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TOVA
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y a t il parmi vous des personnes ayant eu une première experience d hypnose très perturbante
Lemaléduqué à dit:Je note : la hauteur effraie. Problème de vestige(s) ? Embarras à voir plus loin que le bout de son nez ? Crainte de ne pas être à la hauteur ?... ???... s'enf(o)uir ? Pas certain, en effet, que ce(tte) retrait(e) soit salubre. Sur ces considérations maléduquées, j'entame ma descente dans l'obscurité, l'humidité et l'unité. Sympa cette digression.
TOVA à dit:remonter vers l'air pur, vers des altitudes qui donnent le vertige encore et encore...
Et d'ailleurs pourquoi la pureté serait-elle forcément en altitude,(si ce n'est à cause d'une localisation quasi religieuse), et pourquoi elle ne serait pas plutot protégée, enfouie au fond de toute nos cavernes. Cela me semble plus rassurant et plus accessible
Qu'est-ce qui cloche ?TOVA à dit:essayons pour une fois de communiquer avec nos pauvres mots. Meme s'il sont très simples, ils ont l' énorme avantage de nous appartenir.
TOVA à dit:rien ne cloche, c'est juste que par moment j'ai le sentiment d'un drole de manque d'authenticité. Il faut toujours aller plus haut, toujours plus d'introspections, et plus et plus... Ne pourrait on pas juste apprécier nos difficultés, se vautrer dans notre médiocrité, ne pas trop réfléchir, se laisser aller sans autre objectif que celui de retourner dans le terrier...
TOVA à dit:xorguina: allez, il est 9heures , il faut maintenant ranger les mots et filer au dodo...
Il y a bien des manières de répondre à ses crises légitimes de manque d'authenticité. Et se vautrer, se laisser aller dans sa merdouille avec vertige en est une. Après tout, la boue est connue pour ses vertus "thérapeutiques", alors....TOVA à dit:rien ne cloche, c'est juste que par moment j'ai le sentiment d'un drole de manque d'authenticité. Il faut toujours aller plus haut, toujours plus d'introspections, et plus et plus... Ne pourrait on pas juste apprécier nos difficultés, se vautrer dans notre médiocrité, ne pas trop réfléchir, se laisser aller sans autre objectif que celui de retourner dans le terrier...
"Tova", soyez vous ! Le convenable empêche l'audacieux ! Choisir de s'abandonner dans sa mouscaille, pourquoi pas ! Mais alors, autant le faire avec panache... en s'y vautrant follement. Au diable, les convenances !TOVA à dit:se vautrer: j'en conviens le mot est un peu excessif , peut etre que "accepter" est plus convenable...
En bon maléduqué, j'écris : après vous !TOVA à dit:et pour vous qui aimez à citer B Vian, que pensez vous de ces quelques mots" le plus clair de mon temps , je le passe à l'obscurcir, parce que la lumière me gène" B. Vian
Je ne crois pas que vous vous trompiez. Emmitonner ses maux permet manifestement de mieux supporter l'exploration. Et vous n'êtes pas la seule à l'avoir ressenti. Notre ami Boris l'avait aussi éprouvé.TOVA à dit:convenable: Il y a un plaisir quasi absolu à choisir un mot plutot qu' un autre. C'est comme un jeu de piste musical, et puis cela donne le temps de penser à ce que l'on essaye de dire avec nos "pauvres mots" Et je ne crois pas que c'est un frein ni à etre nous meme ni à l'audace.
mais je me trompe peut etre...
et quand le dernier plat est quelque peu indigeste, il y a de sérieux renvois , qui laissent un arrière gout désagréable: on appelle cela l'inconscient culinaire!xorguina à dit:Ben la vie c'est aussi comme la cuisine quelque part ...
On fait des expriences parfois un peu perturbantes et qui laissent un drôle de gout pour un temps
Quand je cuisine, il en ressort un plat ou plusieurs .
Mes plats peuvent être sucrés, doux, miel/eux...
Mes plats peuvent être parfois même amer...
Ils peuvent aussi manqué de sel...de la vie
Et aussi être très pimenté
C'est ça les expériences...certaines peuvent nous laisser un gout d'amertume, d'autres nous pimenter la vie et d'autres nous la rendre plus douce, plus agréable...
Il suffit d'avoir l'envie de changer de gout si ça ne te conviens pas