Vidéo
MP3
Livre & Script
Hypno-Challenge
Espace Pro
Carte des Hypnothérapeutes
La plus grande communauté dédiée à l'hypnose
Accueil
Forums
Blog
Ressources
Événements
Connexion
S'inscrire
En ce moment
Rechercher
Rechercher
Rechercher dans les titres uniquement
Par:
Menu
Connexion
S'inscrire
Installer l'application
Installer
Accueil
Forums
Hypnothérapie - Bien être Développement Personnel
Hypnothérapie
Débat: La négation en hypnose?
JavaScript est désactivé. Pour une meilleure expérience, veuillez activer JavaScript dans votre navigateur avant de continuer.
Vous utilisez un navigateur obsolète. Il se peut que ce site ou d'autres sites Web ne s'affichent pas correctement.
Vous devez le mettre à jour ou utiliser un
navigateur alternatif
.
Répondre à la discussion
Message
[QUOTE="castorix, post: 65580, member: 109"] [color=#000080]Bonsoir Ivan, La question du rêve est encore un bon sujet pour évoquer des processus et mécanismes dont la psychologie cognitive et la neurologie sont à peu près les seules à nous parler. La fonction du rêve, ou plutôt [b]une des fonctions du rêve[/b], et pour autant que cela soit compris (car il s'agit toujours de connaissances "actuelles" bientôt modifiées demain par la compréhension de nouvelles informations) est de reprendre les données amassées durant la journée venant de s'écouler, faisant passer des "informations" de la mémoire épisodique vers la mémoire sémantique. Je mets des guillemets car il est encore délicat d'écrire [i][b]informations[/b][/i], il s'agit de ma manière de parler de certaines modifications subies par des réseaux de neurones, pour tenir compte des expériences traversées, ce qui fournit au sujet propriétaire du cerveau en cause un moyen de pouvoir "se repasser" certaines pensées qu'il appelle alors « souvenirs ». Ces souvenirs, si on les nomme ainsi fonctionnellement, sont un méta-ensemble de "marques perceptuelles s'enchaînant". Ici je dois simplifier : pour écrire un paragraphe « souvenir » il faut : - des [i][b]phrases[/b][/i], enchaînements et associations de perceptions (il y avait beaucoup de lumière et il faisait chaud, le corps était immobile, des cris d'enfants, images de sable et de vagues, sensation de calme... c'est un souvenir de plage) - des [i][b]mots[/b][/i], les perceptions (sensations proprioceptives, images visuelles, sons identifiés, parfums ; et je pense pouvoir ajouter : émotions, bien que ce soit un peu colliger des carottes lyophyllisées et des navets en photo) - des [i][b]syllabes[/b][/i], associations de perception de base, que le sujet appréhende en bloc par une reconnaissance globale automtisée ous l'effet de l'habitude (assimilation à ce qui est déjà connu) - des lettres d'un alphabet, mais là s'arrêtent nos connaissances, à quelle matérialité adosser une pensée qui "copie" un instantané perceptif ? - et je pense qu'il reste encore à préciser ou à découvrir avec quelles [i][b]encres[/b][/i], quelles [i][b]plumes[/b][/i], sur quels [i][b]papyrus [/b][/i]ou [i][b]tablettes [/b][/i]d'argile ou [i][b]ardoises [/b][/i]ou [i][b]CD-ROM[/b][/i] sont inscrits ces signes qui jouent dans le cerveau le rôle de myriades de petits clichés polaroïd (pas trouvé mieux comme antonomase) de ce que nous avons vécu dans la journée écoulée... que, de plus, nous rapprochons d'autres souvenirs, comme dans une table d'allocation de fichiers qui disposerait de renvois multiples à des références internes déjà en stock... c'est l'établissement de ces sortes de [b][i]liaisons dans une base de données[/i][/b] que fait sans doute le rêve, en révision du brouillon écrit dans la journée... Et voici à présent où je voulais en venir : - chaque fois que la psychanalyse a posé un concept, c'était une invention bidon qui tetait de rendre compte de quelque chose d'incompris (bon, ça c'est juste la définition d'une invention qui fait progresser la connaissance, ok) - chaque fois que la psychanalyse a posé un concept, c'était une intuition délirante, jamais posée sur une démarche objective, juste une intuition (et fondée sur le cas personnel de son petit zizi, pour ce qui concerne le petit père viennois) mais comme elle est inacceptable par le plus grand nombre (car déconnante) c'est bien une intuition délirante - chaque fois que la psychanalyse a posé un concept, c'était dans un registre un peu paranoïaque : « c'est la faute du malade », comme le thérapeute ne le comprend pas il cherche et trouve des explications qui expliquent qu'on ne peut rien faire car c'est cassé à l'intérieur... (les plus grands psychanalystes acceptent l'idée que le malade n'est pas guérissable, ils ne songent pas à trouver une explication au fait que d'autres approches puissent parfois favoriser des changements vers un mieux... bizarre non ?!) [b]L'inconscient[/b] de la psychanalyse, [b]le refoulement[/b], et tutti quanti, sont des concepts bricolés pour donner une explication bidon à un truc que l'on ne pige pas - cela ne serait pas grave, bien des sciences ont donné des explications temporaires, vite corrigées - mais [b]on refuse[/b] en psychanalyse [b]d'évoluer[/b], on densifie les notes sur des concepts bidon qui devinnent alors des usines à gaz sans jamais accepter de tout remettre en question quand tout est rejeté par le progrès des connaissances (les vraies). (voir Lacan, et ses théories démesurément développées en un langage abscons, et sa culture du dogme comme opium de ses serviles disciples...) Voir l'immobilité de la psychanalyse sur la question de l'autisme, parmi tous les sujets où l'on peut constater l'absence d'évolution (« l'enfant autiste parlera quand il se sera décidé, il faut savoir attendre... » quelle horreur !!) (et Mélanie Klein,et même F. Dolto, "le dragon de Lacan"... merci pour la « Mauvaise mère », la « Mère pas assez bonne », les « Mères de psychotiques », qu'est-ce qu'elles ont pris les Mères...) Oui par exemple : toutes les âneries débitées sur les femmes par Freud : ce sont, pardon ce seraient, des êtres inférieurs à qui il manque définitivement quelque chose... et elles ne pensent qu'à ce Manque ontogénéique, incontestable puisqu'il serait soi-disant un manque phylogénétique !!!) Et sur les homosexuels, car Freud taxait tout le monde d'homosexualité refoulée (comme le font les paranoïaques...) sur des bases infondées qui devraient faire rire si elles ne faisaient pas pleurer... L'inconscient freudien n'est rien qu'une tentative très maladroite de trouver un concept expliquant l'incompris, des mécanismes pré-conscients dont certains ont été clarifiés entretemps... [i]errare humanum est, [sed] perseverare diabolicum[/i], c'est juste ça. [/color] [/QUOTE]
Vérification
Entrez le mot: « hypnose » ci-dessous (filtre antispam)
Répondre
Accueil
Forums
Hypnothérapie - Bien être Développement Personnel
Hypnothérapie
Débat: La négation en hypnose?
>> Vous aimez cette page ? Inscivez-vous pour participer
Haut