L'exemple du veau->steak =>assassin ! n'est pas qu'un problème de rationalisation.
Peut-être pour une analyse ultérieur ?
La manière de comment est définit ce qu'est une dissonance cognitive est un peu simpliste.
Déjà car une citation ne fait pas office de définition, et que les dissonance cognitive n'entraine pas nécessairement un problème d'écoute.
Par exemple, le biais de vérification.
Ce que je trouve intéressant dans Festinger, c'est aussi que le plus facile à changer sont les attitudes, pas le comportement. Et les études ultérieures ont montré qu'un très bon moyen (le meilleur) pour faire changer les gens d'opinion c'était de leur faire faire des choses sans qu'ils puissent facilement le justifier.
Au passage, ton exemple sur la viande m'a amusée: Il y a trois semaines, je demandais des conseils à des copains végé pour diminuer ma conso de viande parce que "C'est une dissonance cognitive" ce que je ressentais vis-à-vis de ma consommation de viande. Ça fait déjà plusieurs années, que c'est comme ça: les "arrangements internes".
Je pense que prendre conscience que quelque chose ne nous convient pas est déjà un premier pas vers le changement. Sûrement facilité, par la croyance qu'on est imparfaits et que c'est ok. La théorie paradoxale du changement: en acceptant d'être comme on est on va pouvoir amorcer le changement.
Article non daté, oui, si ça te travaille trop hésite pas et je te dirais quand je l'ai écrit, ça doit être il y a un mois.
Sympa la petite insinuation, donc j'ai écrit cet article juste pour vendre des séances aux gens, ce serait vraiment quelqu'un d'assez malhonnête et qui ne verrait que par l'argent qui agirait comme ça.
Qui va prétendre révolutionner de son génie sur un article de 500 mots ? donc au pire on le fait en 2 parties .... C'est un article de vulgarisation, ça ne t'a pas échappé...
L'exemple du veau->steak =>assassin ! n'est pas qu'un problème de rationalisation.
Peut-être pour une analyse ultérieur ?
La manière de comment est définit ce qu'est une dissonance cognitive est un peu simpliste.
Déjà car une citation ne fait pas office de définition, et que les dissonance cognitive n'entraine pas nécessairement un problème d'écoute.
Par exemple, le biais de vérification.
Le paradoxe de la viande n'est pas un exemple qui vient de moi, il est cité dans nombres d'études et de bouquins comme un des exemples de la dissonance cognitive
J'avais vu un reportage a l'époque, mais je ne sais plus ou il est...
Cela parlait de cela :
Dans un autre type d'expérience mené par Jack Brehm, 225 étudiantes sont chargées d'évaluer une série d'appareils courants. Elles sont ensuite invitées à choisir un appareil parmi deux proposés et autorisées à l'emporter chez elles comme cadeau. Dans un deuxième temps, on procède à de nouvelles évaluations et on constate que les participantes augmentent le score de l'objet qu'elles ont choisi et diminuent celui de l'objet rejeté
Je trouve que c'est celui là le plus dure à réaliser.
Réaffirmer des croyances antérieures : le biais de convivialité (congeniality) – aussi appelé « biais de confirmation » – désigne chez les individus le fait de lire ou de consulter des sources d'information les confortant dans leurs opinions aux dépens de celles qui les contredisent.
A voir et faire le test sur cette vidéo, j'avais déjà fait le test il y a quelques mois, sans me venter je suis dans les 7% du coup j'ai mieux compris pourquoi parfois et à certain moment cela "coinçait" quand je discutais avec d'autres personnes....beaucoup confirment en effet, mais peu cherche à infirmer ! N'est-ce pas vrai ?
C'est juste de l'humour désabusé.
De toute manière, j'étais persuadée que ma réponse n'était pas la bonne parce que mon raisonnement n'était pas assez tordu pour ce genre de test.
Ne pas être dans la "norme" peut provoquer des difficultés supplémentaires.
Par contre j'avoue ne pas avoir regardé le reste de la vidéo.
Quand on cherche à réfuter on peut s'attirer des sacrées inimitiés ><.