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[QUOTE="MENGAL, post: 14618, member: 6224"] [b]Bonjour, Vous avez dit « mal-être » ![/b] Eh bien ! « [i]Telle une hydre à mille têtes, [b][color=#FF0000]le mal-être est une notion aux contours flous[/color][/b], dont les symptômes sont difficiles à identifier et à mesurer précisément.[/i] » [b]C’est, du moins, ce que confirme cette psychanalyste au terme d’une étude réalisée auprès de jeunes concernés par ce phénomène. [/b]« [i]Directrice de recherche à l’Inserm sur la santé de l’adolescent, Marie Choquet [a publié une enquête très intéressante] intitulée : “ Les jeunes suicidants ”. Elle estime au moins à 120 000 le nombre de jeunes de 15 à 24 ans qui tentent de se tuer tous les ans. [/i]» [b]Les résultats de son étude infirmeraient certains présupposés[/b], en effet, « [i]Réalisée auprès de 582 jeunes accueillis dans neuf centres hospitaliers après leur tentative de suicide, [b][color=#FF0000]elle bouscule les idées reçues sur l’isolement relationnel ou encore le déterminisme social.[/color][/b] [/i]» Certains médecins pensent que, chez la plupart des jeunes concernés par ce fléau, « [i]La mort en tant que telle est rarement souhaitée. [/i]» Ainsi, Xavier Pommereau, « [i]Psychiatre au CHU de bordeaux et auteur en 2001 de “ l’adolescent suicidaire ”, fait valoir que tout acte suicidaire est un appel à l’aide. » Il explique que, en effet, que « [b][color=#FF0000]Derrière ces jeunes en apparence ordinaire se cachent en réalité des souffrances multiples dont aucune n’a de cause déterminante.[/color][/b][/i] » [b]Mais alors quelle(s) relation(s) de cause à effet peut-on mettre en exergue pour expliquer le passage à l’acte ? [/b] D'après les résultats de l'enquête, « [i]Il y [aurait] bien des facteurs déclenchants. 51 % citent une rupture sentimentale, 45 % une agression physique, 38 % un changement de situation scolaire ou professionnelle et 23 % une agression sexuelle. Mais ces facteurs ne se suffisent pas à eux-mêmes. [/i]» [b]La manière de communiquer, voire de dialoguer, à la maison, aurait une incidence non négligeable[/b], en effet, toujours « [b][i]Selon la psychanalyste Marguerite Charazac-Brunel, [ce serait précisément] l’absence de dialogue qui [constituerait] le point commun des familles dont un enfant se suicide. “ Ce [ne serait donc pas] l’organisation de la famille qui est en cause, mais la qualité relationnelle, la chaleur humaine qui y règne ”, précise Marie Choquet. [/i][/b]» Et, d’ajouter : « [i]Si le mal-être est d’abord un trouble de l’humeur, de la personnalité ou un flou existentiel qui trouve son origine dans la pauvreté du lien affectif, d’autres de ses visages sont à chercher dans les comportements dépendants. [/i]» On sait que beaucoup d’étudiants et étudiantes apprennent à fumer, à boire et même à se droguer au cours de leurs études... Ce n’est pas tout, à côté du « [i]mal-être [/i]» et de la « [i]dépendance[/i] », il y a une dimension supplémentaire : l’angoisse. C’est l’enquête, elle-même, qui le révèle : « [i]plus d’un [jeune] sur deux déclare [en effet] se sentir anxieux, un sur quatre confesse sur quatre confesse avoir des problèmes de sommeil et 15 % consomment des psychotropes. 4,3 % des garçons et 12,1 % des filles (soit 8,65 % des étudiants) déclarent consommer des calmants en période d’examen ou de stress et 6,2 % des garçons et 7,5 % des filles (6,9 % du total) consomment des stimulants. Une consommation problématique car seulement 1,9 % de ceux qui vont voir un spécialiste consultent un psychologue ou un psychiatre. [/i]» [b][u]Les personnes intéressées par les résultats qualitatifs et/ou quantitatifs de cette enquête peuvent en prendre connaissance en visitant le site renseigné ci-dessous en (1)[/u][/b] [b]Conclusion :[/b] [b]Le « Mal-être » et la « dépendance » sont « deux états » qui, à terme, peuvent pousser certains jeunes au suicide. [/b]« [i]Si, comme le souligne Marguerite Charazac-Brunel, [color=#FF0000]le mal-être est d’abord un trouble de l’humeur, de la personnalité ou un flou existentiel qui trouve son origine dans la pauvreté du lien affectif[/color] - [b]ce qui confirmerait alors ce que disait Métaphore dans son message cité supra [/b]- , [color=#FF0000][u]d’autres de ses visages sont à chercher dans les comportements dépendants. [/u][/color]La consommation d’alcool, de tabac, de drogues illicites, de médicaments psychotropes, de stimulants représente fréquemment une prise de risque qui vient compenser un déséquilibre. La dépendance est ainsi révélatrice d’un mal-être. [/i]» Bien à vous. Peter. (1) Animafac, Etudiants : quand le spleen guette, mardi 19 octobre 2004, Par Patrice Roques, http://www.animafac.net/imprimersans.ph ... rticle=580 page consultée le 5 mai 2009. [/QUOTE]
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