surderien
Toujours savoir trouver le plaisir de chercher…
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katia (zoulouk) à dit:Quand le plaisir devient une addiction
Un plaisir "obligé" est il encore un plaisir ou une dépendance ?
On ne peut donc être addict du plaisir puisqu'on l'élimine par l'addict lui même.
Quand la recherche du plaisir devient obsessionnelle (meilleur titre)
Leo Lavoie à dit:Le plaisir ressenti peut devenir une addiction simplement parce qu'il y a un vide à combler et dans la mesure ou l'on se gourre à croire que le plaisir en question peut combler ce vide
Ou encore quand le plaisir en question est assez intense et prenant pour faire oublier ce vide le temps de ressentir ce plaisir.
C'est un simple mécanisme d'automatisme par association.
Intemporelle à dit:Leo Lavoie à dit:Le plaisir ressenti peut devenir une addiction simplement parce qu'il y a un vide à combler et dans la mesure ou l'on se gourre à croire que le plaisir en question peut combler ce vide
Ou encore quand le plaisir en question est assez intense et prenant pour faire oublier ce vide le temps de ressentir ce plaisir.
C'est un simple mécanisme d'automatisme par association.
Intemporelle à dit:Leo Lavoie à dit:Le plaisir ressenti peut devenir une addiction simplement parce qu'il y a un vide à combler et dans la mesure ou l'on se gourre à croire que le plaisir en question peut combler ce vide
Ou encore quand le plaisir en question est assez intense et prenant pour faire oublier ce vide le temps de ressentir ce plaisir. C'est un simple mécanisme d'automatisme par association.
Dans chacune de ces trois phrases de Léo, je trouve une double compréhension possibleIntemporelle à dit:Leo Lavoie à dit:Le plaisir ressenti peut devenir une addiction simplement parce qu'il y a un vide à combler et dans la mesure ou l'on se gourre à croire que le plaisir en question peut combler ce vide
Ou encore quand le plaisir en question est assez intense et prenant pour faire oublier ce vide le temps de ressentir ce plaisir.
C'est un simple mécanisme d'automatisme par association.
Je partage cette idée...
Je crois, justement, qu'il n'y a pas de plaisir intérieur donné. Le plaisir intérieur est lié à ces subtils équilibres multiniveaux que j'ai décris à l'instant. Quand tout est harmonisé, alors on se sent bien. Quand ça l'est moins, on tente de compenser. Et ainsi de suite, et c'est cela, le bien être.katia (zoulouk) à dit:Pas très logique pour l'addict, de le considérer comme un processus pour tenter d'avoir du plaisir sans jamais y parvenir.
Ca décourage, non ?
Pourquoi persévérer pour pas y arriver ?
Exemple un geek fan de toutes les technologies nouvelles : un consommateur accroc de nouveaux portables, pc, de tous les gadgets.
Il en est content un laps de temps court. Après il faut racheter. Une nouvelle envie se crée, et il pense qu'il va être bien avec le nouvel achat. Il l'est. Mais pas longtemps.
Avec un peu de recul et reflexion, assez simple de s'en apercevoir. C'est une course au plaisir (qui vient de l'exterieur)
Comment le trouver de l'interieur, vu toutes les pubs qui nous font miroiter le bonheur après consommation de X ou Y truc, vacances ?
Pas étonnant que des personnes ne sachent plus que c'est un état d'être.
Se sentir bien sans raison est ce donné à tout le monde par le simple fait d'être vivant ?
Leo Lavoie à dit:Le plaisir ressenti peut devenir une addiction simplement parce qu'il y a un vide à combler et dans la mesure ou l'on se gourre à croire que le plaisir en question peut combler ce vide
Ou encore quand le plaisir en question est assez intense et prenant pour faire oublier ce vide le temps de ressentir ce plaisir.
C'est un simple mécanisme d'automatisme par association.
