Hypno-transe, avant de vous répondre, je prends le temps de bien vous lire ; autrement, comment ne pas répondre à côté ?
Ainsi :
Hypno-transe à dit:
Kamou, je ne suis ni vexée, ni quoi que ce soit du genre, et je ne fait aucune preuve d'autorité sur qui que ce soit, c'est peut être votre ressenti en me lisant, mes écrits étant directs et non enrobés, n'ayant pas trop de temps...
Je parlais d'
argument d'autorité, pas de l'autorité que vous exercez ou non. Par exemple, lorsque vous laissez entendre que mon opinion est faussée parce que je ne pratique pas l'hypnothérapie, c'est un argument d'autorité qui, en l'occurrence, ne fait pas autorité chez moi.
Le débat ne profite pas de ce genre de commentaire sans plus-value dont finalement le principal effet est de dévaluer l'autre et surévaluer soi-même (même si ce n'est pas l'intention, peu importe, vous devez savoir qu'en communication, c'est la manière dont les choses sont reçues qui compte plus encore que l'intention).
Tandis que vous avez sûrement les moyens de montrer où mon erreur se situe et de redresser mon opinion. J'accepte les arguments honnêtes (du moins je m'y efforce).
Mais s'il se trouve que vous n'avez pas le temps de me répondre convenablement, ni même de me lire convenablement, hé bien je préfère encore que vous ne répondiez pas du tout, autrement vous nous exposez à la mésentente et je n'en suis pas particulièrement friand. (je me permet d'être sincère et de ne pas enrober mes réponses, présumant que cela vous est agréable)
Bref, donc pour vous répondre toujours aussi rapidement, pour moi, j'avoue que la seule différence que je fais, est la souffrance exprimée et la douleur intérieure (non exprimée) qui est souvent un malaise indéfini qui se travaille en hypnothérapie par le ressenti.
D'accord, je comprends mieux. Donc vous entendez "intérieure" comme non-exprimée.
Quant à moi, je fais la différence entre souffrance et douleur. Nous ne situons donc pas au même niveau, d'où l'impossibilité de s'entendre jusqu'ici.
la nuance que vous marquez me semble
très intéressante. D'autant plus que nous pouvons combiner nos différentes expressions :
D'une part, marquons la nuance entre douleur et souffrance ;
d'autre part, marquons la nuance entre douleur exprimée/non exprimée, et souffrance exprimée/non exprimée.
Cela vous convient-il ?
Pour moi je ne me représente pas ça comme ça, après on peut épiloguer longuement sur les termes, mais au final pour moi ça n'a pas beaucoup d'importance, la souffrance exprimée ou pas, reste une souffrance ...
Oui mais moi je parle de douleur, et vous de souffrance, comme je l'ai déjà précisé plusieurs fois.
Si vous estimez que votre avis est assez important pour ne pas prendre le temps de répondre d'une manière convenable, je vous prie de bien vouloir, toutefois, prendre le temps de me lire convenablement, car je prends un certain temps pour vous lire et vous répondre, personnellement.