Chaque jour, je fais 2 heures de transports en commun pour la fac.
J'en profite pour lire les collected papers.
Une chose me frappe : a chaque fois que je rentre dans ce bouquin, le temps passe a une vitesse ahurissante! Mais vraiment! L effet est bien plus puissant que lorsque je lis mes livre de socio par exemple, qui pourtant ne me passionnent pas moins (pour certains...)
A savoir que mon trajet se compose de 3 trajets, et que chacun me prend environ 2O minutes. Ils paraissent 5 quand je lis le bouquin. En fait ils ne paraissent rien. C'est réellement frappant! presque déroutant en fait.
Sachant que le bouquin est plein d'exemples d entretiens, et qu au cours de la plupart de ces rapports d expériences il est en général au moins question 1 fois de distorsion du temps, de la personne qui regarde sa montre et qui s étonne de combien le temps passe vite etc...
Ce bouquin aurait il un grand potentiel suggestif?? (forcément, mais encore plus grand que ca?)
Ceux qui l ont lu auraient ils remarqué des choses similaires?
Erickson continuerait il sa thérapie au dela de l au dela??
Bon, après tests, je me suis laissé berné par moi même, vous aviez raison Cath
Peut être es simplement le pouvoir du nom Milton H Erickson en gros sur la couverture qui m a poussé dans cette impression faussée? :idea:
Une petite question pour les connaisseurs, quelqu un connaitrait il la raison qui les a poussé a utiliser "l auteur" au lieu de "je"? Et celle qui les a poussé a utiliser quand même parfois "je" a l improviste???