(le self- made in english spoken me taille les oreilles en pointe...)
Petite réflexion avant de se jeter à l'eau.
comme je vois ce lac aux reflets bleux et verts étincelant des miroititudes d'éclats de soleil se promenant sur le miroir de l'eau et devinant les pierres jonchant son fond après avoir cheminer au détour de ces nombreux sentiers fôrestiers, ma cruche dans la main gauche, je regarde le spectaculaire phénomène , ce rideau éclaboussant l'air de gouttelettes et de parfumant l'air de rien d'autre qu'une légère brise comme la rosée se pose sur la fleur et le papillon allant se rafraichir et papillonner de nouveau
l'eau danse tel de légers fils essentiels formant la trame et s’effilochant pour doucement assouplir des lisières encore rigides et maladroites d'un tissur trop rigide, je tends la cruche à l'eau et l'eau sécoule sur l'anse et la main et mon avant bras, ce petit ruisseau suit son chemin dans le creux de mon avant bras puis s'égoutte le long de mon coude pour finir à la surface de ce lac sous le quel mes pieds se sont cachés.
Je roule toute seule ici. Tu le sais, je le sais, nous le savons.
la tut et le p'tit "' "qui va bien, c’est leur truc, pas le mien.
Ici, de nombreux et brillants hypnothérapeutes répondent à vos oui et non ou autres interrogations et ils diront la même chose parce qu'ils ont un tronc commun : les bases essentielles qu'ils ont payé très chers pour changer ce qui vous dérange sous hypnose.
Avec moi ça marche comme : ^.^ ou *smile* ou lol ou encore à l'uppercut.
Des questions?
non ? alors 'Onne soirée et à 'Ientôt !
Attention framboisine j'en ai connu plus d'une qui ont fini comme ça par abus de thé à la menthe ; celui qu'on récolte à ozoir la ferrière est notoirement toxique
Une odeur de poudre flotte dans la vallée imbibe le sol me titille le nez curieusement je sors, d'à peine un pied ! je suis happé l'écho d'un fracas métaleux passait par là prostitué en symphonie mélOdieuse ou!, d'un orchestre infernal à l'audition fumeuse et l'expression dyslexique le voilà qui remue se faufile en dragon de lumière son souffle puissant comme une armé de tambours en battue roule sur la colline laboure le chant de runes ancestrales d'une ode à la nuit millénaire et moi de briser le maléfice mais l'artiste pour un flûtiste s'est fait passer dresse un mur du son autour de nous me prend pour son pipeau il, m'HyPnOtIsE avec malice dans l'oeil du cyclone je deviens le cobra charmé qui s'enroule autour du bras imaginaire et acoustique travesti en silence quand!, soudain le hautbois là-haut trébuche s’emmêle les synapses et marche sur la queue d'une tarentule mélancolique et furieuses le tintamarre s’esclaffe les cordes cosmiques claquent les guitares hérétiques se fracassent en ondes magnétiques elles m'éveillent me soulèvent me traversent des éclairs rouges verts et bleus et, magnifique et vexé d'avoir perdu sa fausse moustache le fracas métaleux m'abandonne s'enfuit dans la nuit et s'éteint non loin, ouragan lunatique