/b] un somnifère en prétendant favoriser les rêves... d'autant que les anxiolytiques benzodiazépiniques et assimilés (classe chimique à laquelle appartiennent la plupart des somnifères) favorisent l'oubli, et notamment l'oubli des rêves... Mais bon, avec les médicaments tout est affaire de compromis : bénéfice /inconvénient. Opinion plus personnelle : l'existence chez un sujet de questionnements intérieurs incessants (conscients) ou d'un état de tension anxieuse sans pensée précise, peuvent être deux pôles un peu différents en apparence mais exprimant simplement, chez un même individu, des points variables sur un axe qui décrirait la proportion des [b]pensées[/b] (résultat du fonctionnement psychique naturel qui réagit à nos perceptions présentes mais aussi récentes ou ranimées dans la mémoire) [b]inconscientes /préconscientes /conscientes.[/b][/color] (*) et j'ai là une grosse divergence (une de plus) avec la psychanalyse : ce qui se dérobe, disent les psychanalystes, est refoulé [i](l'IC le fait forcément exprès)[/i]. Pour moi : au moins dans une proportion très importante des cas, le sujet n'est pas en mesure de réussir à tenir compte de toutes les données en même temps ; parfois cette méconnaissance est donc un manque de capacité (ne pas réussir à tenir compte de toutes les données) et parfois c'est un mode de réaction, une sorte de sous-programme (réaction "apprise" dans le passé : un schéma précoce, chez Young) qui consiste [b]par exemple [/b]à fuir les situations génératrices d'anxiété. Il s'agit donc d'une perte de choix, d'un déficit acquis, et ce n'est pas la même chose qu'une intention... surtout, on n'y remédie pas de la même manière. La thérapie cognitive conçoit des possibilités de modification là où la psychanalyse affirme que c'est une question de structure et donc qu'on n'y peut rien. [/QUOTE]
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