Vidéo
MP3
Livre & Script
Hypno-Challenge
Espace Pro
Carte des Hypnothérapeutes
La plus grande communauté dédiée à l'hypnose
Accueil
Forums
Blog
Ressources
Événements
Connexion
S'inscrire
En ce moment
Rechercher
Rechercher
Rechercher dans les titres uniquement
Par:
Menu
Connexion
S'inscrire
Installer l'application
Installer
Accueil
Forums
Vie du Forum
Le café de l'hypnose
cancer et névrose?
JavaScript est désactivé. Pour une meilleure expérience, veuillez activer JavaScript dans votre navigateur avant de continuer.
Vous utilisez un navigateur obsolète. Il se peut que ce site ou d'autres sites Web ne s'affichent pas correctement.
Vous devez le mettre à jour ou utiliser un
navigateur alternatif
.
Répondre à la discussion
Message
[QUOTE="castorix, post: 65123, member: 109"] [color=#000080]Bonsoir, Surprenant message que le vôtre, aussi ne sachant quelle réaction vous attendez (ce témoignage ému se compose plus d'affirmations que de questions) je propose une réaction. Celle-ci se voudra respectueuse, formulant des hypothèses, en aucun cas un jugement.[/color] [color=#000080]C'est là que le principal est dit. On pourrait proposer : - un diagnostic de trouble délirant de mécanisme interprétatif, fondé certainement sur une culture personnelle (fruit de l'éducation, de l'instruction reçue, des informations glanées dans le pays et la catégorie socio-professionnelle de résidence), est probable. Pourquoi [b]délirant [/b]? - les liens entre le constat (nez qui coule) et l'interprétation (liée au sexe) sont improbables, non partageables avec la très grande majorité de la population du siècle où nous vivons (siècle marqué par des croyances scientifiques fortes) et fondés sur des associations très personnelles, ou peut-être des intuitions (dont la bizarrerie est frappante) - les liens décrits entre le prurit anal et une somatisation d'une culpabilité sont là encore si improbables que les qualifier de délirants est je crois vraisemblablement consensuel (quelques soient les pratiques sexuelles, le prurit anal est fréquent : après la moindre constipation qui peut favoriser des micro-crevasses douloureuses, par défaut d'hygiène surtout, sans même évoquer les hémorroïdes, l'eczéma, l'alcoolisme chronique, les colites avec inflammation muqueuse distale...). Alors avant d'affirmer le délire il faudrait connaître le degré de conviction, si la personne considère que « cette interprétation est la seule envisageable » ou bien si elle explique que « je crois qu'il y a d'autres possibilités mais celle-ci a retenu mon attention, pour telle ou telle raison... » Mon seul problème, et qui m'empêche d'avancer plus loin, est que le diagnostic de trouble délirant s'applique ici [b][i]soit au patient, soit aux proches, ceci incluant éventuellement le thérapeute[/i][/b]. pourriez-vous nous éclairer, avant que je ne courre le risque de me méprendre, sur la question de savoir qui a fourni les interprétations : le patient ou son entourage ? Merci d'avance. De toute manière cela n'empêche pas une prise en charge ericksonienne, qui accepte toujours de donner la parole au patient, et d'explorer avec lui le sens que son symptôme donne à la relation qu'il a (avec lui-même, avec son entourge, avec le monde). Mais le travail risque de démarrer par : la démarche de recherche de soulagement d'un état chronique que je comparerai à [b]une auto-hypnose[/b] spontanée ou non, mais [b]à conséquence péjorative[/b].[/color] [/QUOTE]
Vérification
Entrez le mot: « hypnose » ci-dessous (filtre antispam)
Répondre
Accueil
Forums
Vie du Forum
Le café de l'hypnose
cancer et névrose?
>> Vous aimez cette page ? Inscivez-vous pour participer
Haut