Imaginez : un homme vous sauve la vie, en échange de votre
engagement de faire tout ce qu'il vous demande... pour votre bien.
Le dos au mur, vous acceptez et vous vous retrouvez embarqué
dans une incroyable situation où tout semble vous échapper.
Vous n'êtes plus le maître de votre vie et pourtant... à bien des
égards, elle est plus excitante qu'auparavant !
Mais peu à peu, le doute s'installe en vous : quelles sont les
intentions réelles de cet homme qui s'est immiscé dans votre
existence ? Qui est-il vraiment ? Et qui sont ces personnages
énigmatiques, dans son entourage ? Les découvertes que vous faites
n'ont rien pour vous rassurer...
Cette histoire, qui nous plonge dans l'atmosphère envoûtante d'un
été parisien, ouvre la voie de la plus belle des réflexions sur
nous-mêmes : qu'est-ce qui peut nous permettre de dépasser nos
inhibitions, nos peurs et nos conditionnements, pour sortir du chemin
tout tracé de notre vie lorsque celle-ci ne nous apporte pas
pleinement satisfaction ?
Certes il y a parfois des passages un peu lourds, caricaturaux à mon gout mais comme dans "L'homme qui voulait être heureux" on trouve dans "Dieu voyage toujours incognito" un certains nombres de concepts de PNL et, encore plus clairement que dans le premier livre, ici, le héros "subit" une sorte de thérapie ordalique avec les "missions" imposés par le mentor. Missions qui le font grandir à chaque étape franchie. Des fois c'est assez drôle, parfois émouvant, des fois ça m'a donné envie d'en faire qques unes, des missions, en tout cas ça m'a donné envie de dépasser mes limites et de repousser certaines de mes peurs plus ou moins conscientes, et ça j'ai trouvé ça très bon ... ça donne envie de liberté et des moyens pour y arriver. Et en plus l'histoire du roman m'a bien embarqué dans son suspense.
Un passage vraiment sympa dans le livre c'est quand le mentor veut apprendre au jeune à mieux communiquer: il l'invite à prendre le temps de rentrer dans le monde de son interlocuteur, avec respect, à mettre les formes, à essayer de découvrir l'univers de l'autre pour s'y adapter.
Le jeune se rebiffe alors en répondant qu'il préférai la franchise et qu'il trouvait hypocrite de vouloir rentrer dans "modèle du monde" de l'autre.
Le mentor lui réponds alors simplement qu'en disant cela il se comporte comme un petit enfant qui ne voudrai pas apprendre à parler la langue des adultes qui l'entourent et qui continuerai à crier des sons et pleurer sans jamais chercher à acquérir le langage.
Pour moi, c'est une belle illustration du concept: "C’est notre interlocuteur qui donne son sens aux messages que nous émettons."
oui mais que se passes t-il s'il n'y as pas de messages ... simplement une vérité , une solution a trouver.... personnellement a l'intérieur de soi même?
il est donc pas nécessaire de jouer le jeu de, rentrer dans son monde... mais plutôt de guider ,de partager l'outil pour accéder a cette vérité toute personnelle..... sans interférence morale, religieuse.... ce qui évite la dépendance crée automatiquement... si vous vous placer dans la position de l'écoute... pour par la suite suggérer des solutions!
un homme vous sauve la vie, en échange de votre
engagement de faire tout ce qu'il vous demande... pour votre bien.
heureusement qu'il y a les 3 derniers mots sinon ce serait du chantage ! mais cette phrase entraîne un engagement à vie d'une personne qui n'est pas bien. Quand cette personne sera t-elle libérée de ce boulet qui oeuvre pour son bien tout en étant un lourd fardeau à porter :?: :idea: :idea: :idea: