
jumb
Membre
- messages
- 2 324
- Points
- 6 260
- Localisation
- Vosges
Ce constat est représentatif du monde dans lequel on vie, deux positions radicalement opposées et pourtant chacun y trouve son bonheur... l'essentiel n'est-il pas là ?Si certains ont souffert de l'isolement pendant les différents confinements en se sentant privés ou frustrés du peu de relations sociales, pour d'autres en revanche l'isolement était un sorte de cocon protecteur pour vivre dans sa bulle et faire ce qu'ils avaient envie.
Peut-être mais pour quel résultat en vrai ?les scéances de psychologie sont remboursées, c’est qu’il y a un besoin et une demande
Par retour de témoignage de plusieurs jeunes, au début dans sa bulle, deux ou trois mois, ça va bien, puis à un moment ça se dégrade. Et le bonheur commence à devenir bof bof voire pire.Ce constat est représentatif du monde dans lequel on vie, deux positions radicalement opposées et pourtant chacun y trouve son bonheur... l'essentiel n'est-il pas là ?
En te donnant un exemple de mon ancien travail, beaucoup de jeunes demandaient à faire des métiers solitaires. Il y en a bien sûr, mais c est excessivement rare car il y a presque toujours des interactions avec d autres, rien que pour l embauche pour un salarié, les clients quand on est à son compte. Ne pas être à l aise avec les autres, avoir peur ou rester terré chez soi, limite les possibilités dans sa vie. Être un minimum à l aise est plutôt souhaitable et ensuite pouvoir choisir (et non éviter par peur) de voir ou non du monde.Pourquoi penser qu'il faut absolument être dans une dynamique de sociabilisation pour être normal comme pourrait penser un psy p
Une fois que l origine est créée, elle est là, on ne peut plus rien y changer. On agit dans le présent, qu est ce qu on fait maintenant ? On peut réfléchir sur le futur, éviter que ça se reproduise... Mais pour ceux qui ont des conséquences C est dans l immediatNormalement on sait tous que c'est sur l'origine qu'il faut tendre à travailler par sur la conséquence, on est après la bataille là...
J ai heureusement eu aucun retour dans ce sens, situé dans un environnement où il y a pas mal d espace, même sur les logements hlm. C est sur que pour les violences conjugua les ou familiales, C est le plus hard. Vite l enfer.je pense que ceux pour qui ça du être très dur , c'est ceux qui étaient régulièrement battu . La violence familiale a souvent tendance à s'accentuer vers 15 ans , et les ados ou préados dans cette situation essaient souvent de s'éloigner du milieu familial . Le confinement rendait impossible cet éloignement.
au début dans sa bulle, deux ou trois mois, ça va bien, puis à un moment ça se dégrade
Ce sont des croyances bien ancrées, et un critère principal dans l'accompagnement habituel. De la même façon, il convient de faire un distinguo sur les différents types d’interactions sociales, car effectivement il y en a toujours un minimum (professionnel, familiale, amicale). Une personne ne voulant pas retourner au boulot peut très bien combler son besoin autrement. Magasin, boulanger, rando, salle de sport, pêche, chasse, échanges dans la rue, café, resto, etc. Je pense que tout ceci est bien trop complexe pour le réduire à ces croyances... De la même façon, je fais le distinguo avec la vrai phobie sociale quand même assez rare...Si on n à pas de compétences sociales, la vie est souvent plus compliquée, si tu n as pas de réseau, c est vite galère.
Peut être qu on ne parle pas de la même chose ou des mêmes catégories de personnes. Je parle plus de personnes restant dans leur chambre ou appart à 95%. Relations familiales donc et cela en reste là... Pas de rando, pas de sortie, pas d école, pas de taf, pas d argent et parfois une paire de chaussures pour 3. Et comment voir du monde quand tu n as rien, sortir de ton milieu, et que ce sera la risée... En ce sens, il y en a qui font par exemple un footing à 4h du mat pour croiser personne... Et avec le confinement, en 1 sens, c était une protection. Et difficile de ressortir et beaucoup de peurs...Magasin, boulanger, rando, salle de sport, pêche, chasse, échanges dans la rue, café, resto, etc. Je pense que tout ceci est bien trop complexe pour le réduire à ces croyances... De la même façon, je fais le distinguo avec la vrai phobie sociale quand même assez rare...
C'est en effet un frein énorme aux relations sociales. Il est possible de se promener dans la rue sans un sous en poche ....à la condition d'avoir une paire de chaussure , évidemment , mais , c'est s'exposer à rencontrer quelqu'un qui te proposera d'aller prendre un verre, c'est s'exposer à devoir "avouer " que tu n'as pas un sous en poche pour partager ce verre.....pas d argent
Je ne parle pas de ces personnes en effet... Il faut aller les voir...Je parle plus de personnes restant dans leur chambre ou appart à 95%.
Covid + guerre + x = ???, Jamais 2 sans 3 c'est quoi la suite ?C'est en effet un frein énorme aux relations sociales.
D'accord mais le problème est que le monde associatif est sous représentatif et très peu puissant...Le monde associatif accueille…
12 millions de bénévoles, 1 500 000 emplois... surtout dans l'aide sociale et le sport (et diverses manifestations) En ayant presque toujours travaillé pour des associations, ou été bénévole, je n'ai pas forcément ce sentiment. Ce qui est compliqué c'est d'avoir des financements sur ce qui n'est pas "jugé comme productif", mais ça se fait ! Beaucoup de bonnes volontés dans ces domaines, et beaucoup d'associations apportent de la joie dans l'amélioration du quotidien de beaucoup de personnes.D'accord mais le problème est que le monde associatif est sous représentatif et très peu puissant...
Tout dépend ce que tu appelles peu... Si tu comptes ceux qui qui utilisent, bénéficient, c est enorme...sur 68 million d'habitants c'est peu 17% environ... c'est peu c'est vrai c'est tout