Ivan Schmitt à dit:Leo Lavoie à dit:Le plaisir ressenti peut devenir une addiction simplement parce qu'il y a un vide à combler et dans la mesure ou l'on se gourre à croire que le plaisir en question peut combler ce vide
Ou encore quand le plaisir en question est assez intense et prenant pour faire oublier ce vide le temps de ressentir ce plaisir.
C'est un simple mécanisme d'automatisme par association.
PS : pour rebondir sur la notion de vide de Léo, par rapport au trop plein de Katia... c'est tout simplement, à mon avis, le trop plein qui provoque le sentiment de vide.
Comme lorsqu'une personne rentre le soir de son travail, fatiguée. C'est un trop plein. Mais elle sentira qu'elle a besoin de s'évader pour se ressourcer : c'est un manque, un vide.
xorguina à dit:Quand je dis que le plaisir est une ramification du bonheur, je pense qu'à l'intérieur de mon être existe donc cette capacité a trouver ou retrouver ttes les ramifications qui m'aident à atteindre le bonheur d'être qui est l'amour de Soi .
Le plaisir de vivre r/est/e selon moi épisodique, il n'est pas le tronc principal .
Et c'est pour celà que le plaisir peut se transformer et devenir addiction.
jeangeneve à dit:et...
cette conférence c'était comment ?
surderien à dit:xorguina à dit:Quand je dis que le plaisir est une ramification du bonheur, je pense qu'à l'intérieur de mon être existe donc cette capacité a trouver ou retrouver ttes les ramifications qui m'aident à atteindre le bonheur d'être qui est l'amour de Soi .
Le plaisir de vivre r/est/e selon moi épisodique, il n'est pas le tronc principal .
Et c'est pour celà que le plaisir peut se transformer et devenir addiction.
et le bonheur aussi ?
:shock:
jeangeneve à dit:ou...
préparer un speetch pour voir qui est addict.
mais en bon pervers, je ferais sonner le portable du collègue qui y assiste pour lui demander d'éteindre son portable ...
surderien à dit:Dans chacune de ces trois phrases de Léo, je trouve une double compréhension possibleIntemporelle à dit:Leo Lavoie à dit:Le plaisir ressenti peut devenir une addiction simplement parce qu'il y a un vide à combler et dans la mesure ou l'on se gourre à croire que le plaisir en question peut combler ce vide
Ou encore quand le plaisir en question est assez intense et prenant pour faire oublier ce vide le temps de ressentir ce plaisir.
C'est un simple mécanisme d'automatisme par association.
Je partage cette idée...
c'est probablement ce qui fait qu' Intemporelle n'y trouve pas de polémiquec'est que chacun y comprend ce qui l'arrange
Surderien, vous deviendriez addict de mon avatar ?... :lol: C'est curieux ce besoin de me cataloguer comme "polémique", dès qu'on ne partage pas un point de vue, pour vous on rentre dans une polémique, hum... :roll: Et vous savez bien que je ne fais pas dans la complaisance juste pour plaire, j'affirme mes positions que vous soyez d'accord ou pas...
c'est la capacité de sortir de toute incompréhension par une stratégie de montrer cette capacité de double jeu, en jouant sur une double compréhension qui fait que la personne comprend forcément ce qui l'arrange, et qui permet à l'addicto-thérapeute d'accéder à une compréhension mutuelle
et çà, l'addict qui est dans le paradoxe, le comprend alors facilement de comment s'en sortir, de ce paradoxe
8)
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jeangeneve à dit:et si vous attendez une injonction thérapeutique pour y aller rien que pour vous faire plaisir.
pour...
honorer et boucler votre devoir thérapeutique ici même par un rapport circonstancié irrésistible sur l'effet de vos questions aphorisante ?
ce serais comme donner du grain a moudre de façon intemporelle .
de dieu si je manipule là !
vous avez la main verte, si il y à du grain là bas, semer, laisser pousser.