Vidéo
MP3
Livre & Script
Hypno-Challenge
Espace Pro
Carte des Hypnothérapeutes
La plus grande communauté dédiée à l'hypnose
Accueil
Forums
Blog
Ressources
Événements
Connexion
S'inscrire
En ce moment
Rechercher
Rechercher
Rechercher dans les titres uniquement
Par:
Menu
Connexion
S'inscrire
Installer l'application
Installer
Accueil
Forums
Hypnose
Hypnose conversationnelle
Questionnement socratique
JavaScript est désactivé. Pour une meilleure expérience, veuillez activer JavaScript dans votre navigateur avant de continuer.
Vous utilisez un navigateur obsolète. Il se peut que ce site ou d'autres sites Web ne s'affichent pas correctement.
Vous devez le mettre à jour ou utiliser un
navigateur alternatif
.
Répondre à la discussion
Message
[QUOTE="Ivan Schmitt, post: 61383, member: 20208"] A mon sens le questionnement socratique est tout à fait dans la droite ligne de l'hypnose conversationnelle. "Peut-être allez-vous ressentir une lourdeur dans la main ou autre chose encore... dans votre main..." est autant une induction hypnotique qu'un questionnement socratique... Si vous dites à une personne "Vous êtes dans l'erreur" elle va résister très rapidement. Si, inversement, vous dites : "je ne comprends pas bien, pourriez-vous m'expliquer..." vous contournez la résistance et vous lui permettez de prendre conscience de son erreur au fil de la conversation. Cette idée de contourner la résistance est également dans la logique de l'hypnose conversationnelle. Faire de l'hypnose conversationnelle, c'est souvent provoquer une réaction spontanée. Si vous dites "il faut que tu ressentes de l'amour pour les gens" vous créez un paradoxe rendant difficile la possibilité de ressentir de l'amour. Erickson n'a cessé de contourner ce problème en disant : "tu peux aussi t'autoriser à ressentir de l'amour pour les gens". Plus socratiquement, on aurait pu dire : "Est-ce que tu crois que tu peux t'autoriser à ressentir de l'amour pour les gens ?" L'autre jour, j'autorisais ma fille à aller jouer avec ses copines, alors que manifestement elle voulait surtout rester devant son ordinateur. L'une de mes amies, qui pourtant n'est pas un hypnotiseur, a très bien compris le message et a répondu : "profite-en... pour une fois que ton père t'autorise à faire cela..." A la réflexion j'aurais du ajouter : "tu peux choisir de jouer toute suite avec tes copines ou encore attendre cinq minutes"... et s'aurait été un double lien. Socrate pratiquait-il les doubles liens ? J'en serais qu'a moitié étonné... [/QUOTE]
Vérification
Entrez le mot: « hypnose » ci-dessous (filtre antispam)
Répondre
Accueil
Forums
Hypnose
Hypnose conversationnelle
Questionnement socratique
>> Vous aimez cette page ? Inscivez-vous pour participer
Haut