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[QUOTE="Ivan Schmitt, post: 61527, member: 20208"] Merci d'avoir pris le temps d'écrire ces explications sur votre manière de procéder. A mon sens, c'est de la thérapie stratégique et j'apprécie cette visée. D'ailleurs, c'est également ce que j'apprécie dans la schéma thérapie. Quand Valikor dit... ou que vous dites "que l'on peut simplifier" ou encore qu'il est possible d'utiliser une approche "à la Rossi", pour autant, je ne crois pas qu'une procédure simple est équivalente à une procédure complexe. Je vais reprendre un exemple que nous avons cité tout à l'heure dans le post sur la trichotillomanie (pour éviter de décrire une situation plus complexe que j'ai traité récemment) : "Il ne m'a pas dit bonjour, il ne m'aime pas". D'une certaine manière la personne dont je me suis occupé me disait cela. J'ai alors pris en compte toutes les dimensions de sa problématique, fait le tri entre toutes les options de résolutions que je pouvais lui proposer, pour finalement lui dire : "Seriez-vous d'accord de faire comme lui, la prochaine fois que vous le verrez ?" (en gros). Pourquoi choisir cette approche, plutôt qu'une autre ? Parce que je pensais qu'il était important, à ce moment, que la personne (déjà très au fait des distorsions cognitives, des mécanismes de la culpabilité etc...) que la personne donc, agisse sur son environnement. Bien sur, telle que j'ai proposé cette action sur l'environnement, cela allait devenir spontanément évocateur du principe de distorsion cognitive, mais il y avait un plus : la communication avec la personne qui l'avait remué émotionnellement. (Imaginez, dans le cas d'un burn out, que la personne avec qui il s'agissait de communiquer et en fait l'employeur !) Il est évident qu'il est également important d'apprendre à communiquer différemment, et, à mon sens, il n'y a pas de burn out, pas de dépression sans facteur extérieur présent (entre autres facteurs) provocant la dépression ou le burn out. Tout ça pour dire, que la simplification permet d'avancer plus vite, de résoudre une perturbation émotionnelle, un trauma etc. mais que je trouve également important d'avancer dans une visée un peu plus "développement personnel". J'ai toujours considéré qu'un problème devait être recadré en apprentissage pour le liquider entièrement. L'hypnose et l'EMDR, quelque fois, prive les personnes d'un apprentissage précis. Et, si c'est important d'aller mieux, c'est également important de s'améliorer... tout comme il est important de savoir en quoi on s'est amélioré. [/QUOTE]
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