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La peur de rater
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[QUOTE="Ivan Schmitt, post: 55475, member: 20208"] La question est en fait de savoir si l’on se sert de la peur pour se motiver et pour agir (c’est la peur qui provoque une fuite en avant) ou si l’on tente de supprimer la peur (c’est la peur qui provoque une fuite en arrière). La peur montre en général qu’une situation n’est pas suffisamment maîtrisée Alors s’il était possible d’exercer en permanence un vrai contrôle sur les évènements et donc, possible de se passer complètement de la peur ça serait bien, mais il faut bien avouer que la vie… c’est pas ça. En tout cas, on peut contrôler la peur, la diminuer, ou au contraire, l’utiliser. Quand tout est complètement maitrisé, la peur n’intervient pas. Comme le fait très justement remarquer Katia, parfois l’échec c’est de ne pas avoir entrepris ; le confort (de ne pas entreprendre), par conséquent est donc source d’échec. C’est très paradoxal : cela revient à dire que si je me sens bien, c’est exactement à ce moment que j’échoue ! Nous avions d’ailleurs une conversation similaire au sujet du doute : est-il moteur, ou, au contraire, susceptible de confondre au point de nous entrainer dans la plus profonde dépression ? Le mécanisme est similaire et, pour cause : le processus est le même. Finalement, tout se passe comme si, d’un coté il y avait des perceptions ou des émotions négatives (la peur, le doute, le risque d’échec) ; de l’autre des perceptions ou des émotions positives (le confort, le bien-être, la réussite). Le négatif comme le positif est utile, mais tout dépend de ce que l’on en fait. Les vrais problèmes commencent lorsqu’on adopte des attitudes stéréotypés : toujours fuir, toujours affronter, par exemple ; parce qu’au bout d’un moment, on perd la capacité, soit de se servir utilement du négatif (je ne vais pas bien mais je ne sais pas pourquoi) : excès d’affrontement. Soit on est envahi par le négatif (j’ai tellement de problèmes !) : excès de fuite. Souvent c’est d’ailleurs les deux en même temps… C’est déréglé, on ne sait plus ce qu’il faut réellement faire pour se sentir bien ; l'on ne parvient plus a être positif parce qu'il faut savoir être négatif pour rester conscient du positif. La flexibilité, est alors le meilleur moyen de passer du négatif au positif, de se servir du négatif et du positif ; de doser ce qu’on prend, ce qu’on laisse…. [/QUOTE]
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