xorguina à dit:
J'ai lu aussi.....et en plus un truc intime qu'elle précise toute !! plus une pst en prime :? et le mec relaché......2h de chez moi bordeaux !! super les pyrénées atlantiques :? et après chacune une séance de théapie brève? d'hypnose? ça peut être quoi a votre avis ? dufait qu'elle soit complètement relachée ,relaxée qu'il en profite pour les manipuler? comme l'hypno de spectacle ou on peut faire faire la poule a une personne ?
Ben c'est la vulnérabilité et le transfert quoi... Et disons que les inhibitions de la femme peuvent être réduites à une nature peut-être plus "vraie" en ce qui concerne la sexualité et les désirs spontanés.
Je vous donne un exemple. Et je répète juste ce que moi j'ai appris avec les plus grands de l'hypnose. Prenons l'hypnose de spectacle. On dit que y'a pas de risque parce que dans le fond la personne "conscent" à faire "la poule" devant les spectateurs. Mais on ne pourra pas lui faire faire un strip tease si elle n'a pas un bon fond d'exhibitionniste. Mais de toute façon, on ne fera pas cela devant le public...
Ok je comprends là.....
Mais si on prend celle qui a ce "fond" d'exhibitionniste? Et on la mets dans un cabinet seule avec l'hypno? Alors ce qu'on dit c'est que cette personne acquiéscera à la demande de l'hypno de faire le strip tease. Mais c'est un consentement! Ce n'est pas moi qui le dit mais les maîtres de l'hypnose. C'est juste qu'on l'a aidé à se délester de ses inhibitions. Mais, tous les hypnos le disent, la personne est totalement consciente de ce qu'elle fait.
Alors c'est pour cela que je me vois forcé de conclure au consentement.
ok, elle reste donc consentente mais dupée non?
MAIS! Ce consentement n'est pas valable, pas à cause de l'hypnose et encore moins l'éricksonnienne, mais à cause de la relation de confiance thérapeutique qui doit avoir lieu entre les deux parties. À cause que la personne qui va consulter se place en position de vulnérabilité face au psy et qu'elle est sujette à un transfert intense. Le problème ce n'est pas l'hypnose et le délit n'est pas le viol.... Le problème c'est la "violation" de la relation thérapeutique et l'abus grossier du pouvoir que confère la position de thérapeute sur le client ou patient.