Bonjour,
Nous sommes dans l'obligation de faire interner un proche en cure, visiblement en psychiatrie.
La personne est "legèrement" toxicomane, ce n'est "peut être" pas le vrai problème.
Elle a un enfant et on souhaite lui faire faire une cure,. Elle serait volontaire.
En France, on lit en parcourant le net, que ça se soigne par traitements médicamenteux etc...
Un mal pour un mal, c'est notre avis, et nous ne souhaitons pas épiloguer de trop la-dessus.
Ce qu'on souhaite savoir:
Connaissez-vous un centre, ou un endroit de cure, où les patients sont soignés avec l'hypnose et autres thérapie, disons, plus naturelles?
On en discute ce soir, pour lui annoncer demain, et ça risque de se faire dans les jours à venir.
Tout à fait d'accord Surderien.
En revanche là c'est vraiment particulier et mûrement reflechi...
Ce n'est pas pour trouver de l'aide, il s'agit de soins.
Ca fait mal, mais c'est le seul moyen qu'on a de la sauver elle, et le petit.
Et nous avons tous confiance en elle, elle excelle dans tout ce qu'elle fait.
Mais pour ne te donner qu'un exemple, quand c'est rendu à voler cartes bancaires, chequiers etc à sa famille jusqu a accuser le banquier de l'avoir poussee a le voler pour renflouer son compte... et que mise devant le fait accompli ca frole l'hysterie.....
Et jusque la on a tout fait pour passer l 'éponge, redonner espoir, confiance, projets, argent, maison...etc... depuis 15 ans.
Mais aujourd'hui y a un bébé. Et sans père viable. Si on laisse faire, c est elle, mais aussi son bébé.
Donc cure pour raz et repartir sur le bon pied, sans passer par la case justice, médicaments etc.....
Il convient de différencier le comportemental et l'addiction, des troubles psychiatriques qui nécessitent une obligation de soins liée au danger pour soi même et pour autrui.
Passer un cap avec un traitement de chimiothérapie, en acceptant les contraintes d'un environnement "carcéral" pour guérir le mal et recadrer pour repartir sur de bonnes bases.
Un choix difficile mais incontournable +++
Les établissements psychiatriques de santé mentale permettent le sauvetage dans une prise en charge multidisciplinaire intégrative.
Pas de méthode magique pour cela, on peut même considérer la bouffée "psychiatrique" comme une forme majeure de transe " négative" qu'on ne peut casser que par l'isolement de l'environnement habituel et par une forme thérapeutique moderne "d'électrochoc" chez une personne qui, aveuglée par sa transe est complètement à côté de la plaque.