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[QUOTE="Eluno, post: 11559, member: 8599"] Je comprend très bien ce que vous dites, et je suis parfaitement daccord. Comme l'a rectifié Castorix, j'employais ce mot comme simplification. Je disais plus précisément que lorsque l'on est enfant, on est très proche de son inconscient. Et au fur et à mesure de notre croissance, on l'etouffe, et les règles de la médecine cataloguent systématiquement comme fou quelqu'un qui est proche de son inconscient à l'âge adulte. Petite expérience : J'ai 40 ans et je cours partout en criant "babebibabebaba" Vous allez penser que je suis fou? Et Pourquoi? pourquoi ne serait-ce pas vous le fou? Parce qu'un adulte normal doit avoir les deux pieds ancrés dans la réalité, et c'est comme ça! Mais qui a décrété ça? Si je suis fou et heureux, alors laissez moi dans mon bonheur et ma folie! Nous recherchons tous le bonheur pendant toute une vie, ne me l'enlevez pas alors que je l'ai trouvé! Le jour où je deviendrais fou, c'est probablement quand vous me le signalerez. Là encore une autre expérience de pensée : Un homme ouvre habituellement sa porte en l'ouvrant, la fermant, et la réouvrant, et il ne se pose pas du tout la question de savoir si c'est normal. Ce comportement est fortement ancré en lui. Demain, je débarque, moi psychothérapeute que je (ne) suis (pas) et lui dis "ah mais c'est un TOC ce que tu as là! c'est une pathologie comportementale qu'ont ceux qui sont un peu dérangés d'habitude." Que suis-je en train de faire? Je lui signale que ce qu'il fait est indépendant de sa volonté propre, et qu'il y a une partie de lui qui le contrôle. Je le dissocie donc, et par la même occasion, je crée un conflit avec cette partie créée! Je suis très efficace! Deux problèmes d'un coup! Comme je l'ai toujours pensé, et ai été heureux de le voir écrit par un thérapeute dans son ouvrage, un homme qui n'a que ce dont il a besoin pour vivre, des amis, une famille, etc. commencera à souffrir quand il verra qu'il existe d'autres choses à l'extérieur de son monde. Parlez de droits de l'homme à un esclave (même très bien traité!), et vous êtes sûr de le frustrer. Et ces histoires de phases, pourquoi devrait-on forcément les traverser? Freud a OBSERVE un comportement fortement récurrent, mais pourquoi devrait-on considérer que quelqu'un qui ne les traverse pas sera forcément névrosé? Vous savez, la physique déterministe en a pris un sacré coup le jour où l'on a découvert la physique quantique. Et, qui plus est, Einstein le père de cette dernière à qui il a donné naissance sans le vouloir, a toujours nié sa validité. Une vérité est vraie tant qu'on n'en a pas formulé une plus générale, qui sera amenée elle-même à être dépassée un jour. Je pense que c'est simplement ma manière de m'exprimer, pas très claire, je le conçois, qui jette un peu de confusion dans mes messages. Mes paroles ne sont pas mes intentions. [/QUOTE]
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