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Douleur intérieure
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[QUOTE="Kamou, post: 72826, member: 18001"] Alors oui, tout à fait, je reconnais beaucoup de choses que j'ai lues et certaines expériences personnelles qui accréditent cette idée à mes yeux. Un exemple simple et commun : l'appréhension de la douleur. Exactement comme avec les chatouilles (exemple plus sympas), chatouillez un enfant, après quelques temps il suffira d'approcher les doigts pour qu'il explose de rire, et un peu plus tard, prendre la pose, même de loin, des doigts en formes de chatouillis et il rira comme si vous le chatouilliez effectivement :D (et moi rien que d'y penser ça me fait rire) J'ai souvenir d'avoir lu un rapport sur deux tribus rivales dieu-sait-où faisant chacune des prisonniers de l'autre pour se torturer joyeusement. très tôt les enfants etaient habitués à subir des douleurs fortes parce qu'un prisonnier qui exprime la douleur face aux ennemis jette la honte sur sa propre tribu. En revanche un grand guerrier prouve sa valeur en se riant des sévisses qu'on lui faisait subir. L'homme a donc la capacité à modeler le ressenti de la douleur. Mais sans tomber dans de tels cas extrêmes, n'y a-t-il pas une douleur "objective" ? Y compris pour les douleurs intérieures (comprises comme douleurs émotionnelles, je me répète pour éviter le mal-entendu). En reprennant l'exemple moins rigolo de la perte d'un proche, des idées peuvent moduler dans une certaine mesure la douleur qu'on ressent alors (douleur hein, donc je parle du mal aux tripes, du souffle coupé, des larmes etc ne répandons pas trop), mais tout est-il modulable ? En outre, j'aimerai explorer le lien entre l'évènement émotionnel et sa traduction physique. Lorsque ça m'arrive, j'arrive tout de même à discerner l'origine émotionnelle et toute la "matière" émotionnelle, de la traduction physique. A la fois les deux vont main dans la main, et pourtant les deux phénomènes restent distinguables alors même qu'ils surgissent simultanément. Suis-je le seul, en pleine douleur intérieure, à parvenir tout de même à sentir une différence qualitative entre la traduction physique de la douleur, et le contenu émotionnel ? [/QUOTE]
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