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énurésie enfant

  • Initiateur de la discussion dankay
  • Date de début 2 Octobre 2012

dankay

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  • 2 Octobre 2012
  • #1
Bonjour,

je possède une formation de base en hypnose et je suis éducatrice hypno-vie (accouchement), mais je suis très loin d'être professionnel. En ce moment j'ai décidée de me retremper dans mes livres afin d'aider mon garçon de 7 ans (bientôt 8 ) qui fait pipi au lit. Je manque de bagage pour par exemple faire une regression, mais pour l'instant j'ai fais 2 séances avec lui. les 2 fois, il a fait plus pipi la nuit de la séance :? Est-ce normal vous croyez?

Hier, on a travaillés sur les stress, la colère entre autre et sur sa place dans la famille. J'ai peut-être brassée trop d'émotion en même temps et ça sorti pendant la nuit??

J'ai moi même fait pipi au lit longtemps, je suis une 2e de famille et j'ai toujours sentie de l'injustice. Mon garçon est aussi 2e et malgré mes efforts il semble lui aussi être prit avec le même ressenti que moi. Son père est assez autoritaire, mais très présent...

avez-vous une idée de comment je pourrais travailler avec lui pour l'aider?
 
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castorix

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  • 11 Octobre 2012
  • #31
Surderien :wink: vous êtes tout à fait dans la veine des histoires un peu (beaucoup) métaphoriques que j'emploie avec profit dans ces cas là,

histoires métaphoriques mais proposant assez clairement de lutter contre :
- l'hyperexcitabilité vésicale (immaturité se manifestant par une tendance à la spasticité) (au moyen dune prescription de mictions très nombreuses)

- l'hydratation insuffisante et ce de manière habituelle (qui entretient le problème ci-dessus)

- l'habitude de se retenir au maximum (parce que le garçonnet joue, ou a peur de demander à la maîtresse le droit d'y aller, ou a peur de faire quelques gouttes dans sa culotte car cela lui est déjà arrivé, forcément à force de se retenir - etc.) qui est quasi-systématiquement retrouvée.

Et l'autre aspect de ces histoires métaphoriques, est de présenter une sorte de fresque anatomo-physiologique qui énonce que « la petite vessie un peu malheureuse de ne pas grandir a tellement envie de guérir de cette petite maladie, qu'elle décide de... (...) ... et que finalement elle demande de boire beaucoup, beaucoup, beaucoup, et de pouvoir faire pipi souvent, souvent, très souvent,... » (avec des histoires ahurissantes sur les débordements que cela ne va pas manquer de provoquer chez l'enfant concerné...)

... et bien sûr, pendant que l'enfant est en transe informelle, je prescris à la maman (éberluée ou souriante, ça dépend :shock: ) de placer deux grandes serpillières sous le lit et une bassine à côté (ça peut servir aussi à finir un pipi urgent et déjà commencé...)

... ce qui associe une forme de precription paradoxale, à une histoire grossièrement déculpabilisante, en plus de l'incitation à braver la croyance (fausse mais si répandue) que si l'enfant boit beaucoup il aura encore plus de problèmes...
 
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castorix

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  • 11 Octobre 2012
  • #32
Surderien :wink: vous êtes tout à fait dans la veine des histoires un peu (beaucoup) métaphoriques que j'emploie avec profit dans ces cas là,

histoires métaphoriques mais proposant assez clairement de lutter contre :
- l'hyperexcitabilité vésicale (immaturité se manifestant par une tendance à la spasticité) (au moyen dune prescription de mictions très nombreuses)

- l'hydratation insuffisante et ce de manière habituelle (qui entretient le problème ci-dessus)

- l'habitude de se retenir au maximum (parce que le garçonnet joue, ou a peur de demander à la maîtresse le droit d'y aller, ou a peur de faire quelques gouttes dans sa culotte car cela lui est déjà arrivé, forcément à force de se retenir - etc.) qui est quasi-systématiquement retrouvée.

