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Message: [QUOTE="MARCO15, post: 20655, member: 3080"] Bonjour, Comme dit dans mon message initial, mon témoignage n'a rien d'universel. Je pense que c'est à chacun de trouver une phrase (suggestion ?) qui fasse tilt dans l'ensemble du corps. Pour ne pas esquisser la question, dans mon cas c'était et c'est toujours : "C'est dégueulasse !" Associations entre tabac et "C'est dégueulasse", l'odeur de la fumée sur mes habits, dans mon environnement, le goût, les conséquences sur ma santé, tabagisme direct ou passif. L'ensemble de l'univers tabagique était "dégueulasse" et repoussant. Durant les premières années, quand on me proposait une cigarette, la réponse orale : "Non, merci" était précédée dans mon cerveau par "C'est dégueulasse". Lors de tabagisme passif et inévitable, cette phrase lancinante "explosait" à la moindre perception de fumée de tabac. Autre élément à prendre en compte, il faut, me semble-t-il modifier sa façon de vivre pour limiter autant que possible les situations où nous éprouvons du plaisir à fumer. Par exemple, la cigarette avec le café de fin de repas, il me semble indispensable de détruire ces associations de plaisirs. En clair, il ne faut plus boire de café (au moins un certain temps, pour bien ancrer la dissociation). Cigarettes avec l'apéro, passez à l'apéro sans alcool. Sans cette démarche, il y aura conflit entre un refus et un plaisir. Il est plus facile de faire l'impasse sur le refus que sur le plaisir. Il me semble plus aisé de faire un refus de 2 plaisirs individuellement et globalement négatifs sur l'organisme. Le mécanisme est similaire et global. La technique peut paraitre très brutale, mais le fractionnement me semble pervers et trop tentant pour une exception (perpétuelle). [/QUOTE]

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