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[QUOTE="Ivan Schmitt, post: 56919, member: 20208"] Et puis tiens, je ne résiste pas à l'envie de partager avec vous un petit texte que je j'avais rédigé pour introduire un débat consacré à aux sciences humaines et politiques [color=#0000FF][size=5]Obscurantisme[/size] [align=justify]L’histoire de la psychiatrie et donc, plus généralement, celle de la médecine, de la philosophie et de la psychothérapie, est constellée de nombreux soubresauts. De brillants chercheurs découvraient parfois un brin de vérité ; ce faisant, ils formulaient parfois deux milles ans avant notre ère des idées qui, aujourd’hui, sont unanimement acceptées tant elles tiennent presque du bon sens. Galien, dans le domaine de la médecine à l’époque gréco romaine pratiquait déjà des trépanations afin d’intervenir chirurgicalement sur des tumeurs du cerveau. Les outils qu’il utilisait, à s’y méprendre, ressemblaient mêmes à ceux de nos chirurgiens modernes ! Une pratique qui, avec d’autres en psychologie, eu son temps de gloire, parfois juste pour une centaine d’année, avant qu’on en reviennent à la pseudo lumière des Anciens (avec un grand « A ») : « la philosophie est dangereuse, revenons-en à Dieu ! » (Et n’en parlons plus !) Et puis, c’était reparti, pour un siècle ou deux d’obscurantisme, avant de redécouvrir ce qu’on aurait du savoir depuis longtemps. C’est terrible. J’ai grandi dans un milieu rural ou la psychologie n’était qu’un mot. Le développement personnel n’avait pas plus de signification et la science faisait mieux peur qu’elle ne rassurait. « Pas d’élucubration ; soyons concret » me disait-on ! Bien. Concret, pragmatique, pratique : je le suis devenu et d’ailleurs, je n’avais guère d’autre choix. Comment faire pour reconnaître la vérité ? Qu’est-ce que la justice ? Mes amis, pour être pratique et concret, allons donc un peu plus au fond des choses. Comment ? Cela ne vous intéresse pas ? Mais comment faites-vous alors pour savoir que vous avez mieux raison que moi, si le sujet de la vérité ne retient pas votre attention ? Qu’est-ce qui vous permet d’en juger, si vous ne cherchez pas à être juste ? Comment faites-vous pour continuer de clamer toutes vos affirmations alors que vous ne cherchez pas à savoir quels sont leurs degrés de fondement ? J’ai beau me montrer bon psy, ouvert, communicatif, et, au besoin, tenter de contourner les résistances ; j’ai beau essayer de distinguer la personne qui exprime, à voix basse, une opinion – c'est-à-dire un ensemble d’idées structurées et cohérentes – de celle qui hurle son avis, superficiel et finalement entaché de méconnaissances : j’ai toujours des difficultés à accepter l’obscurantisme ! C’est plus fort que moi ! Je ne comprends pas qu’on puisse clamer des erreurs et refuser dans le même temps d’en discuter. Je ne comprends pas qu’on puisse s’accrocher avec une telle obstination à ses propres pensés comme s’ils s’agissaient de bouées de sauvetages évitant le naufrage de l’égo tout entier ! Je ne comprends pas, enfin, qu’on puisse si peu se préoccuper d’entraîner avec soi, dans l’erreur, jusqu’à ses amis de confiance, et en particulier ses propres enfants ! Bon sang, ça vous intéresse la vérité ? Ou pas ? Et la justice, est-ce que c’est une valeur que nous partageons, ou non ? Alors il serait décidemment temps de s’en faire une opinion ! Parce que, parler de science, réfléchir, c’est essayer de se rapprocher d’une vérité, quand bien même on ne la trouvera jamais. Comprendre les hommes, ce qui les rapproches ou les éloignes les uns des autres, tout cela implique, nécessairement, à un moment ou un autre, de se poser la question de la justice ! On ne peut pas dire - quand bien même certains spécialistes prétendent encore le contraire - « exprime ton agressivité, ça te soulagera ! » parce que c’est profondément injuste ! On ne peut pas, comme d’autres le font, imaginer que : « si je le ressens, c’est que j’ai raison ! Si ça vient de moi, de ma subjectivité profonde, c’est que ça a de la valeur… » parce que les émotions, les « idées profondes ou mystiques », et plus spécialement encore, la subjectivité, est autant source d’erreur que les pensées raisonnables et rationnelles. Et je ne peux pas renier l’amour que je porte pour la recherche de la vérité et pour la recherche de la justice car autrement, j’aurais vraiment l’impression, de prêcher l’obscurantisme. Et, parfois, je crois que j’ai juste peur de comprendre. [i]« Si l’on doit prendre soin de ne jamais omettre ni négliger aucune hypothèse, en dernière analyse, une théorie, une pensée, une idée n’a que peu d’intérêt tant qu’elle n’a pas trouvé une valeur prédictive, expérimentale ou utile : c’est ce qui distingue la science de l’obscurantisme ». [/i][/color] [/QUOTE]
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