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[QUOTE="Prudence, post: 71199, member: 20929"] [align=justify] Je crois justement que c'est le cœur du problème. Il m'évoque d'ailleurs un parallèle. J'étais dans l'avion et les consignes de sécurité tant de fois entendues sont redonnées et là je m'arrête et j'ai bien dû passer l'heure suivantes dans des réflexions à partir de ce point "Mettez d'abord votre masque et ensuite seulement vérifier et aidez les personnes autour de vous" (ce n'est pas la phrase exacte). Dans le cas d'un enfant et de son parent, le parent doit d'abord mettre son masque, ensuite seulement celui de son enfant. S'il y a urgence il faut que le responsable, que celui qui peut aider soit celui qui soit protégé d'un malaise en premier. Admettons théoriquement que: l'enfant ne peut pas mettre son masque seul, que celui qui n'a pas de masque au bout du temps nécessaire pour mettre un masque tombe dans les pommes et qu'une long durée sans masque soit grave: si le parent commence par l'enfant, l'enfant survit et perd son parent inutilement, si le parent commence par lui, l'enfant se fait un petit tour dans les pommes mais est sauvé ainsi que son parent. Et je me suis dit que souvent dans la vie c'était pareil: si on ne s'est pas d'abord occupé de nous les prestations que l'on offre son de mauvaise qualité, si on veut toujours donner sans se protéger c'est le burn-out, ou le "couillonnage" assuré etc. J'ai parlé avec de nombreuses personnes du "trop bon trop con" et à des pigeons et ils souffraient et se faisaient prendre encore et encore plus et les gens exigeaient d'eux des choses. j'essayais parfois de leur faire comprendre que, pour moi, je voulais bien donner mais qu'il était hors de question qu'on m'impose un don ou que l'amour ne s'obtenait pas de cette manière etc. Je me suis même brouillée avec des gens parce que dans ma conception des cadeaux on donne pour l'autre, pas pour soi (sinon ce n'est pas un cadeau) et que je ne trouve pas ça normal que si les gens refusent le cadeau "l'offreur" se vexe et leur reproche un "manque de respect". Je pense que les mécanismes de transfert sont aussi au cœur de cela. Il s'agit de faire la part des choses entre ce qui nous appartient et ce qui appartient à l'autre. Fusionner ainsi avec les autres s'est se perdre. On peut être profondément bon en se faisant passer en priorité. Une sorte de "charité bien ordonnée commence par soi même". Si tu donnes toutes tes graines tu ne pourras pas ensemencer ton champs et récolter à nouveau des graines? Derrière les proches il reste toi même. Dommage que tu assimiles cela à un " vide intersidéral". Après ça ça dépend aussi de l'âge on ne peut pas voir les choses de la même manière à 16 ans et à 30 ans. Et il y a des choses normales à un âge qui deviennent handicapantes à un autre. [align=justify]Bon tu te doutes bien que je ne partage pas du tout cette vision des choses mais je ne tenterai aucune approche sur ce sujet. Juste une "blague" qui m'a beaucoup plu: "Un homme décède et Saint-Pierre l'accueil, il décide de lui montrer l'enfer et le paradis. Première porte: Des hommes et des femmes autour d'une table attachés aux bras avec des cuillères avec un très long manche, ils ne peuvent pas s'alimenter, sont maigres, tristes et souffrent. Deuxième porte: Des hommes et des femmes autour d'une table attachés aux bras avec des cuillères avec un très long manche, mais ces personnes sont bien portantes, heureuses, elles rient. L'homme demande à St Pierre la différence et St Pierre lui répond qu'au paradis ils se nourrissent les uns les autres avec leurs cuillères à long manche." [/QUOTE]
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