*soupire* On devrait faire une section bac à sable et sport, avec un ring et un espace caché où certains pourraient jouer à savoir qui à la plus grande perche. Sinon, il me semble que la castration de certains animaux domestique les empêche de marquer intempestivement leur territoire partout, en plus ils sont plus calmes, plus affectueux, moins bruyant et contribuent plus à un espace de vie sain et serein.
Hubert, le hic c'est le soucis "médecine" parce que ça implique "médecin" ou "profession médicales" (médecin+ dentiste + sage-femme) et la loi "pratique illégale de la médecine", mais le soin n'est, dans la réalité, pas réservé à ces professions puisque pour les bobos chacun intervient (la mère qui désinfecte une petite plaie etc.). La frontière est parfois floue. Le mot "thérapie" semble libre mais... mais flou. Ca c'est pour les mots, après il reste la réalité. Certains veulent bloquer tout ce qui est psychothérapie à certaines professions et là il y a un problème... coaching, relation d'aide etc. psychothérapie ou pas? Actuellement "psychothérapeute" est protégé mais pas "psychothérapie", on joue sur les mots. Et étrangement, en voulant rassurer et protéger les gens j'ai l'impression qu'on les embrouille encore plus.
Dans ce cadre je suis pour réserver le terme "médecine" à l'univers médical avec les médecins, les professions universitaires etc. et ce garder pour les choses moins conventionnelles le terme de "thérapie" et ses déclinaisons. [Ce qui implique également que je n'approuve pas la Loi Accoyer, même si je m'y soumets]
Pour le terme "complémentaire" je l'apprécie parce qu'il dit bien ce qu'il veut dire, que ce n'est pas l'approche principale, qu'elle est en parallèle d'une autre, primordiale. Je conseille toujours d'avoir un médecin traitant et de parler avec lui des traitements qu'il propose, de ne pas les arrêter sans en parler etc.
Du coup ça dépend de comment on voit la santé et l'être humain. Je pense qu'il faut tenir compte de sa psychée et pas seulement du soma, mais également que quand il y a des choses graves il faut recourir à la médecin allopathique, classique et à la chimie, même si dans la vie de tous les jours j'évite au maximum les médicaments.
Le truc c'est que si on n'est pas suivi par un médecin on ne sait pas forcément que se déclare "une chose grave" et que généralement ce genre de choses il vaut mieux les détecter le plus tôt possible.
En gros je suis pour qu'on ait une médecine allopathique, fiable etc. Mais qu'on laisse une liberté informée en parallèle pour des thérapies autres.