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[QUOTE="-Réalité-, post: 42439, member: 18820"] [b]valikor[/b] Vous accordez beaucoup d’importance aux ressentis et aux émotions de la personne et vous en avez fait la visée de votre action. Nous sommes d’accord, en agissant sur ce plan, cela peut amener une modification cognitive et comportementale. Mais il faut considérer qu’il s’agit d’un système circulaire. Si dans le cours d’une conversation vous bousculez une croyance forte ou que vous amenez progressivement le sujet à en reconnaitre sa fausseté, il y peut également y avoir des incidences émotionnelles et comportementales. Et ceci est tout aussi valable si l’action est centrée sur la modification du comportement. Je suis d’accord, mais pouvons-nous approfondir ? La personne peut être centrée sur des choses passées mais qu'il s'agisse de ruminations. Comment décririez-vous les aspects de cette imagination à laquelle le sujet se doit d'aboutir pour que la modification puisse éventuellement survenir? Certes, il y a pas mal de raison à ce que dans le cadre d’une thérapie cela soit plus efficace que lors d’une conversation habituelle. Cependant, pour le reste, je pense que c’est une question d’apprentissage et qu’une personne rompue mais spécialisée dans les techniques visant une modification cognitive pourrait tout aussi bien considérer votre approche [i]corporelle[/i] difficile et peu efficace. Oui, cette causalité que vous établissez entre un plus grand apprentissage et ce que vous appelez « le négatif » demanderait à être clarifié. Sinon, comme je vous le disais, que nous soyons plus sensibles aux échecs qu’aux réussites relève, selon moi, d’une conception pessimiste et ne tient pas compte des différences interindividuelles. Une personne qui a une estime de soi haute et stable accueillera un succès ou un échec très différemment d’une personne à l’estime de soi basse. Hum ! Dans l’exemple que vous citez, ce que vous appelez « ressentis » sont en fait des choses très bien verbalisées. C’est pourquoi, de mon coté, je les aborderais plus comme des cognitions susceptible d’être remise en question que des émotions ou des ressentis (difficilement verbalisables) et susceptibles d’être atténués par une technique de relaxation, par exemple. Mais peut-être sommes-nous dans une querelle de mots et ce que vous appelez « ressentis » ne revêt pas le même sens chez vous que chez moi. Oui. Oui, La peur de pas être en capacité de changer, c’est assez courant. A choisir, il vaut mieux la vertu autoréalisatrice de l’optimisme. [/QUOTE]
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