surderien
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« Heureux comme un conservateur ? »
Cerveau & Psycho
Cerveau & Psycho se penche sur une étude américaine à paraître (B. R. Schlenker et al., Journal of Research in Personality), « sur les traits de personnalité des électeurs conservateurs (de droite) ou libéraux (de gauche) [qui] montre que les premiers semblent plus heureux que les seconds ».
Le magazine relève que « selon les mesures psychologiques réalisées auprès d'échantillons de plusieurs dizaines de milliers de personnes, les conservateurs sont plus optimistes, persuadés d'avoir leur destin en main, plus souvent croyants, et ont une meilleure estime d'eux-mêmes ».
Le bimestriel explique que « ces dimensions de personnalité font partie d'une tendance comportementale nommée «adaptation positive», qui consiste à adopter un point de vue positif et optimiste face à une situation donnée, plutôt que de vouloir changer la situation à tout prix ».
Cerveau & Psycho note que « les libéraux (plus réformateurs et insatisfaits face aux conditions sociales) souffrent davantage du monde dans lequel ils vivent et, plutôt que de s'adapter en développant un sentiment d'optimisme et d'autonomie, estiment indispensable de changer les règles du jeu social ».
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Cerveau & Psycho
Cerveau & Psycho se penche sur une étude américaine à paraître (B. R. Schlenker et al., Journal of Research in Personality), « sur les traits de personnalité des électeurs conservateurs (de droite) ou libéraux (de gauche) [qui] montre que les premiers semblent plus heureux que les seconds ».
Le magazine relève que « selon les mesures psychologiques réalisées auprès d'échantillons de plusieurs dizaines de milliers de personnes, les conservateurs sont plus optimistes, persuadés d'avoir leur destin en main, plus souvent croyants, et ont une meilleure estime d'eux-mêmes ».
Le bimestriel explique que « ces dimensions de personnalité font partie d'une tendance comportementale nommée «adaptation positive», qui consiste à adopter un point de vue positif et optimiste face à une situation donnée, plutôt que de vouloir changer la situation à tout prix ».
Cerveau & Psycho note que « les libéraux (plus réformateurs et insatisfaits face aux conditions sociales) souffrent davantage du monde dans lequel ils vivent et, plutôt que de s'adapter en développant un sentiment d'optimisme et d'autonomie, estiment indispensable de changer les règles du jeu social ».
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