Et l'autre aspect de ces histoires métaphoriques, est de présenter une sorte de fresque anatomo-physiologique qui énonce que « la petite vessie un peu malheureuse de ne pas grandir a tellement envie de guérir de cette petite maladie, qu'elle décide de... (...) ... et que finalement elle demande de boire beaucoup, beaucoup, beaucoup, et de pouvoir faire pipi souvent, souvent, très souvent,... » (avec des histoires ahurissantes sur les débordements que cela ne va pas manquer de provoquer chez l'enfant concerné...)

... et bien sûr, pendant que l'enfant est en transe informelle, je prescris à la maman (éberluée ou souriante, ça dépend :shock: ) de placer deux grandes serpillières sous le lit et une bassine à côté (ça peut servir aussi à finir un pipi urgent et déjà commencé...)

... ce qui associe une forme de precription paradoxale, à une histoire grossièrement déculpabilisante, en plus de l'incitation à braver la croyance (fausse mais si répandue) que si l'enfant boit beaucoup il aura encore plus de problèmes...
 
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castorix

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  • 11 Octobre 2012
  • #33
Surderien :wink: vous êtes tout à fait dans la veine des histoires un peu (beaucoup) métaphoriques que j'emploie avec profit dans ces cas là,

histoires métaphoriques mais proposant assez clairement de lutter contre :
- l'hyperexcitabilité vésicale (immaturité se manifestant par une tendance à la spasticité) (au moyen dune prescription de mictions très nombreuses)

- l'hydratation insuffisante et ce de manière habituelle (qui entretient le problème ci-dessus)

- l'habitude de se retenir au maximum (parce que le garçonnet joue, ou a peur de demander à la maîtresse le droit d'y aller, ou a peur de faire quelques gouttes dans sa culotte car cela lui est déjà arrivé, forcément à force de se retenir - etc.) qui est quasi-systématiquement retrouvée.

Et l'autre aspect de ces histoires métaphoriques, est de présenter une sorte de fresque anatomo-physiologique qui énonce que « la petite vessie un peu malheureuse de ne pas grandir a tellement envie de guérir de cette petite maladie, qu'elle décide de... (...) ... et que finalement elle demande de boire beaucoup, beaucoup, beaucoup, et de pouvoir faire pipi souvent, souvent, très souvent,... » (avec des histoires ahurissantes sur les débordements que cela ne va pas manquer de provoquer chez l'enfant concerné...)

... et bien sûr, pendant que l'enfant est en transe informelle, je prescris à la maman (éberluée ou souriante, ça dépend :shock: ) de placer deux grandes serpillières sous le lit et une bassine à côté (ça peut servir aussi à finir un pipi urgent et déjà commencé...)

... ce qui associe une forme de precription paradoxale, à une histoire grossièrement déculpabilisante, en plus de l'incitation à braver la croyance (fausse mais si répandue) que si l'enfant boit beaucoup il aura encore plus de problèmes...

Donc l’hypnose, mais pas seulement…
l’hypnose, pour aider à faire quelque chose.
 
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castorix

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  • 11 Octobre 2012
  • #34
Surderien :wink: vous êtes tout à fait dans la veine des histoires un peu (beaucoup) métaphoriques que j'emploie avec profit dans ces cas là,

histoires métaphoriques mais proposant assez clairement de lutter contre :
- l'hyperexcitabilité vésicale (immaturité se manifestant par une tendance à la spasticité) (au moyen dune prescription de mictions très nombreuses)

- l'hydratation insuffisante et ce de manière habituelle (qui entretient le problème ci-dessus)

- l'habitude de se retenir au maximum (parce que le garçonnet joue, ou a peur de demander à la maîtresse le droit d'y aller, ou a peur de faire quelques gouttes dans sa culotte car cela lui est déjà arrivé, forcément à force de se retenir - etc.) qui est quasi-systématiquement retrouvée.

Et l'autre aspect de ces histoires métaphoriques, est de présenter une sorte de fresque anatomo-physiologique qui énonce que « la petite vessie un peu malheureuse de ne pas grandir a tellement envie de guérir de cette petite maladie, qu'elle décide de... (...) ... et que finalement elle demande de boire beaucoup, beaucoup, beaucoup, et de pouvoir faire pipi souvent, souvent, très souvent,... » (avec des histoires ahurissantes sur les débordements que cela ne va pas manquer de provoquer chez l'enfant concerné...)

