
Lemaléduqué
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- Où la Souffrance me défie !
Je viens de recevoir ce mail que je me permets de vous soumettre… J’espère qu’il suscitera quelques débats. J’espère vivement…
« Le journal REEL communique :
Profession « psychothérapeute » : 2 nouveaux amendements Accoyer. Sous l’impulsion de Monsieur le député Accoyer, deux nouveaux amendements viennent d’être votés par l’Assemblée nationale et changent la donne de l’article 52 de la Loi du 9 août 2004 sur l'usage du titre de psychothérapeute.
- Un amendement confie la formation complète de psychothérapeute exclusivement à l’Université.
- Le second prévoit la mise en place de Commissions régionales, constituées pour moitié de médecins et pour moitié de psychologues, pour évaluer le travail des psychothérapeutes en fonction.
Cela, évidemment, ne correspond pas du tout à l’espérance de la profession.
Nous vous tiendrons informés de la suite. »
Voilà des années qu’une bande de neuneu (de diplômés institutionnels bien au chaud bien évidemment) fait pression pour réglementer la profession de « psychothérapeute ». Réglementation sensée éviter certaines dérives. Foutaise ! En fait, le Pouvoir et son armée de diplômés du psychique cherchent à éliminer une certaine catégorie de thérapeutes : ceux qui ont choisi de se former à très bon escient en dehors du système traditionnel périmé. Mais voilà en France, on vénère l’Université, le Diplôme et les Grandes études… Ceux qui ne sont pas passés par cette prodigieuse usine à diplômes sont considérés comme des bons à rien… des parias. Et pourtant… les faits sont là. De plus en plus de personnes en souffrance consultent des thérapeutes qui ne sont pas passés par le système classique. Et c’est ce succès qui gêne et dérange les diplômés aigris… qui ont bousillé une grande partie de leur vie à ingurgiter un savoir théorique inutilisable sur le terrain. Bref, la pression se fait de plus en plus forte parce que ces forcenés des études voient leur clientèle leur échapper et leur prestige socio-professionnel s’envoler. Au lieu de se remettre en cause et par là même remettre en cause le cursus professionnel inopérant, ces derniers préfèrent attaquer vilement. Franchement ridicule ! Les amendements ne m’empêcheront pas de continuer à exercer ma profession de « psychothérapeute »… n’en déplaisent aux institutionnels et à leurs toutous. Je n’ai pas fait d’études de psycho et en suis plutôt fier. Cela me permet, en effet, de ne pas rester bloqué sur « un cas » faute de ne pas trouver la solution dans mes cours théoriques. Par ailleurs -et j’ai envie de dire comme par un heureux concours de circonstances- ce sont des médecins et des psychologues (donc des diplômés d’Etat « honorables ») qui auront ce grand pouvoir de décider qui mérite ou non le statut de psychothérapeute. Et de quel droit ? Qui peut encore dire que la France est un pays démocratique ? Uniquement ceux pour qui elle est généreuse… Triste France ! Que tous les « fonctionnaires du mental » aillent au diable et leurs amendements avec. Heureusement qu’il existe une Cour Européenne… heureusement pour tous ceux qui font bien leur thérapie « hors norme » !
« Le journal REEL communique :
Profession « psychothérapeute » : 2 nouveaux amendements Accoyer. Sous l’impulsion de Monsieur le député Accoyer, deux nouveaux amendements viennent d’être votés par l’Assemblée nationale et changent la donne de l’article 52 de la Loi du 9 août 2004 sur l'usage du titre de psychothérapeute.
- Un amendement confie la formation complète de psychothérapeute exclusivement à l’Université.
- Le second prévoit la mise en place de Commissions régionales, constituées pour moitié de médecins et pour moitié de psychologues, pour évaluer le travail des psychothérapeutes en fonction.
Cela, évidemment, ne correspond pas du tout à l’espérance de la profession.
Nous vous tiendrons informés de la suite. »
Voilà des années qu’une bande de neuneu (de diplômés institutionnels bien au chaud bien évidemment) fait pression pour réglementer la profession de « psychothérapeute ». Réglementation sensée éviter certaines dérives. Foutaise ! En fait, le Pouvoir et son armée de diplômés du psychique cherchent à éliminer une certaine catégorie de thérapeutes : ceux qui ont choisi de se former à très bon escient en dehors du système traditionnel périmé. Mais voilà en France, on vénère l’Université, le Diplôme et les Grandes études… Ceux qui ne sont pas passés par cette prodigieuse usine à diplômes sont considérés comme des bons à rien… des parias. Et pourtant… les faits sont là. De plus en plus de personnes en souffrance consultent des thérapeutes qui ne sont pas passés par le système classique. Et c’est ce succès qui gêne et dérange les diplômés aigris… qui ont bousillé une grande partie de leur vie à ingurgiter un savoir théorique inutilisable sur le terrain. Bref, la pression se fait de plus en plus forte parce que ces forcenés des études voient leur clientèle leur échapper et leur prestige socio-professionnel s’envoler. Au lieu de se remettre en cause et par là même remettre en cause le cursus professionnel inopérant, ces derniers préfèrent attaquer vilement. Franchement ridicule ! Les amendements ne m’empêcheront pas de continuer à exercer ma profession de « psychothérapeute »… n’en déplaisent aux institutionnels et à leurs toutous. Je n’ai pas fait d’études de psycho et en suis plutôt fier. Cela me permet, en effet, de ne pas rester bloqué sur « un cas » faute de ne pas trouver la solution dans mes cours théoriques. Par ailleurs -et j’ai envie de dire comme par un heureux concours de circonstances- ce sont des médecins et des psychologues (donc des diplômés d’Etat « honorables ») qui auront ce grand pouvoir de décider qui mérite ou non le statut de psychothérapeute. Et de quel droit ? Qui peut encore dire que la France est un pays démocratique ? Uniquement ceux pour qui elle est généreuse… Triste France ! Que tous les « fonctionnaires du mental » aillent au diable et leurs amendements avec. Heureusement qu’il existe une Cour Européenne… heureusement pour tous ceux qui font bien leur thérapie « hors norme » !