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[QUOTE="Kamou, post: 66905, member: 18001"] Salut xorg ! Ça fait longtemps, je n'avais pas vu ce message (suis trop dans mon monde moi) Pour répondre rapidement : À l'époque ou spinoza écrit, la pensée philosophique est encore marquée par un dualisme corps/esprit. Spinoza quant à lui pense qu'il y a une substance unique : Dieu. Pas un Dieu barbu, non, Dieu est une substance intelligente. Et toutes les choses sont des manières d'être de cette même substance. Il suppose (en fait il deduit) qu'il y a une infinité de modes d'êtres, mais nous ne pouvons en connaître que deux : l'étendue (le corps) et la pensée. Les deux étant comme les faces d'une même pièce. Un peu comme LeBreton explique que les tissus corporels et le tissu symbolique sont deux appréciations d'une même chose, l'un renvoyant à l'autre et vice versa. Ce qu'il y a d'intéressant avec Spinoza, c'est qu'il met l'accent sur les rapports entre les choses. Par exemple il explique que dans l'infiniment petit différents modes d'être se lient entre eux : ils rentrent dans un rapport et de ce rapport quelque chose de supérieur émerge. Concrètement, dans notre corps, des molécules entrent en rapport les unes avec les autres et forment le sang, lui même en rapport avec les tissus etc. Le tout formant ce que nous sommes. À l'échelle de la nature, tout n'est que construction de rapports. Mais à l'échelle d'un individu il y a, et construction de rapports, et destruction de rapports. La destruction de rapports engendre tristesse, et la construction génère la joie. Générer des rapports c'est se rapprocher du divin, et en détruire c'est s'en éloigner. Et tout savoir n'est qu'un rapport. Par exemple, savoir nager signifie savoir dans quel rapport il faut entrer avec l'eau. Alors il faut, en suivant la joie et la tristesse, trouver les choses qui nous rapprochent du divin, les rapports qu'on peut entretenir et qui sont bons, et au contraire fuir tout ce qui engendre de la tristesse, ou du moins trouver dans quel rapport à ces choses on peut s'accomplir. Et moi, je sais pas si c'est une sorte de parano, mais je trouve qu'on est pas si loin de la systémique. [/QUOTE]
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