... et bien sûr, pendant que l'enfant est en transe informelle, je prescris à la maman (éberluée ou souriante, ça dépend :shock: ) de placer deux grandes serpillières sous le lit et une bassine à côté (ça peut servir aussi à finir un pipi urgent et déjà commencé...)

... ce qui associe une forme de precription paradoxale, à une histoire grossièrement déculpabilisante, en plus de l'incitation à braver la croyance (fausse mais si répandue) que si l'enfant boit beaucoup il aura encore plus de problèmes...

Donc l’hypnose, mais pas seulement…
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castorix

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- l'hyperexcitabilité vésicale (immaturité se manifestant par une tendance à la spasticité) (au moyen dune prescription de mictions très nombreuses)

- l'hydratation insuffisante et ce de manière habituelle (qui entretient le problème ci-dessus)

- l'habitude de se retenir au maximum (parce que le garçonnet joue, ou a peur de demander à la maîtresse le droit d'y aller, ou a peur de faire quelques gouttes dans sa culotte car cela lui est déjà arrivé, forcément à force de se retenir - etc.) qui est quasi-systématiquement retrouvée.

Et l'autre aspect de ces histoires métaphoriques, est de présenter une sorte de fresque anatomo-physiologique qui énonce que « la petite vessie un peu malheureuse de ne pas grandir a tellement envie de guérir de cette petite maladie, qu'elle décide de... (...) ... et que finalement elle demande de boire beaucoup, beaucoup, beaucoup, et de pouvoir faire pipi souvent, souvent, très souvent,... » (avec des histoires ahurissantes sur les débordements que cela ne va pas manquer de provoquer chez l'enfant concerné...)

... et bien sûr, pendant que l'enfant est en transe informelle, je prescris à la maman (éberluée ou souriante, ça dépend :shock: ) de placer deux grandes serpillières sous le lit et une bassine à côté (ça peut servir aussi à finir un pipi urgent et déjà commencé...)

... ce qui associe une forme de precription paradoxale, à une histoire grossièrement déculpabilisante, en plus de l'incitation à braver la croyance (fausse mais si répandue) que si l'enfant boit beaucoup il aura encore plus de problèmes...

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histoires métaphoriques mais proposant assez clairement de lutter contre :
- l'hyperexcitabilité vésicale (immaturité se manifestant par une tendance à la spasticité) (au moyen dune prescription de mictions très nombreuses)

- l'hydratation insuffisante et ce de manière habituelle (qui entretient le problème ci-dessus)

- l'habitude de se retenir au maximum (parce que le garçonnet joue, ou a peur de demander à la maîtresse le droit d'y aller, ou a peur de faire quelques gouttes dans sa culotte car cela lui est déjà arrivé, forcément à force de se retenir - etc.) qui est quasi-systématiquement retrouvée.

Et l'autre aspect de ces histoires métaphoriques, est de présenter une sorte de fresque anatomo-physiologique qui énonce que « la petite vessie un peu malheureuse de ne pas grandir a tellement envie de guérir de cette petite maladie, qu'elle décide de... (...) ... et que finalement elle demande de boire beaucoup, beaucoup, beaucoup, et de pouvoir faire pipi souvent, souvent, très souvent,... » (avec des histoires ahurissantes sur les débordements que cela ne va pas manquer de provoquer chez l'enfant concerné...)

... et bien sûr, pendant que l'enfant est en transe informelle, je prescris à la maman (éberluée ou souriante, ça dépend :shock: ) de placer deux grandes serpillières sous le lit et une bassine à côté (ça peut servir aussi à finir un pipi urgent et déjà commencé...)

... ce qui associe une forme de precription paradoxale, à une histoire grossièrement déculpabilisante, en plus de l'incitation à braver la croyance (fausse mais si répandue) que si l'enfant boit beaucoup il aura encore plus de problèmes...

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