Roudil à dit:
:wink:
Oui, Castorix, effectivement et il n'est souvent question que du vocabulaire employé.
Alors ensuite, cela dépend de la manière d'utiliser cette idée, de l’élaborer selon ses lectures, son approche scientifique, sa philosophie et tant d'autres choses encore.
Je pense avoir et cela à plusieurs reprises exprimé dans mes messages, de manière explicite et implicite cette inspiration. Ce qui peut être considéré comme nouveau sera la façon dont je vais travailler avec ce sujet.
Mais, je me pose une question qui me vient maintenant à l’esprit : L’inédit, dans l’absolu, existe-t-il ou bien ne crée-t-on qu’à partir de notre propre mesure, à l’aune de notre être-humain, qui déjà depuis le début de son Histoire chercherait, réfléchirait, méditerait, imaginerait depuis les mêmes questions fondamentales ?
Donc rien d’inédit dans mon étude mais seulement des thèmes rafraichis, renouvelés...
Mais seulement la volonté de dépaqueter quelques croyances résistantes !
Alors, ce sujet : oublier et comment, par quels moyens… ? Quels sont les avantages dans certaines situations de vouloir oublier ?
En transcendant, en déplaçant, en métamorphosant, en remplaçant… ? Oublier quoi et pourquoi ?
Que signifie de s’identifier au passé ?
Pourquoi l’histoire de l’homme est-elle jalonnée aussi de grandes ruptures avec des éléments du passé ?
Que cherchaient à exprimer les jeunes Futuristes italiens, russes… ?
Peut-on dire sous l’influence de Nietzsche que la conscience est limitée par son passé et conditionnée aussi par un agglomérat de croyances limitantes ?
Peut-on deviser à la suite de Sartre que l’une des plus grandes angoisses de l’homme est sa liberté ?
Merci beaucoup pour ce message qui me permet de réfléchir grâce encore à vos pertinentes réflexions. :idea:
_____________________________________________________
Nathalie
:arrow:
"L'inconscient dans le premier cas "fait oublier" (donc enfonce dans l'inconscient) et dans l'autre il transforme et remodèle. Pas le même travaille"
christophe, comment peux-tu (pouvez-vous) expliciter la transformation d'une induction d'amnésie?,-
______________________________________________________
Nathalie! alors cette pratique? pourquoi ces avalanches de questions t-à-coup? c nocif!
et pas
psy!
sur la philosophie, et, pour adherer completement à la pensée, voir aussi avant tout l'amenagement des critère ethiques:
(je voulais mieux réagir aussi je vais relire),
car si l'induction amnesique est possible, ca ouvrirait une porte d'essai sur la meme pratique par ex
pour la relation sur l'orientation sexuelle!
La question pouvant se poser alors: est-ce que le tout un syst lymbique du cerveau est remodelable?
en ce cas et sur ce critère (sur le-dit evoqué 'dépression'* qu'on systematise plus outrageusement par rapport à la réalité de souffrance pour cibler une population) quoi qu'il en soit chez cette categorie ou cat parcellaire, >tout personne homo n'est pas dépressive, mais celles qui le sont comment le sont-elles?< en fonction du pb de l'individu, on parle de depression chez un homo en est-ce vraiment? Alors que le monde modélisé est hétérosexué,
la difference etant que la depression est une maladie que je confirme
par contre la mettre à toute les sauces à cela non..
j'en reviens à l'amnesie qui enleverait la 'maladie' dépressive.. hors deja il serait bien de definir clairement ce qu'est la depression..
c'est p-e un caractere du sujet! une deviance? perversion inconsciente, obsession maladive, il ne faut pas confondre un syndrome post trauma dû à une réaction (d'ou effet depressif) face à une personne qui est organiquement chimiquement mais aussi caracteriellement dépressive. exemple de manie consciente ou plus generalement inconsciente, si l'induction d'amnesie permet une refonte du caractere là aussi bravo mais bon! C'est tout de meme une refonte de caractere certes d'etat, mais aussi de fonctionnement de personnalité.. sur la possiblite d'un changement en mieux voir en 'parfaite harmonie' sur l'etat modifié c attrayant!,
voir que déjà il y ait (enormement) de parametres qui viennent s'imiscer, p. suite logique, s'il s'agit d'etat modifie d'induction d'amnesie, serait-il peren? définif à vie? etc..
interessant certes, pour
le bon fond 'philosophique' du 'mieux-etre',
la forme sans pb (ca reste une pratique),
question psycho-societale:
la fonte,
1/ chez l'individu 2/ dans le collectif?
cette nouvelle société si je peux me permettre de l'admettre ce qui n'est déjà pas pensé par tous, ca c un point, me reste, tjrs un pb; car, je n'arrive pas, et vous aussi alors! rapport à vos questions qui vous reviennent, (normal),- pour tout etre d'efficience 'normale', reste un dilemme entre l'éthique je le risque d'accord puisque j'admet, (d'apres une vision societale qui est une reflexion linguiste) dilemme serait avec l'etat, qui ne serait plus!
l'homme et son etat (il n'aurait plus d'etat), sens individuel et sens societal (etat parfait)..
l'ethique, sachant que cela fait partie de la santé chez mon congénère HUMAIN, vous le dépassez, bien, alors que je vous lis et vous accompagne, là vous commencez à vous questionner. C'est cette partie de votre questionnement qui est interessante.
Je n'ai pas à influer.
je pense à l'hypnochangement et à la personne que vous suggerez !-) personne tout autant interessante, à qui p-e vous lui avez parlé, apres c'est plus une question de savoir donner les bons soins du bon de soi..
texte non corrigé (je m'excuse au cas ou, pour mes pbs d'expressions)
urlaiée