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[QUOTE="castorix, post: 19081, member: 109"] [color=#000080]Je prétends que c'est par un phénomène de recadrage qui se réalise à cette occasion, et non pas du fait de la prise de conscience en tant que telle.[/color] [color=#000080]Je pense également que ce n'est pas la catharsis qui est salvatrice (attention c'est peut-être un petit problème de définition à résoudre entre nous, mais c'est essentiel alors, sinon nous ne nous faisons pas comprendre !). Je fonde cette hypothèse sur de nombreux travaux qui ne sont pas seulement les miens. S'il n'est pas contestable qu'un certain nombre de personnes a vécu le déclic d'amélioration à l'occasion d'une séance de reviviscence de l'expérience traumatique, je prétends avec force que ce qui "guérit" n'est pas simplement le fait de revivre ça intérieurement, mais quelque chose de très important qui s'y associe simultanément - et réalise ainsi une sorte de recomposition des composantes émotionnelles associées à la "scène initiale". J'en veux pour preuve (1°) qu'il existe un certain nombre de méthodes pour réaliser la manoeuvre réalisant le déclic, et que certaines procèdent par une telle manipulation et trituration des composantes du souvenir, sans aucune abréaction affective ni expression émotionnelle impressionnante, que l'on peut affirmer qu'il ne s'agit vraiment plus de revivre le truc à la manière d'une catharsis. Un autre argument (2°) que j'avance, est illustré ci-dessous : Un sujet raconte un jour à (une amie, ou bien à son thérapeute,...) cette chose qui lui est arrivée. C'est vraiment un truc terrible et qui n'avait jamais été raconté. Eh bien on rencontrera ensuite les constats suivants selon les cas : a) le S est très notablement et durablement soulagé d'avoir raconté cela, manifestement son récit a été suivi du déclic b) le S y repense fortement dans les 3 jours qui suivent son récit, son angoisse est réactivée ++ par le fait d'y avoir repensé si nettement, ensuite ça redevient comme avant c) le S va, dans les 3 ans qui suivent, rencontrer douze médecins psychologues ou thérapeutes divers et il leur racontera à chacun son récit, sans trouver dans ces répétitions devenant stéréotypées le moindre soulagement. Voici donc ma conclusion : dans le cas a) il s'est produit un recadrage (une question de croyance prioritaire qui a perdu de sa domination sur d'autres dont la personne est porteuse) ; ou bien un désamorçage émotionnel a été réalisé par collision entre les affects corporels négatifs de la cible et les affects provenant d'une perception très intime de l'empathie très sensible du thérapeute (sorte de recadrage psycho-corporel : voir l'hypnose de Rossi). Da,s les cas b) et c), il n'y a pas eu de démarche thérapeutique structurée, le thérapeute (éventuellement ; ou l'ami...) n'a fait qu'offrir une occasion de raconter la chose affreuse, parfois avec une abréaction, mais sans qu'un processus salvateur soit coïcidant avec le récit, la crise de larmes. Ce n'est pas du bon boulot. [/color] [color=#000080]Si, ça ressemble à : "parlez de ce qui vous est arrivé, cela vous fera du bien" (si c'est dit sans structuration adaptée du travail qui se réalise ensuite) et aussi à : "il serait utile que vous reviviez ce traumatisme, de la manière la plus proche possible de ce que vous aviez ressenti alors" (autre suggestion que l'on entend - et ne venez pas me dire que c'est totalement différent pour un viol d'une agression physique, d'un harcèlement professionnel, d'une humiliation publique etc., car il y a beaucoup de traumatismes pour lesquels il n'est pas possible de deviner avant le coeur de la séance ce qui a vraiment marqué la personne). [/color] [color=#000080]Voilà, relisez-moi, il y a des pistes.[/color] [color=#000080]C'est lors de l'exploration de la plainte, des attentes et des objectifs, que se recueillent les éléments indispensables à un choix de stratégie dans la thérapie. Et dès que qqe chose semble ne vraiment pas donner les résultats espérés, changer !![/color] [/QUOTE]
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