Roudil-Paolucci nathalie
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La dépression n’est pas internationale alors que la plasticité du cerveau est universelle !
Pourquoi décide-t-on inconsciemment de maintenir le mal être alors que nous pourrions décider tout aussi inconsciemment de changer et d’opter pour la sérénité, le bien être, le libre arbitre, les nouveaux apprentissages… ?
:twisted: Serions-nous conditionnés à la dépression, à la dépendance, à la certitude que certains traumatismes sont évidents, à des croyances limitantes, à des lois sociales aliénantes… ? :twisted:
La dépression n’est pas planétaire et elle n’existe pas dans de nombreuses cultures où les lois de la nature prédominent.
Allons consulter l’ouvrage de Catherine Lutz, ethnologue chez les Ifaluk. Quand l'ethnopsychologue se rend compte que chaque concept entraîne une attitude. Le mot entraîne le maux pourrait dire Boris Cyrulnik
Allons faire un tour, chez les Trobriands où les pères sont fiers quand leurs très jeunes progénitures s’engagent librement dans la sexualité.
Rappelez-vous, comment certains de vos parents considéraient avec mépris les parties génitales. Souvenez-vous ou écoutez encore combien il est immoral, immonde, impur, obscène de faire l’amour avec l’homme, la femme que l’on désire hors contexte culturels, ou encore de parler de sexualité quand on est dans l’univers judéo-chrétien.
Les certitudes d’interdits sociaux et traumatismes correspondants sont tellement différents d’un côté et d’un autre de l’espace-temps de notre planète.
Ecoutez et lisez les grandes théories sur la dépression, sur les traumatismes et leurs causes. N’y aurait-il pas là des considérations impropres, théories subjectives et non objectives, inhibantes pour la nature humaine ? :twisted: :?:
Quand les neurobiologistes prouvent, actuellement, que la plasticité du cerveau est incontestable ; quand l’étude des différentes cultures attestent que selon les lieux et les temps, les croyances, les comportements, les certitudes, les maladies, la psychologie…sont divergentes, opposés, antithétiques, contradictoires : ne doit pas, maintenant, travailler plutôt sur le dépassement de nous-mêmes que sur les aberrations sociaux-culturelles ?
Je crie haro sur les croyances localisées et j’encense, je magnifie la nature humaine, son potentiel et sa créativité infinie.
Je suis persuadée que l'être humain ne sait pas toujours, qu'il est suffisamment fort pour changer et que dans son for inconscient tout est déjà possible. Seule condition peut-être : se défaire un instant, le temps du changement, des croyances culturelles, faire table rase un moment, vider et laisser le corps et l'esprit se métamorphoser.
Lors d'une séance d'hypnose, d'un moment surprenant, ou encore lors du sommeil, ou bien lors des phases de creux du biorythme...quelque chose dans la l'electro-biochime de notre cerveau peut se passer et défaire ou engendrer des expressions de l'être, encore inédites jusqu'à là. :idea: :!: :idea:
Nathalie Roudil
Pourquoi décide-t-on inconsciemment de maintenir le mal être alors que nous pourrions décider tout aussi inconsciemment de changer et d’opter pour la sérénité, le bien être, le libre arbitre, les nouveaux apprentissages… ?
:twisted: Serions-nous conditionnés à la dépression, à la dépendance, à la certitude que certains traumatismes sont évidents, à des croyances limitantes, à des lois sociales aliénantes… ? :twisted:
La dépression n’est pas planétaire et elle n’existe pas dans de nombreuses cultures où les lois de la nature prédominent.
Allons consulter l’ouvrage de Catherine Lutz, ethnologue chez les Ifaluk. Quand l'ethnopsychologue se rend compte que chaque concept entraîne une attitude. Le mot entraîne le maux pourrait dire Boris Cyrulnik
Allons faire un tour, chez les Trobriands où les pères sont fiers quand leurs très jeunes progénitures s’engagent librement dans la sexualité.
Rappelez-vous, comment certains de vos parents considéraient avec mépris les parties génitales. Souvenez-vous ou écoutez encore combien il est immoral, immonde, impur, obscène de faire l’amour avec l’homme, la femme que l’on désire hors contexte culturels, ou encore de parler de sexualité quand on est dans l’univers judéo-chrétien.
Les certitudes d’interdits sociaux et traumatismes correspondants sont tellement différents d’un côté et d’un autre de l’espace-temps de notre planète.
Ecoutez et lisez les grandes théories sur la dépression, sur les traumatismes et leurs causes. N’y aurait-il pas là des considérations impropres, théories subjectives et non objectives, inhibantes pour la nature humaine ? :twisted: :?:
Quand les neurobiologistes prouvent, actuellement, que la plasticité du cerveau est incontestable ; quand l’étude des différentes cultures attestent que selon les lieux et les temps, les croyances, les comportements, les certitudes, les maladies, la psychologie…sont divergentes, opposés, antithétiques, contradictoires : ne doit pas, maintenant, travailler plutôt sur le dépassement de nous-mêmes que sur les aberrations sociaux-culturelles ?
Je crie haro sur les croyances localisées et j’encense, je magnifie la nature humaine, son potentiel et sa créativité infinie.
Je suis persuadée que l'être humain ne sait pas toujours, qu'il est suffisamment fort pour changer et que dans son for inconscient tout est déjà possible. Seule condition peut-être : se défaire un instant, le temps du changement, des croyances culturelles, faire table rase un moment, vider et laisser le corps et l'esprit se métamorphoser.
Lors d'une séance d'hypnose, d'un moment surprenant, ou encore lors du sommeil, ou bien lors des phases de creux du biorythme...quelque chose dans la l'electro-biochime de notre cerveau peut se passer et défaire ou engendrer des expressions de l'être, encore inédites jusqu'à là. :idea: :!: :idea:
Nathalie Roudil