katia (zoulouk)
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Il était une fois une femme qui vivait dans une très grande et vetuste maison au centre du village. Des appartements y avaient été aménagés,, et c'était son seul gagne pain. Sa grande maison était toujours en travaux. Il y avait constamment quelque chose à refaire, quelque chose qui menaçait de s'écrouler ici ou là, de façon incessante. Des locataires endettés qui ne parvenaient plus à payer, des travaux mal faits...
Des mauvaises langues se plaisaient à lui dire que sa maison était un véritable gouffre sans fond, que des perspectives de soucis à venir,et qu'il valait tout compte fait mieux qu'elle sen débarrasse, car elle finirait par faire faillite, et y laisser toute sa fortune.
Mais ele n'avait cure de tous ces conseils!
Pour elle, cette maison c'était son chateau. Elle en était la chatelaine.
Elle était toujours élégamment vêtue, prête à recevoir ses hôtes. C'était une merveilleuse cuisinière, qui faisait honneur à avoir toujours une table bien garnie avec des mets délicieux. A toute heure du jour, il y avait toujours, un café, une friandise, pour vous accueillir.
A tous les etrangers, elle faisait faire le tour de toutes les nombreuses pièces, en racontant leur histoire, qui y avait vécu, comment, l'histoire du mobilier, les évènements marquants, l'hiistoire des appartements.
Elle faisait les travaux un à un, là où c'était le plus necessaire. Dans un chateau, il y a des parties presque en ruine, et quand ses ressources étaient à nouveau suffisantes, elle refaisait une partie. Elle était toujours contente de ce qu'elle avait refait, et s'emerveillait de ce renouveau, de ce qui avait changé.
Même si les mauvaises langues voyaient tout ce qui restait encore à faire, et souriait quand elle racontait l'histoire d'une table de camping qui faisait office de table dans une des pièces, et de la machine à tirer lers boules de loto qui tronait au milieu sous un napperon et qu'elle utilisait toutes les semaines. Peut être la providence pouvait elle l'aider à faire ses travaux plus rapidement ?
Il n'en fut jamais rien, elle ne gagna que des petites sommes, mais ce n'était pas grave. Elle avait le plaisir de jouer. Peut être même qu'elle y perdait un peu ? Elle n'avait pas besoin de la loterie, c'était juste un petit jeu plutôt drôle, un rituel agréable.
Elle était heureuse dans son chateau, qu'elle rendait toujours plus beau, dont elle réparait les blessures avec compassion, et fiere d'être la personne qu'elle était, une chatelaine qui savait merveilleusement recevoir.
C'était une très vieille maison, une maison dont elle avait fait son chateau, où chaque objet avait son histoire, où elle avait son histoire: l'histoire d'une femme heureuse.
Des mauvaises langues se plaisaient à lui dire que sa maison était un véritable gouffre sans fond, que des perspectives de soucis à venir,et qu'il valait tout compte fait mieux qu'elle sen débarrasse, car elle finirait par faire faillite, et y laisser toute sa fortune.
Mais ele n'avait cure de tous ces conseils!
Pour elle, cette maison c'était son chateau. Elle en était la chatelaine.
Elle était toujours élégamment vêtue, prête à recevoir ses hôtes. C'était une merveilleuse cuisinière, qui faisait honneur à avoir toujours une table bien garnie avec des mets délicieux. A toute heure du jour, il y avait toujours, un café, une friandise, pour vous accueillir.
A tous les etrangers, elle faisait faire le tour de toutes les nombreuses pièces, en racontant leur histoire, qui y avait vécu, comment, l'histoire du mobilier, les évènements marquants, l'hiistoire des appartements.
Elle faisait les travaux un à un, là où c'était le plus necessaire. Dans un chateau, il y a des parties presque en ruine, et quand ses ressources étaient à nouveau suffisantes, elle refaisait une partie. Elle était toujours contente de ce qu'elle avait refait, et s'emerveillait de ce renouveau, de ce qui avait changé.
Même si les mauvaises langues voyaient tout ce qui restait encore à faire, et souriait quand elle racontait l'histoire d'une table de camping qui faisait office de table dans une des pièces, et de la machine à tirer lers boules de loto qui tronait au milieu sous un napperon et qu'elle utilisait toutes les semaines. Peut être la providence pouvait elle l'aider à faire ses travaux plus rapidement ?
Il n'en fut jamais rien, elle ne gagna que des petites sommes, mais ce n'était pas grave. Elle avait le plaisir de jouer. Peut être même qu'elle y perdait un peu ? Elle n'avait pas besoin de la loterie, c'était juste un petit jeu plutôt drôle, un rituel agréable.
Elle était heureuse dans son chateau, qu'elle rendait toujours plus beau, dont elle réparait les blessures avec compassion, et fiere d'être la personne qu'elle était, une chatelaine qui savait merveilleusement recevoir.
C'était une très vieille maison, une maison dont elle avait fait son chateau, où chaque objet avait son histoire, où elle avait son histoire: l'histoire d'une femme heureuse.