Prudence
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Bonjour,
J'ai enfin pris le temps de faire une synthèse des points importants de mon mémoire sur "l'utilisation de l'hypnose dans la gestion de la douleur", la voici.
Bonne lecture à tous, cordialement,
Prudence
Prudence présente un maping synthétique du panel des possibilitésC'est bien construit, mais pour ma part, incomplet mais si les références sont nombreuses, car au final vous ne dites pas comment faire disparaître la douleur en hypnothérapie, (où alors j'ai zappé...)je ne parle pas de gestion de douleur, mais la cause de la douleur, ce qui provoque la plupart du temps le symptôme récurrent...
A mon avis vous compliquez des choses simples par manque de pratique.Le soulagement c'est bien, la disparition d'un symptôme récurrent c'est mieux et c'est possible. Maintenant dire :on ne peut pas tout arranger par l'hypnose, je ne sais pas de quoi vous parlez, mais moi je parle d'hypnothérapie qui une thérapie efficace à la base pour traiter la détresse émotionnelle, les douleurs psychosomatiques (douleurs récurrentes).
La distraction est évidemment un détournement de la douleur qui fonctionne très bien chez les enfants, chez les adultes un peu moins, après il y a douleur et douleur, si c'est juste un choc ponctuel, OK pour la communication positive si c'est une douleur qui date de plusieurs années on utilise d'autres moyens...
Le but premier c'est d'éviter qu'une douleur s'enkyste et crée une mémoire neuropathique sans fin ( un ancrage négatif qui s'allume sans arrêt en alerte)Merci Surderien.
Je suis pas mal d'accord avec ta grand-mère et toi, c'est pour ça que je vais faire une version plus simple, moins de théorie plus de pratique pour s'aider et aider les personnes que l'on peut. Distraire un enfant qui s'est cogné, soulager un mal de tête (même si ce n'est que partiellement), limiter sa consommation d'antalgique, augmenter son confort de vie et se rendre compte qu'on a un grand pouvoir sur notre vie.
A mon avis vous compliquez des choses simples par manque de pratique.
L'hypnose est un outil mais pas une panacée.
Ce n'est pas seulement les différents types de douleurs et leurs causes qui font varier les approches mais ce que l'on préfère individuellement. A cause de mon mémoire, de ce que j'étudie si on me dit "douleur" je pense en priorité à l'hypnose et à la gestion de la douleur, pour un anesthésiste ce sera peut être "dérivé morphinique", "antalgique", pour une personne qui souffre de douleurs chroniques "ho non pas encore, je ne vais plus... je vais..." etc. Confronté à une douleur certains vont se demander si ce n'est pas un problème de stress, d'autres vont prendre un cachet, d'autres vont tout faire pour ne pas y penser, d'autres vont se plaindre et bien sûr les moyens sont cumulatifs.Y aurait t-il comme un problème d'énoncé, au niveau des dffèrents types de douleurs et de leur cause. Qui feront varier les approches envisageables du tout au tout ?
C'est ce que je me disais aussi... mais je pense que Prudence reste trop dans le théorique à cause de son mémoire, ça reste dans une démarche trop intellectuelle et moins dans une approche émotionnelle, sachant que l'émotion déclenche le ressenti, vous êtes d'accord avec cette idée ?Y aurait t-il comme un problème d'énoncé, au niveau des dffèrents types de douleurs et de leur cause. Qui feront varier les approches envisageables du tout au tout ?
Y aurait t-il comme un problème d'énoncé, au niveau des dffèrents types de douleurs et de leur cause. Qui feront varier les approches envisageables du tout au tout ?