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Hypnose et psychanalyse
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[QUOTE="Prudence, post: 73588, member: 20929"] [align=justify] Rappel: Attention aux mots que vous employez pour décrire les autres. La distanciation entre les écrits et la personne peut être une idée pour se montrer moins violent envers les autres. Merci Vaste sujet. J'ai pris mon temps pour me manifester parce que j'avais besoin de réfléchir à comment partager mon avis. En fait j'ai choisi de raconter ce que j'avais vécu. J'ai commencé à lire Freud à l'âge de 13 ans parce que je m'intéressais à la psychologie et que ça me semblait être la base, c'est d'ailleurs ce qu'on me répétera beaucoup par la suite. J’intègre la notion d'inconscient (freudien), de pulsion, de sublimation, de complexe etc. Après avoir continué à lire et avoir un peu navigué, je me retrouve en 2005 en fac de psycho et soyons clair pendant toute ma licence la base c'est du Freud ou du dérivé (Klein par exemple). Un jour je demande à un prof des détails concernant une théorie qu'on venait de nous expliquer, un truc particulièrement fumeux, je lui exprime le fait que je suis assez dubitative et lui demande comment ils ont pu prouver ça, et là il me répond que si en licence j'attends toujours qu'on me prouve la psychanalyse je n'ai rien compris. Je dois dire que ça m'a marqué parce que j'ai commencé à vraiment plus réfléchir par moi même, à chercher d'autres choses, d'autres théories, à avoir des preuves et là je ne voulais pas foutre toute la psychanalyse à la poubelle mais c'est ce qui s'est passé. J'ai parlé avec des personnes qui avaient souffert de dépression et s'étaient retrouvées face à des psychiatre psychanalystes qui n'avaient au mieux servi à rien, au pire aggravé les choses en étant froids et silencieux face à leur détresse, j'en ai moi même vus. Et je me suis posé pas mal de questions, si je voulais être psy ce n'était pas pour laisser les gens dans leur merde et les regarder souffrir sans leur tendre la main et les faire payer pour ça en plus. Mais comment faire? J'ai cherché, beaucoup, longtemps avant de rencontrer les thérapies cognitivo-comportementales et tous les dérivés humanistes (AT, TCC, brèves, Gestalt, Palo Alto...) et là ça a été la révélation: on pouvait aider les gens, les aider à résoudre leur problème, ne pas les regarder de haut et à grande distance, non on pouvait vraiment leur tendre la main. On pouvait voir le beau dans l'humain et choisir de voir le beau. Clairement, définitivement, l'inconscient Ericksonien comme un supermarché à ressource, comme une cave aux trésors me plait infiniment plus et me parait parfaitement plus salutaire que l'inconscient freudien bourré de sombre pulsions et de l'envie de se taper son père ou sa mère. J'inscris l'hypnose comme un outil dans des conceptions floues car très ouvertes, mais très positives, lumineuses, le cadre théorique n'est pas très défini et donc je ne pourrais pas l'opposer à la psychanalyse, mais la psychanalyse telle qu'on me l'a enseignée, freudienne, lacanienne, je l'ai jetée à la poubelle. Par contre, comme Métaphore je garde d'autres choses d'origine peut être psychanalytique. Par exemple je fais de l'analyse de dessin et de rêves éveillés et une partie de ça vient de travaux qui se sont basés sur ceux de Jung (je ne l'ai pas encore lu, mais des livres qui utilisaient une partie de son travail). Concernant la thérapie je trouve ça déplorable que la psychanalyse bloque autant l'arrivée des tcc en France, qu'on l'enseigne de cette manière en fac. Je vois que pour mes livres je dois chercher des auteurs Belges, Québécois, ou Américains traduits, parfois même faire venir de l'étranger des livres non édités en France. Il y a d'autres choses qui me choquent, quand j'entends ce que j'ai entendu dans "Le mur" ça me fait bondir, quand on voit qu'on torture des enfants dans des hôpitaux psychiatriques au nom de la psychanalyse (packing) ou qu'on empêche des enfants autistes d'avoir accès à la méthode ABA à cause de l'égémonie psychanalytique, clairement je ne trouve pas ça normal. Mais là ce qui m'embête le plus ce n'est pas la psychanalyse en elle même mais le retard français et la position de monopole. Si quelqu'un veut devenir ou se faire suivre par un freudien ou un lacanien, que ce soit son choix, pas de soucis, mais que s'il a un problème à régler qu'on lui fasse croire qu'il n'y a que la seule possibilité de se faire suivre pendant des 10aines d'années peut être pour rien et que la seule méthode c'est celle là, alors là non, effectivement, je trouve ça malsain. [/QUOTE]
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